20 décembre 2017

Le Manoir de la terreur / Gaétan Clop / Collège Blaise Pascal / Classe 404

Cette nouvelle décrit la rencontre entre un homme, une recherche et un lieu maudit 

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LA LUNE SANGLANTE - Etienne G. 4è7

 Après avoir hésité entre aller voir ma grand-mère à la maison de retraite ou me ballader à la vieille fête foraine abandonné du quartier, j’avais finalement opté pour la deuxième solution, car j’avoue que l’odeur d’urine et de médicaments des personnes âgées ne m’avait pas attiré! J’avais décidé d’y aller la nuit, vers minuit, car c’est à cette heure-ci que, mon père et moi, autrefois, venions observer la grande roue, en dessous des étoiles scintillantes. Mais cette nuit, le ciel était sombre et nuageux...

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Le mystère du télescope, EloïseD. (405Blaise Pascal)

Nous nous sommes mises à regarder les étoile et la lune avec le fameux télescope et tout à coup...

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............................,Léa.S (Blaise Pascal404)

Je ne sais pas. Pourquoi je suis comme ça ? Dans tous les cas qui s’offrent à moi, et il y en a peu, aucun n’est rassurant. Que ce soit paranormal ou rationnel beaucoup trop de choses se sont passées pour que j’en reste là.

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La voiture hantée, Alexis (4e5 Blaise Pascal)

Il y a un an, j'ai déménagé avec ma femme et mon fils dans une très grande maison au fin fond de l'Auvergne grâce à l'argent que j'avais touché en obtenant le poste de PDG dans une très grande entreprise automobile.

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Un bâtiment étrangement effrayent Lucie (Blaise Pascal 404)

Je m'appelle Maria, je suis journaliste et je travaille principalement dans les affaires "people". Pour une fois je voulu changer d'horizon mais étrangement tout ne se passa pas comme je l'imaginais...

 

 

  • bâtiment abandonné [x]

 

C’était un soir d’hiver, j’enquêtais sur une affaire en dehors de mon bureau et devais sortir. Le vent soufflait très fort et le brouillard m’accablait.

Je marchais devant cette sombre et sinistre rue ou je devais aller avait apparemment hébergé quelques voleurs pendant un certain temps. Des grands objets de valeurs  étaient, disait-on, cacher dedans.  Etant sûr qu’il n’y avait plus personne dedans, la production m’envoyai chercher ses objets qui, ne concernaient ni mon métier, ni moi-même personnellement. J’avançais dans cette ruelle tellement sombre que je ne voyais plus mes pieds puis j’aperçus un immeuble délabré.

Cet immeuble m’impressionnait énormément vu sa grandeur. Il me rappelait une personne malade vu sa finesse. Sans la moindre crainte, je continuais mon chemin. Soudain, il me sembla voir une lumière clignoter par une des fenêtres. Je crus que mes yeux me jouaient un mauvais tour, mais, non.

Je repensais aux objets volés et entrai dans cet immeuble soit disant inhabité depuis quelques temps déjà. Je montai au quatrième étage et compris que la lumière venait de là.

J’entrais dans cet appartement terrifiant et à ma grande surprise la pièce en face de moi avait l’air bien entretenu. J’avançais attentivement et tout à coup je crus voir une ombre autre que la mienne passé à côté de moi alors que cet appartement était complètement vide. Je commençais à m’inquiété mais je repensais à ces objets disparus, alors je continuai mon chemin. J’entrai dans un appartement plutôt banal. Une odeur pestilentielle envahissait cette pièce.

Tous les objets volés et recherchés depuis des années étaient posés sur cette table en face de moi. Ces objets semblaient assez vieux, ce n’étaient que des bijoux. J’essayai de les ramasser et de repartir au plus vite car à cause de cette mystérieuse ombre je ne m’y sentais pas bien et sentais une présence qui m’accompagnais partout où j’allais mais ne me rassurais pas vraiment.

Quand j’essayai de prendre les bijoux, plus je forçais pour les avoir, plus cette mystérieuse main me repoussait. 

Le mystère du métro, Antoine G. 404, Blaise Pascal

Entrez dans la sombre et mystérieuse ligne 13 du métro de Paris…

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Cauchemar ou réalité? (Imane - 4e7)

Je sonnais. Je me trouvais devant une petite porte noire qui faisait une tête de moins que moi. Je me dis que les propriétaires étaient de petite taille. Des pigeons roucoulaient  derrière moi et des crapeux croassaient un peu plus loin. Le parc était grand mais sombre et lugubre. Des fleurs fanées dansaient avec le vent qui soufflait fort ce jour là. Une grande grille noire, par laquelle j’étais entré tout à l’heure, bougeait avec le souffle.

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Une étrange balade, Eloise E.(405 Blaise Pascal)

Mais quelque chose m’intriguai...

Cette cabane au fond du jardin.

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L'homme à la capuche (Evan - 4e5)

Ce matin là, je me prenais la tête. Un meurtre s'était produit juste à côté de l'église et mon boss me mettait la pression pour que je trouve l’identité du tueur.

J’étais dans ma voiture quand mon supérieur m’appelât pour m’informer qu'un rôdeur traînait la nuit aux alentours de l'église. J’allais enfin choper ce foutu meurtrier.

 

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