Il s’articule autour de 3 axes :

  1. La question du corps et de sa représentation dans l’environnement au sein duquel il évolue qui permet la formation du citoyen.( par le développement de la sensibilité, l’expression de ses goûts et ses émotions, l’élaboration de projet artistique, l’écoute et le respect de ses pairs et le développement de la confiance en soi.)
  2. La question du récit qui permet de travailler l’expression oral et écrite
  3. La question de l’espace et de la scénographie qui incite à la coopération et au développement du langage du corps.

 

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Ainsi, en novembre, les élèves ont pu découvrir la marionnette nommée Capuche (personnage étrange, sans mains, sans visage et sans pieds habillé en jogging. Ils sont chacun entrés dans ce jogging trop grand par le biais de jeux coopératifs. Progressivement, ils ont proposé des postures / attitudes pour exprimer des émotions.

 

En mars, les élèves ont travaillé sur les photos prises au cours de la session de novembre. Ils ont imaginé des titres pour ces photos et l’histoire des différents personnages. Par ailleurs, ils ont continué à « se raconter » à l’oral et à l’écrit. Enfin, ils ont repris les cartons élaborés l’an passé pour créer des décors « démontables ».

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Nous attendons impatiemment Chloé cette semaine pour poursuivre le travail d’écriture.

 

Fin mai, nous travaillerons avec l’artiste qui créé le personnage de Capuche pour préparer le spectacle qui aura lieu le 14 juin au PPCM (objectif final de ce beau projet).

 

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Témoignage des enfants :

 

Nasredine : « C’est bien. Ça a permis de développer ma créativité et mon imagination au moment de regarder les photos. Travailler dans ce projet m’a permis de mieux faire connaissance avec mes camarades féminines qui sont devenues mes copines. »

 

Ismahen : « J’ai aimé créer différents personnages avec la capuche. Elle m’a permis d’être moins timide. Il y a eu plus d’écoute que d’habitude avec mes camarades. »

 

Maryam : « Ces activités avec la capuche m’ont permis de vaincre ma timidité et d’être plus à l’aise à l’oral. Cela m’a donné plus d’idées pour créer. J’ai appris plus de choses sur les autres. »

 

Article rédigé par S. Aguado, enseignante de Wallon B