Un bâtiment étrangement effrayent Lucie (Blaise Pascal 404)

Je m'appelle Maria, je suis journaliste et je travaille principalement dans les affaires "people". Pour une fois je voulu changer d'horizon mais étrangement tout ne se passa pas comme je l'imaginais...

 

 

  • bâtiment abandonné [x]

 

C’était un soir d’hiver, j’enquêtais sur une affaire en dehors de mon bureau et devais sortir. Le vent soufflait très fort et le brouillard m’accablait.

Je marchais devant cette sombre et sinistre rue ou je devais aller avait apparemment hébergé quelques voleurs pendant un certain temps. Des grands objets de valeurs  étaient, disait-on, cacher dedans.  Etant sûr qu’il n’y avait plus personne dedans, la production m’envoyai chercher ses objets qui, ne concernaient ni mon métier, ni moi-même personnellement. J’avançais dans cette ruelle tellement sombre que je ne voyais plus mes pieds puis j’aperçus un immeuble délabré.

Cet immeuble m’impressionnait énormément vu sa grandeur. Il me rappelait une personne malade vu sa finesse. Sans la moindre crainte, je continuais mon chemin. Soudain, il me sembla voir une lumière clignoter par une des fenêtres. Je crus que mes yeux me jouaient un mauvais tour, mais, non.

Je repensais aux objets volés et entrai dans cet immeuble soit disant inhabité depuis quelques temps déjà. Je montai au quatrième étage et compris que la lumière venait de là.

J’entrais dans cet appartement terrifiant et à ma grande surprise la pièce en face de moi avait l’air bien entretenu. J’avançais attentivement et tout à coup je crus voir une ombre autre que la mienne passé à côté de moi alors que cet appartement était complètement vide. Je commençais à m’inquiété mais je repensais à ces objets disparus, alors je continuai mon chemin. J’entrai dans un appartement plutôt banal. Une odeur pestilentielle envahissait cette pièce.

Tous les objets volés et recherchés depuis des années étaient posés sur cette table en face de moi. Ces objets semblaient assez vieux, ce n’étaient que des bijoux. J’essayai de les ramasser et de repartir au plus vite car à cause de cette mystérieuse ombre je ne m’y sentais pas bien et sentais une présence qui m’accompagnais partout où j’allais mais ne me rassurais pas vraiment.

Quand j’essayai de prendre les bijoux, plus je forçais pour les avoir, plus cette mystérieuse main me repoussait. 

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