Une étrange balade, Eloise E.(405 Blaise Pascal)

Mais quelque chose m’intriguai...

Cette cabane au fond du jardin.

    Un jour, alors que je me promenais dans la forêt en compagnie de mon chien, nous décidâmes d’empreinter un petit sentier qui m’était jusqu’alors inconnu...

Mais plus loin, Biscuit (mon chien) fit un bond puis se mit à courir entre les branches et les racines , je partis a tout vitesse pour le rattraper.

Après plusieurs chutes, j’avançai avec appréhension dans la partie plutôt sombre du sentier.                                           Il faisait de plus en plus froid.                                                               Au bout de cinq longues minutes, j’aperçus une grande maison sombre, aux murs gris et froids, on aurait pu croire qu’elle était morte. Biscuit s’approcha de moi, il avait l’air tout aussi inquiet. En m’avançant, un sentiment de profonde angoisse et de peur m’envahirent, si fort, que je m’évanouie au milieu du jardin vide.

Je venais de me réveiller, j’étais dans un canapé, j’avais froid. Biscuit était à côté de moi. Quelques minutes après avoir repris mes esprits, je remarquai que Biscuit était attaché ; mon sang se glaça.

 

La pièce était éclairée par un feu de cheminée, le papier peint était arraché, le parquet gondolé et une horrible odeur régnait dans la pièce. Cela me terrifia. Je pensai rêver mais non, c’était bien la réalité. En regardant dehors, je remarquai que j’étais dans  cette grande et terrifiante maison. Une envie de pleurer me submergea.

Mais quelque chose m’intriguai...                                                      Cette cabane au fond du jardin. Elle donnait des frissons. On aurait dit un jouet qui avait longtemps été utilisé. Cette cabane avait une porte, elle était cadenassée...

Poussée par ma curiosité, je brisai la vitre de la pièce dans laquelle je me trouvais et, avec un bout de verre, je détachai Biscuit et nous passâmes part la vitre en nous dirigeant vers la cabane.

En arrivant devant, un frisson me parcourut le dos, je me demandai ce qu’il pouvait bien y avoir à l’intérieur...J’étais terrifiée.

Par la fenêtre brisée une ombre apparut.  Je remarquai un trou dans la toiture, toujours poussée part ma curiosité et surtout par l’envie d’être en sécurité je décidai d’y monter...

 

Je passai part le trou et n’en crut pas mes yeux ...

Cet endroit était horriblement terrifiant

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