La maîtrise de la langue française constitue une des compétences majeures des programmes de 2015. C’est dans l’objectif de renforcer et de multiplier les activités dans ce domaine et d’améliorer la continuité dans les apprentissages en s’appuyant sur la rencontre régulière avec les contes traditionnels que, cette année, les 3 classes de Grande Section se sont engagées dans un projet autour des contes de Perrault et de Grimm.
Une des motivations de ce projet est d’offrir aux élèves des références littéraires culturelles communes comme socle commun d’apprentissage et de cohésion, vecteur d’égalité scolaire.
Parmi ces 3 classes, 2 ont pu bénéficier d’un partenariat avec la Médiathèque dans le cadre d’un projet Hors Parcours.
L’ensemble de ce projet s’articule en trois temps forts :
L’étude approfondie des contes en classe avec notamment la mise en place de débats philosophiques.
Les séances à la médiathèque avec implication des parents dans la lecture et l’appropriation du lieu.
Un aquarium dans la classe ce n’est pas que de la déco… Grâce à cela les élèves peuvent découvrir le monde du vivant, apprendre à respecter les animaux et connaître leurs besoins.
Mais c’est aussi l’occasion de collaborer, de faire des recherches plus spécifiques sur le poisson rouge, les observer, mener des expériences (ce qu’ils mangent, combien de nageoires ont-ils…) et DE LIRE ET ECRIRE.
Un projet de production d’écrits a été lancé après les vacances de la Toussaint avec les classes de CE2 de l’école Marcel Cachin, alliant lecture et production de textes autour du thème des énigmes. Ce projet a été réalisé avec la participation grâce au dispositif plus de maître que de classe. Les classes ont réinvesti des connaissances acquises pendant leur classe de découverte à la Trinité sur Mer.
Tout d’abord suite à une conférence de M. BOIMARE à propos des enfants empêchés de penser. Il y présentait le fruit de sa réflexion et son expérience acquise auprès de collégiens en grande difficulté scolaire. Son postulat est que le fondement même de la réflexion est déficient : capacité à imager la pensée et donc à créer des représentations mentales, à articuler ces représentations, à accepter le doute et le fait que les autres puissent avoir un avis différent et valable. Sans cela, toute discussion où des avis divergent devient alors une situation vécue comme violente car ils n’ont pas les outils leur permettant de participer à la discussion, les empêchant ainsi que de se créer leur opinion personnelle. Pour cela il conseille de « nourrir » culturellement ces enfants. Le but est aussi de créer une culture commune afin de leur montrer qu’eux et « ceux qui réussissent » procèdent d’une même humanité et que leur difficultés ne sont ni une fatalité, ni une honte. Les textes mythologiques ou initiatiques remplissent très bien ces deux critères : nourrissage culturel et création de lien.
Le deuxième temps correspond à une formation aux débats à visée philosophique où une conseillère pédagogique vint expliquer comment les mettre en place et surtout quel en est l’objet : philosopher (et non la philosophie !). Philosopher est une attitude, un regard. En ce sens elle se rapproche de la démarche expérimentale en sciences par l’importance donnée au doute. La première règle du débat, telle qu’énoncée avec les élèves, est qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse. Sans cela, sans cette accord tacite qu’il n’y aura ni gagnant – ni perdant – à cette discussion, alors un grand nombre d’élèves ne peuvent surmonter la peur du regard des autres. Beaucoup d’entre eux hésitent à prendre la parole (au début… heureusement, cela change au cours de l’année) par crainte des moqueries. Ainsi, s’il n’y a ni bonne ni mauvaise réponse, on ne peut se tromper. Et il devient donc permis de douter, de changer d’avis ou au contraire de le conforter.
Cette année le Prix littéraire des écoles de Bagneux fête ses 10 ans. Dix ans déjà ! Dix ans de lectures, de débats, de créations artistiques et d’échanges autour de la littérature.
Ce projet de circonscription, devenu au fil du temps un rendez-vous attendu des élèves, des parents et des enseignants, s’inscrit parfaitement dans le développement des compétences en lecture. Car la lecture ne s’appuie pas seulement sur le décodage de mots, elle s’ancre aussi dans une « entrée en littérature » qui suppose le débat et la confrontation des idées, des compréhensions, des interprétations.
Pour fêter dignement cet anniversaire, le Prix opère une nouvelle mutation : il s’ouvre à tous les élèves de maternelle, de la petite à la grande section. Plus que jamais, ce projet s’inscrit dans la logique du parcours de l’élève et s'adosse à l'architecture des cycles d'apprentissage.
Le thème : « Le Prix Littéraire : 10 ans de débats ! ». Tout un programme !
La lecture et l’apprentissage de la lecture sont, encore plus aujourd’hui, au centre des préoccupations des enseignants. Mais apprendre à lire n’est pas aussi aisé qu’on pourrait le croire.
Pour reprendre les mots de Gérard Chauveau, lire c’est à la fois :
« une activité culturelle : lire pour » faire quelque chose et « lire dans/sur : un livre, un album, une affiche, … »,
« une activité langagière » dans laquelle « lire, c’est traiter et comprendre un énoncé, ce n’est pas seulement décoder et identifier des mots ; c’est également explorer, questionner, reformuler une production langagière ».
Pour aider les élèves à atteindre plus rapidement les compétences de lecteurs telles que identifier des mots de manière de plus en plus aisée, lire à voix haute ou encore contrôler sa compréhension, les enseignants de CE1 de l’école Joliot-Curie ont décidé de mettre en place, entre 4 classes, des groupes de besoins en lecture.
Un des objectifs principaux du cycle 2 est l’apprentissage de la lecture. Une des difficultés majeures est la grande hétérogénéité du niveau de lecture des élèves au début du CE1.
C'est pourquoi un travail en ateliers par groupes de niveaux au premier trimestre (en collaboration avec la maître + et le maître E) a été mis en place.
Puis à partir du mois de janvier, quand les élèves ont acquis davantage d’autonomie, un rallye-lecture est mis en place 2 fois par semaine dans la classe. L’objectif général est de travailler la compréhension des textes. Deux objectifs plus spécifiques sont de permettre à chaque élève de progresser à son rythme et de prendre goût à la lecture en choisissant soi-même un livre parmi une large sélection d’albums de jeunesse.
A partir d’un thème commun, des livres variés sont proposés pour que chaque élève puisse trouver des livres accessibles par rapport à son niveau de lecture.
Il faut veiller à ce que le nombre de titres du rallye soit suffisant (pour le choix et pour alimenter les "bons" lecteurs), et également prévoir suffisamment d’exemplaires pour un bon fonctionnement.
Les CE2 A de l’école élémentaire Paul Vaillant -Couturier sont partis en classe de découvertes à Ancelle du 16 Janvier au 25 Janvier 2018. Durant ce séjour, différentes compétences ont pu être travaillées, notamment la production d’écrits.
Dans les programmes, les compétences attendues en écriture en fin de cycle 2 sont les suivantes :
Rédiger un texte d’environ une demi-page, cohérent, organisé, ponctué, pertinent par rapport à la visée et au destinataire.
Améliorer une production, notamment l’orthographe, en tenant compte d’indications.
La classe de découvertes est une bonne occasion pour travailler ces compétences à travers l’écriture de lettres, l’élaboration d’un cahier de bord ainsi que la rédaction de textes lors de sorties.
L’école compte parmi ses missions fondamentales celle de garantir l’égalité des chances entre les filles et les garçons. Dans le but de sensibiliser les élèves au respect de l’autre sexe et au refus des stéréotypes, les Editions Talents Hauts organisent depuis 9 ans un concours d’écriture « Lire Egaux » pour les classes de CP et CE1 d’Ile-de-France. Le premier prix est l’illustration et la publication de l’histoire.
Notre classe de CE1 s’est lancée dans cette aventure.
Mes élèves de CP correspondent depuis le mois d'Octobre avec une classe du même niveau de la commune du Mesnil-en-Thelle dans l'Oise. Ce projet est un véritable fil rouge qui motive les apprentissages.
Projet d’éducation musical qui a débuté par une écoute de Pierre et le loup, conte musical de Serge Prokofiev. Nous avons découvert les instruments de musique de cette histoire : leur nom, leur sonorité, leur famille. Nous avons également compris que la musique « raconte » des histoires et transmet des émotions.
En janvier dernier, parents et enfants étaient conviés à une soirée contes à l'école.
Précédée d'un petit buffet et d'une exposition d'oeuvres plastiques réalisées par les élèves sur le thème de l'hiver, la soirée était animée par une conteuse professionnelle. Mme Diakité - Tounkara est en effet une conteuse bien connue à Bagneux puisqu'elle intervient notamment à la médiathèque. C'est également une maman d'élève de l'école.
En maternelle, la place primordiale du langage est la condition essentielle de la réussite de tous les élèves. La pratique d'activités artistiques permet également de développer les sensations, l'imaginaire et la sensibilité. Au croisement des arts et du langage se trouve la poésie.
L’école maternelle Albert Petit l’a bien compris puisqu’elle a obtenu depuis longtemps le label « Ecole en poésie », préfigurant l’obtention en 2017 du label « Ville en poésie » par Bagneux.
Chaque matin, pendant les deux semaines du Printemps des poètes, cette année autour du thème « Afrique(s) », les enseignantes ont offert un poème cadeau à leurs élèves, pour le plaisir des mots, des émotions et pour donner une culture poétique variée aux enfants.
L’enseignement morale et civique est au cœur des nouveaux programmes de l’école élémentaire. Les compétences sociales et civiques s’acquièrent et sont réinvesties au quotidien par les élèves, et ce toute la journée. Ces compétences sont en effet transversales, et il existe plusieurs situations pour permettre leur acquisition.
Vous trouverez ci-dessous un exemple proposé par une enseignant de l’école primaire Paul Éluard, les élèves ayant écrit ce texte pour vous expliquer leurs débats et discussions en classe.
A l’école maternelle, les enfants découvrent que l'écrit est un outil culturel qui permet de communiquer avec autrui, de générer des mondes, de provoquer des émotions. La fréquentation des albums de littérature de jeunesse familiarise les élèves avec des référents culturels et les valeurs qu'ils véhiculent, les amène à des activités de lecteurs : comprendre, interpréter, saisir l'essentiel et l'implicite d'un texte.
Pour accompagner les élèves dans cette découverte, et développer leur plaisir de lire, les enseignants de Bagneux ont choisi de proposer, en complément des activités pédagogiques de la classe, des temps de lecture pris en charge par les bénévoles d’une association « Lire et Faire Lire ».
La rentrée solidaire se déroule en deux temps : d'une part, la sensibilisation aux enjeux des droits à l'éducation, d'autre part une collecte de fournitures scolaires neuves pour répondre aux besoins d'un partenaire, cette année le Liban.
Le vendredi 2 décembre, la Randonnée littéraire qui a traversé les écoles de Bagneux depuis le début de l’année scolaire et plus spécifiquement durant la semaine du 28 novembre, est arrivée au Plus Petit Cirque du Monde pour une très belle cérémonie de clôture.
Dans la somptueuse salle accueillant habituellement les artistes en résidence, les productions artistiques des élèves sur grand format en lien avec les œuvres littéraires travaillées, sous forme d’illustrations, de textes, de bandes dessinées, de réalisation en volume ou encore de marottes ont pu être exposées.
Comment lier texte littéraire et langage oral ? A priori, si ces deux objets semblent évoluer dans des sphères différentes, ils sont intimement liés car les deux sont langage.
Le langage oral va plus loin que la parole, c’est l’activité particulière d’un sujet qui permet de mettre à distance des situations vécues. Il va également plus loin que la communication qui peut-être non verbale. C’est lorsque l’élève prend l’initiative de la prise de parole et du contenu du discours qu’il est en langage.
À l’occasion de la randonnée balnéolaise, dans de nombreuses écoles ont eu lieu des expositions plastiques à partir des livres et albums de littérature de jeunesse des trois auteurs sélectionnés. Mais plusieurs formes d’arts ont été proposées telles que le théâtre, la photographie, le chant, des œuvres plastiques, des maquettes, des bandes dessinées et même la réalisation d’un musée…
La semaine dernière, les élèves de Bagneux ont montré le travail réalisé depuis le début de l’année sur le chemin de la Randonnée littéraire.
Selon les élèves, les enseignants, les écoles, les routes choisies pour arriver jusqu’à ce vendredi 2 décembre 2016 ont été diverses, mais toujours riches, et ont conduit au Plus Petit Cirque du Monde pour une restitution de productions écrites.
À l’occasion de la randonnée littéraire, les élèves ont pu, encore un peu plus qu’à l’habitude profiter de lectures de nombreux livres et albums de littérature de jeunesse.
Que se soit des lectures faites par leurs enseignants, par d’autres élèves mais également des lectures personnelles, les élèves ont ainsi pu, de la maternelle jusqu’au CM2, développer leurs compétences de compréhension en lecture.
Lors de l’année scolaire 2016-2017, une Randonnée littéraire va se dérouler au sein des écoles du département. Cette randonnée vise à fédérer l’ensemble des actions concernant la littérature menées par les écoles. Les élèves sont invités à lire, écrire et débattre autour de l’univers de trois auteurs de la littérature de jeunesse, dans le cadre d’un Parcours d’Éducation Artistique et Culturelle.
La Randonnée littéraire a débuté à Montrouge le 21 novembre et a donné lieu à une cérémonie de passation entre les élèves montrougiens et balnéolais le jeudi 24 novembre 2016.
Ce projet, à l’initiative de la circonscription s’est construit en partenariat avec la médiathèque de Bagneux et est soutenu par la municipalité depuis ses débuts.
Le prix littéraire des écoles de la ville de Bagneux suscite l’engouement de plus en plus de classes et d’enseignants, cette année 66 classes, 1524 élèves de la grande section à la sixièmeont participé, c’est 6 classes de plus que l’année dernière.
Depuis plusieurs années, une classe de CM1 travaille sur un projet classe de théâtre et présente pendant plus d'une heure, sa restitution au mois de juin devant les parents d'élèves. Cette activité très riche a rencontré, cette année encore, un vif succès. Les scènes jouées le 20 juin étaient très variées tant sur le plan des époques, du style allant du classique à l'absurde que des auteurs de Molière à Shakespeare en passant par Feydeau et Ionesco.
« Le jeu est sérieux, c’est le moins insignifiant des actes. Jouer, ce n’est pas rien faire et parfois c’est même travailler plus intensément que dans des situations de travail » Jacques Henriot
Pratiquer des jeux de société mathématiques à l'école et dans la liaison inter-degré.
Les mathématiques peuvent souvent être considérées comme une matière difficile pour certains.
Comment prendre du plaisir à résoudre des problèmes, s'exercer à compter, appréhender des connaissances abstraites ?
Les mathématiques peuvent souvent être considérées comme une matière difficile pour certains.
Comment prendre du plaisir à résoudre des problèmes, s'exercer à compter, appréhender des connaissances abstraites ?
Le jeu dans son étymologie, vient du latin « jocus » qui signifie « plaisanterie, faire rire »
Renforcer l'enseignement de l'orthographe au cycle 3 est un enjeu majeur pour la réussite des élèves tant sa maîtrise a un impact significatif sur la maîtrise de la langue française dans toutes ses dimensions (compréhension des écrits, identification des mots…).
Dès l’école maternelle, l’enfant peut réfléchir sur les enjeux de ce qu’on lui lit lorsque le texte résiste à une interprétation immédiate. L’interprétation prend, le plus souvent, la forme d’un débat très libre dans lequel on réfléchit collectivement sur les enjeux esthétiques, psychologiques, moraux, philosophiques qui sont au cœur d’une ou plusieurs œuvres.
La démocratisation de la philosophie est une exigence politique, démocratique et républicaine. Parce qu’elle permet : le développement de l’esprit critique, l’exercice de la Raison, le débat démocratique, l’écoute, l’empathie, l’acceptation des désaccords, l’acceptation du doute et de la vulnérabilité.
À la maternelle Marcel Cachin, comme ailleurs, les enfants aiment arracher les fleurs des espaces verts de l’école, « jouer » avec les petites bêtes attrapées dans la cour de récréation.
Combien de fois, il a fallu leur expliquer le respect de ce monde animal et végétal qui les entoure.
Alors, cette année, l’équipe enseignante a décidé que le plus efficace serait de faire travailler les élèves à un projet commun de la TPS à la GS avec pour objectif la découverte, l’observation et la connaissance des différents milieux de leur environnement proche : le monde animal et le monde végétal de l’école. Et à travers ce travail de connaissance, les enfants, très investis dans ce projet, ont appris petit à petit à respecter l’environnement.
Travailler la production écrite en classe est un objectif de tous les jours, qu'il n'est pas toujours facile de mettre en oeuvre car il demande de croiser des compétences multiples et complexes : l'imagination, la construction du récit mais aussi la syntaxe, le lexique, l'orthographe, etc. Bien souvent, les élèves apprennent à manier la langue à l'écrit mais ne font pas toujours le lien avec les véritables situations d'écriture, se bornant à vivre la production écrite comme un exercice scolaire. Les enseignants tentent donc de leur proposer des projets où écrire prend tout son sens et s'appuient sur toutes les occasions qui leur montrent l'intérêt de savoir écrire, comme le rapporte ce témoignage d'une enseignante de CE2 de l'école Joliot-Curie.
Quand la découverte d'une oeuvre théâtrale devient un point de départ pour une approche interdisciplinaire, les élèves s'investissent autour d'un véritable projet où lecture, compréhension, écriture, débat, récitation, jeux scénique et approche artistique sont articulés pour aboutir à une représentation collective.
« Je vous présente François, il est comédien, un comédien c’est quelqu’un qui aime les mots qui joue avec eux, c’est quelqu’un qui rend la poésie vivante. »
« Je vous présente Sylvain, il est musicien, il aime toutes les musiques, il joue de plusieurs instruments et sa musique porte mes mots. »
Ainsi se présentent Sylvain Friedman et François Lamotte qui constituent les « Brigades d’Intervention Poétiques », les BIP !
L’école Henri Wallon B de Bagneux accueille depuis de nombreuses années, les élèves Allophones Nouvellement Arrivés en France (EANA), dans une unité pédagogique, l’UPE2A ( Unité Pédagogique pour Élèves Allophones Arrivants).
Depuis plusieurs années l'équipe enseignante et toutes les classes de l'école maternelle Paul Vaillant-Couturier produisent des reportages radiophoniques que l'on peut réécouter en podcast. Le directeur de l'école décrit l'origine de ce projet, les choix pédagogiques et techniques réalisées par l'équipe ainsi que les bénéfices pour les élèves au niveau des apprentissages. À la fin du billet vous trouverez le lien vers le podcast et le time code pour vous repérer.
Ce mardi 16 juin 2015, les élèves de CPC et CE1 de l’école élémentaire Paul Vaillant-Couturier ont présenté le travail qu’ils avaient mené cette année autour des fables de la Fontaine...
Dans le
cadre de la 17 ème édition du printemps des poètes (mars 2015), ayant
pour thématique : l’insurrection
poétique, 15 classes de la petite section au CM2 des écoles maternelle Albert
Petit et élémentaires Paul Eluard et Henri Wallon B participent au projet sur la poésie proposé
par l’équipe de circonscription, en partenariat avec la Maison de la Musique et
de la Danse et la Médiathèque Louis Aragon pour la deuxième année consécutive.
Il met à l’honneur la musique et la poésie au travers d’un dialogue
poético-musical.