BRUNAIN, LA VACHE AU PRÊTRE... Variations en bandes dessinées du fabliau de Jean Bodel (vers 1165 - 1209/10).
Nos productions sont sur le lien suivant : http://www.calameo.com/read/000122771caca83099fbe
24 mars 2011
Par Anne Schoetter le 24 mars 2011, 18:22 - En Cinquième
BRUNAIN, LA VACHE AU PRÊTRE... Variations en bandes dessinées du fabliau de Jean Bodel (vers 1165 - 1209/10).
24 février 2011
Par Anne Schoetter le 24 février 2011, 14:51 - Ecritures Critiques I - 5°2
Voici les documents préparatoires aux premiers exposés littéraires oraux des élèves de la classe de 5°2 :
35_KILOS_D__ESPOIR_-_ANNA_GAVALDA_-_LEA__ET_HAWA.pdf
ABC_CONTRE_POIROT_-_AGATHA_CHRISTIE_-_YECHA.pdf
CLAIR_DE_LOUP_-THIERRY_LENAIN_-_ELISA.pdf
CROC_BLANC_-_JACK_LONDON_-_CASSANDRE.pdf
IPPON_-_jean_hugues_oppel_-_ryan.pdfPar Anne Schoetter le 24 février 2011, 14:42 - En Sixième
Une belle histoire proposée en classe par Lucie et Manon.
Cliquer sur le lien ci-dessous pour en lire l'histoire :
15 février 2011
Par Anne Schoetter le 15 février 2011, 10:24 - En Sixième
CLIQUER SUR LE DESSIN POUR DÉCOUVRIR NOS GORGONES
Persée et Méduse de Camille Claudel (1864-1943) - Marbre
09 février 2011
Par Anne Schoetter le 09 février 2011, 19:49 - En Troisième
I
Beau monde des masures
De la nuit et des
champs
II
Visages bons au feu visages bons au fond
Aux
refus à la nuit aux injures aux coups
III
Visages bons à tout
Voici
le vide qui vous fixe
Votre mort va servir d'exemple
IV
La mort coeur renversé
V
Ils vous ont fait payer le pain
Le ciel la
terre l'eau le sommeil
Et la misère
De votre vie
VI
Ils disaient désirer la bonne intelligence
Ils
rationnaient les forts jugeaient les fous
Faisaient l'aumône
partageaient un sou en deux
Ils saluaient les cadavres
Ils
s'accablaient de politesses
VII
Ils persévèrent ils exagèrent ils ne sont pas
de notre monde
VIII
Les femmes les enfants ont le même trésor
De
feuilles vertes de printemps et de lait pur
Et de durée
Dans
leurs yeux purs
IX
Les femmes les enfants ont le même trésor
Dans
les yeux
Les hommes le défendent comme ils peuvent
X
Les femmes les enfants ont les mêmes roses
rouges
Dans les yeux
Chacun montre son sang
XI
La peur et le courage de vivre et de mourir
La
mort si difficile et si facile
XII
Hommes pour qui ce trésor fut chanté
Hommes
pour qui ce trésor fut gâché
XIII
Hommes réels pour qui le désespoir
Alimente
le feu dévorant de l'espoir
Ouvrons ensemble le dernier bourgeon
de l'avenir
XIV
Parias la mort la terre et la hideur
De nos
ennemis ont la couleur
Monotone de notre nuit
Nous en aurons
raison.
Paul Eluard, Cours naturel, 1938
DOCUMENT PDF DU TRAVAIL DE RECHERCHE SUR GUERNICA
03 février 2011
Par Anne Schoetter le 03 février 2011, 18:18 - En Sixième
01 février 2011
Par Anne Schoetter le 01 février 2011, 16:07 - Ecritures Critiques I - 3°2
Voici ci-dessous les premiers travaux d'écritures critiques en 3°2. Ils ont fait l'objet, pour chaque élève ou à deux ou trois, d'un exposé oral présenté en classe.
LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNE - Victor HUGO - par CLARA
POURQUOI J'AI MANGE MON PÈRE - Roy LEWIS - par MONICA
UNE ENFANCE CRÉOLE - Patrick CHAMOISEAU - par GUILLAUME et RUSLAN
MON AMI FRÉDÉRIC - Hans Peter RICHTER - par HIBA et FATOU
LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNE - Victor HUGO - par KEVIN05 janvier 2011
Par Anne Schoetter le 05 janvier 2011, 12:36 - En Troisième
Plusieurs écritures, plusieurs points de vue à partir d'un même sujet, d'une même illustration...
CARTE HEURISTIQUE : LES POINTS DE VUE
Texte de Krishma
"L'inconnue de mon cœur
La mer était d'un bleu étincelant au reflet du Soleil, les oiseaux chantaient, des bateaux embarquaient, les gens se baignaient, un doux vent frais aérait les environs.
Il peignait avec émotion la scène se déroulant sous ses yeux, car c'était là qu'il avait rencontré sa bien-aimée, deux ans auparavant, jour-pour-jour, aujourd'hui partie pour toujours. Il se remémora son visage, aux contours bien formés, ses yeux d'un bleu turquoise, ses cheveux bruns et lisses venant se poser sur son visage, mais surtout, son sourire si innocent et réconfortant. Mais à présent, Vanessa n'était plus de ce monde.
Taylor dessina sur son tableau grâce aux pastels qu'elle lui avait offerts, le paysage si beau, des couleurs vives et contrastées, mais particulièrement réelles. Ces émotions, si fortes, lui firent couler une larme, qui dégoulina le long de sa douce joue et vint se poser sur son tableau, laissant un trace humide.
Rangeant ses affaires et se rendant à l'arrêt de bus, une jeune femme qui courait le bouscula. Leurs deux regards se croisèrent. Taylor resta sans-voix. Ce fût si étrange, qu'aujourd'hui même cette rencontre eut lieu, cette demoiselle qui ressemblait tant à Vanessa, le même nez , le même regard intense, seuls les cheveux étaient plus clairs et légèrement bouclés.
Le Destin jouait avec lui, avec ses sentiments. Revenant petit à petit à la réalité, il réalisa que le «clone» de Vanessa était déjà parti. Il la vit s'en aller au loin, mais ne voulant pas reperdre une nouvelle fois sa bien-aimée, il la suivit à grands pas, laissant ses affaires sur le trottoir, bousculant à maintes reprises des passants et criant son nom, qui n'était pas le sien.
L'inconnue avança dans la brume pendant que, essoufflé, Taylor courait derrière elle, oubliant tout ce qui se passait autour de lui, ne voyant que la blonde. Son cœur battait si rapidement que même respirer lui devenait difficile. Il réussit pourtant à la rattraper, s'appuyant sur son épaule, elle se retourna, mais ce n'était pas elle.
C'était une dame âgée, qu'il n'avait jamais croisée auparavant. Taylor s'excusa, elle continua son chemin, puis il s'accroupit par terre, pleurant toutes les larmes de son corps. Avec l'image de sa fiancée dans son esprit."
Texte de Kevin
"LA LETTRE !!!
Un jour d'été avait commencé avant que la petite Jessica sache qu'elle allait recevoir une lettre assez émouvante et surprenante ! Sa mère la réveilla en lui caressant le dos. Une fois levée, la petite fille allait directement dans la cuisine, comme tous les matins. Elle but son chocolat chaud, à ce moment là, la petite fille entendit son petit frère crier. Elle tourna la tête et aperçut au loin, de son jardin, sa boîte aux lettres qui avait le loquet rouge levé. La petite fille enfila une veste qui était dans sa chambre et courut dans les escaliers quand son frère lui dit :
Où est-ce que tu vas encore comme ça ?
Nulle part et puis d'abord ça ne te regarde pas ! répondit la petite fille énervée.
Elle continua son chemin jusqu'à la boîte aux lettres. Son frère, lui, la suivait, il se cacha derrière la porte d'entrée. Il aperçut sa sœur baisser le loquet rouge de la boîte. Jack voyait sa sœur commencer à pleurer. '' Pourquoi pleure t-elle ? se disait-t-il ! Jessica courait, courait jusqu'au port de Bourline, près de chez eux. Elle s'assit sur un rocher et pleura, pleura encore et encore !"
Texte de Hiba
“Il était six heures du matin et je me promenais sur la côte depuis maintenant une heure. La brise était fraîche, comme je l'aimais. J'étais seule et ne savais pas où aller, je marchais sans m'arrêter en observant tout ce qui se trouvait autour de moi. Le soleil commença à briller, caché derrière quelques nuages. Ils avaient annoncé une tempête à la météo mais je ne pense pas que ça arrivera. Au loin j'aperçus un bateau qui transportait sûrement de la marchandise, il était grand mais délabré; il a du connaître de grandes intempéries.
En détournant mon regard, je vis de nombreux rochers près d'un phare, mais ce qui attira mon attention, ce fut une silhouette, cachée dans l'ombre. En m'approchant légèrement, je me rendis compte qu'il s'agissait d'une silhouette masculine et qu'elle était recroquevillée sur un objet. Sociable de nature, je décidais de continuer à m'approcher jusqu'à être capable de voir qu'il dessinait. Il dessinait le paysage devant lui ; la mer, le bateau, les oiseaux, les rochers ... Il était très talentueux. Je ne lâchais pas son œuvre du regard, quand je fus interpellée par sa voix rauque : "Il te plait ?".
Je fis semblant de ne pas avoir entendu sa question. Moi qui était si sociable, cet inconnu m'intimidait. Voyant qu'il ne répétait pas la question, je me décidais à lui répondre : "C'est un magnifique dessin, tu es vraiment très doué !" Il leva la tête vers moi et me sourit. Je sentis mon cœur battre de plus en plus vite et me doutais que je rougissais.
Le silence s'installa, je restais debout près de lui, sans oser lui parler ni même le regarder... Je sentis une goutte tomber sur mon front. Je levai la tête et me rendis compte que le ciel était désormais gris très foncé et que des gouttes de pluie tombaient de plus en plus. L'inconnu commença a ranger son matériel de dessin. Il commençait à se lever, lentement. Non, je ne voulais pas qu'il parte, je voulais rester près de lui des heures à le regarder dessiner. À le regarder lui. Il observa une dernière fois les lieux, puis moi. "Ravi d'avoir fait ta connaissance." Après ces paroles, il s'en alla. Je tentais de le rattraper mais mes membres étaient comme figés... Je fis demi-tour, la pluie était de plus en plus forte. Je m'en voulais d'être restée près de lui sans lui avoir adressé la parole, de l'avoir laissé partir. Je continuais ma promenade sans bruit, dégoûtée de mes actes, de ce que j'avais fait, car même si je venais de le rencontrer, je l'aimais ...»
Texte de Monica
"J'étais assis sur les rochers, au bord de la mer. La mer était belle et si bleue que rien qu'en la regardant, j'avais l'impression de m'y noyer. Je peignais les vagues, les bateaux, les mouettes avec mon aquarelle translucide. C'était une journée calme et je ne m'attendais pas à être dérangé. Mais soudain, une jeune fille, les cheveux bruns coupés court, le regard farouche, les traits fermés et les vêtements sales, vint vers moi.
Au premier abord, elle me parut agressive, mais dès qu'elle posa son regard sur moi, je sentis qu'au fond elle était gentille. Je vis qu'elle n'avait pas mangé depuis longtemps et lui proposai donc de partager mon casse-croûte. Elle hésita puis vint s'asseoir près de moi, et nous discutâmes ainsi durant des heures."
Texte de Dorcas
À l'aube, à l'heure où personne n'est encore réveillé, chaque jour, j'avais l'habitude de me lever tôt et d'aller contempler au bord de la mer le lever du soleil. Ce moment, qui marque la fin de la nuit et le début de la journée, me rendait si heureuse que je souriais dans mon coeur et je me disais : "En voilà, une belle journée qui s'annonce !". J'aimais regarder l'envol des oiseaux et admirer les dizaines des bateaux au port.
Ce jour-là, il faisait clair, très clair, et pourtant, pour moi ce fût le plus sombre. Je m'étais réveillée tôt mais pas de "bonheur". Je regardais le lever du soleil mais aucune joie n'arrivait à pénétrer mon coeur, ni aucun sourire à en sortir.
Les bateaux étaient devenus comme des ennemis à mon égard. Je n'osais regarder le dernier bateau qui s'éloignait car ma mère se trouvait à l'intérieur. Assise sur les rochers, tête baissée, je sentais la haine monter en moi. Comme j'avais du chagrin !
Texte de Melissa
Je regardais les vagues, la mer, et les mouettes qui passaient devant moi. Il y avait du vent et du soleil, je m’en souviens parfaitement. Je marchais vers le phare, quand je l’ai vu, c’était un garçon, il était assis dans les rocher et écrivait sur un grand cahier bleu, couleur de la mer. J’étais intriguée, je ne l’avais jamais vu par ici avant. Pourtant je connais tout le monde dans notre petit village de Wonderland. Alors je décidais d’aller le voir et de faire connaissance avec ce drôle de garçon.
Après avoir parlé pendant deux heures, j’ai appris plein de choses sur lui. Il s’appelle Kris, il a 14 ans et est italien. Il est venu ici pour passer ses vacances et voir la mer. J’ai remarqué qu’on avait plein de points communs ; comme moi, il aime lire et écrire des histoires, on aime aussi tout ce qui est magique ou fantastique. On a beaucoup ri et au moment de se quitter, on s’est donné rendez-vous le lendemain au même endroit.
Peut-être deviendrons-nous bons amis.
Texte de Guillaume
J’étais en train de peindre le paysage du port de Marseille, tranquillement, quand une jeune femme m’appela. Je me retournai puis la fixai longuement.
On commença à sympathiser ; je lui dévoilai mon prénom et elle me donna le sien en retour. Natacha, quel joli prénom, pensai-je.
Tout à coup, elle me dit qu’elle était amateur de peinture, je lui demandai alors son avis sur mon tableau. Elle me félicita, j’étais super heureux mais ne lui montra pas ma joie. Quelque chose me préoccupait, pour entrer à l’académie Charlemagne, il fallait peindre un paysage et un portrait. J’ai hésité longuement, car j’étais très intimidé, puis lui ai demandé de poser pour moi.
Elle accepta. En la représentant, j’apercevais ses magnifiques yeux bleus, sa bouche pulpeuse que j’avais envie d’embrasser, son nez très fin et son regard intrigant. Je commençais à tomber amoureux d’elle. Mon cœur chavirait. Je pris mon courage à deux mains et lui fis ma déclaration. Sa réaction a été très positive car elle ressentait les mêmes sentiments que moi. J’étais un homme comblé !
Mais je lui dis clairement que je n’hésiterais pas à choisir entre l’académie charlemagne à Lyon et elle, parce que je ne pouvais pas imaginer ma vie sans elle.
On s’est embrassés sous le coucher de soleil puis, le lendemain, on s’est retrouvés à l’endroit de notre rencontre, marchant main dans la main.
J’étais tout simplement amoureux de Natacha.
16 décembre 2010
Par Anne Schoetter le 16 décembre 2010, 10:56 - En Troisième
Bonjour à tous,
vous trouverez ci-dessous deux liens pour vous entraîner (grammaire - conjugaison - littérature... épreuves de brevet corrigées...)
Le diplôme national du brevet (DNB) est un diplôme français qui atteste de l’acquisition de connaissances générales au terme de la scolarité en collège.
Pour le brevet, il faut compter sur :
Les
notes de contrôle continu, obtenues durant toute l’année dans toutes les
matières (même coefficient par matière)
Les
notes obtenues lors des brevets blancs, elles sont comptées dans la
moyenne. En conséquence ces notes permettent l’obtention du " vrai
brevet ".
Petit Rappel : Il faut 160 points .
Petit exemple : Un élève ayant une moyenne de 14 aura acquis 140 points sur 160. Il lui manquera donc 20 points ...
La note obtenue lors de l’épreuve de l’histoire des arts.
Les notes obtenues lors de l’examen du brevet.
Conclusion : Il faut travailler toute l’année . . .
Le brevet/brevet blanc contient 3 épreuves (même coefficient) :
Histoire, Géographie, Éducation civique.
Mathématiques. (Algèbre et géométrie)
Français. (Questions, Dictée, Réécriture et Rédaction)
L’épreuve de l’histoire des arts est dorénavant obligatoire, c’est une épreuve orale :
Passage devant des professeurs, tirage d’un sujet aléatoire. (Étudié en Histoire/Arts Plastiques/Français/Musique).
Préparation du sujet 15 minutes avant le passage à l’oral.
Passage
devant les professeurs, où pendant 5 minutes, on parle de l’œuvre
choisie, puis 10 minutes où les professeurs nous posent des questions.
Pour l’obtention du brevet, il faut obligatoirement :
Le niveau A2 en langue. (Anglais ou Allemand/Espagnol)
Le b2i, diplôme informatique. (80% pour l’avoir, 50% dans chaque domaine)
ASSR niveau 2.
A
partir de la session prochaine (juin 2011), les élèves devront
obligatoirement en plus des autres "compétences" avoir le socle
commun obligatoire pour la suite de la scolarité .
En clair, le brevet c’est simple !!!
11 décembre 2010
Par Anne Schoetter le 11 décembre 2010, 12:31 - En Cinquième
Tous deux fameux par leur ruse et les tours pendables ou justes qu'ils jouent tantôt aux animaux, tantôt aux humains, Leuk le lièvre, personnage des contes de l'Ouest africain et Renart, héros du Roman du Moyen Âge se rencontrent.
Vont-ils associer leur intelligence ou vont-ils s'opposer ?
Voici nos textes :
http://www.calameo.com/read/000122771df78edc63dee« billets précédents - page 17 de 19 - billets suivants »