17 avril 2012

Mon "incroyable naissance" Gargantua ou pas !

Je suis venu au monde par le nez géant de ma mère et j'ai crié:"J'ai faim à manger un boeuf entier".

Ma mère avait éternué tellement fort que le souffle avait créé une tempête qui avait ébranblé la Tour Eiffel.

Je suis sorti de la narine gauche du nez géant de ma mère.Je pesais le poids de Shrek  et mesurais trois mètres.

Mes petits déjeuners ressemblaient à de vastes festins: des mètres de saucisses, du pain long de deux mètres, des pommes grosses comme des citrouilles et des litres de  lait livrés en fûts de chêne.

15 avril 2012

La naissance incroyable de Nolann Lenoir

C'était le 23 avril 1999.

 Je ne naquis pas comme les autres, je sortis pas une narine .

 Mon père éternua et me jeta au sol.Je n'avais pas faim mais j'avais soif .

Je criai " Lait, lait, lait ..." .

 Mes parents coururent m'en chercher .

 Depuis ce jour je suis fanatique des produits laitiers . 

16 mars 2012

Interview de Jean-Pierre COFFE par Dimitri Delarocque, ancien élève du collège Péguy.

Une série de Dimitri de Larocque. Jean-Pierre Coffe, célèbre défenseur de la "bonne bouffe", revient sur son parcours et nous donne son regard sur la cuisine d'aujourd'hui et de demain. Je clique sur le lien pour lire la video.

14 mars 2012

Quelques anthroponymes

*      Le carpaccio (par Fanny)

Le carpaccio est une recette italienne, froide, crée en 1950 par le chef Guiseppe CIPRANI. Elle se compose de fines tranches de viande crues, marinées dans l’huile d’olive et du citron, parfois accompagnées de parmesan. La recette a été, à l’origine, inventée pour la comtesse Amalia MOCENIGO, dont le médecin lui interdisait de manger de la viande cuite. À cette période, le peintre vénitien Vittore CARPACCIO (1460-1526) exposait ses toiles où il utilisait des rouges très particuliers. Cette couleur utilisé dans La prédiction de Saint-Etienne à Jérusalem, a rappelé à  Guiseppe CIPRANI les fines tranches de viande de l’assiette de la comtesse.

Aujourd’hui, on appelle « carpaccio » tout plat dont l’ingrédient principal est cru et en lamelle.

*      La coupe Melba, par Hugo

Ce dessert est inventé par César Auguste ESCOFFIER (1846-1935), le chef du restaurant Savoy à Londres, en 1892, pour Nelly MELBA (1861-1931), (dont le vrai nom est Helen Porter Mitchell), célèbre cantatrice d’origine australienne.

Ce dessert est parfois appelé, à tort « pêche Melba ». En réalité, il se compose d’une demie-pêche dans un sirop vanillé, garnie d’un morceau de pâte d’amande pralinée et nappée d’un coulis de framboise, mélangé à peu de crème Chantilly. 

*      La sauce Béchamel par Alexandre

La Béchamel est une sauce blanche, préparée avec du beurre, de la farine, du lait bouillant. Son nom vient de Louis DE BECHAMEL (1630-1703), Marquis de Nointel, maître d’hôtel de Louis XIV. Au départ, cette sauce est nommée Béchameil, puis devient Béchamel au XVIIIe siècle. La recette est issue du perfectionnement d’une ancienne sauce (le jus de viande est remplacé par du lait ou de la crème fraîche) de Pierre François de La Vamenne, qui la dédia à Bechameil. Ceci suscita la jalousie du duc d’Escar : « Est-il heureux, ce petit Béchameil ! J’avais fait servir des émincés de blancs de volaille à la crème plus de vingt ans avant qu’il fût au monde et, voyez, pourtant je n’ai jamais eu le bonheur de pouvoir donner mon nom à la plus petite sauce ! »

*      La praline, par Sophie-Flore

Spécialité de Montargis depuis le XVIIe siècle, la praline est un bonbon fabriqué à partir d’une amende enrobée de sucre cuit (à 120°) dont l’aspect est bosselé. Traditionnellement colorée en rose, elle se déguste en tarte, dans des chocolats, nature ...

Clément JALUZOT, officier de bouche du duc César de CHOISEUL, comte de PLESSIS-PRASLIN (1598-1675), les aurait confectionné pour ce dernier. Il en aurait eu l’idée en voyant un marmiton grignoter ensemble des restes de caramel et d’amandes concassées. Jaluzot fait griller les amendes pour ensuite les enrober dans du sucre caramélisé. Lors d'un dîner de réconciliation entre les jurats de la ville de Bordeaux et le pouvoir royal, Jaluzot sert ses confiseries qui obtiennent un grand succès. Les convives demandent le nom de l’inventeur : le comte du Plessis-Praslin en revendique la paternité.

Lorsque Jaluzot se retire dans sa ville natale de Montargis, il ouvre une confiserie à l'enseigne de la Maison de la prasline. En 1903, la boutique est rachetée par Monsieur Mazet et existe toujours.

 

*      La clémentine, par Coline

La clémentine est un agrume, d’abord considérée comme un hybride entre le mandarinier et une variété de bigaradier (agrume rustique, sorte d’orange amère) à feuille de saule.  Ce fruit n’a pas de pépin contrairement à la mandarine. À maturité, le fruit est vert et ne devient orange que sous l’effet de la baisse des températures, en hiver.

La clémentine doit son nom au moine Vincent RODIER, dit PÈRE CLEMENT (1829-1904), qui vivait dans le petit village de Misserghin, près d’Oran (Algérie). Il dirigeait les pépinières de l’orphelinat.  En 1892, il aurait croisé volontairement une mandarine avec un bigaradier avec l’aide de Louis Charles Trabut (1853-1929), botaniste et médecin français. En hommage au religieux, le fruit est baptisée « clémentine » par la société d’horticulture d’Alger. Trabut publie en 1926, à Alger, La clémentine, Les Hybride du Citrus Nobilis.

 

*      La tarte des sœurs Tatin

Les sœurs Tatin tiennent un hôtel à Lameuthe Beuvron (Loir et Cher), où se retrouvent les bourgeois venus chasser en Sologne. L’aînée, Stéphanie (1838-1917), « la petite impératrice de Sologne », reçoit la clientèle. La cadette Caroline (1847-1911) se charge de la cuisine. Sa spécialité est la tarte aux pommes. Étourdie, Caroline enfourne sa tarte à l’envers, et la servit telle que sans s’en rendre compte : ce fut un succès.

Une autre histoire dit que la tarte ne fut pas renversée mais brûlée. Caroline décida de garder les pommes maintenant caramélisées et d mettre la pâte dessus pour qu’elles ne brûlent pas plus.

 

*      La madeleine, par Christelle

Madeleine PAUMIER est la aussi servante de la marquise Perrotin de Baumont. En 1755, elle remplace le pâtisser de Stanislas Leczinsky, ancien roi de Pologne et père de la femme de Louis XV, qui possédait une résidence secondaire à Commercy, en Lorraine. Le roi avait organisé une réception où il recevait Voltaire et Madame de Châtelet. Madeleine Paumier prépare des petits gâteaux parfumés à la bergamote que le roi nomme « Madeline » pour lui rendre hommage. Elle est très appréciée à la Cour de Louis XV.

En 1913, Marcel Proust (1871-1922) en fait la source de ses souvenirs d’enfance, dans À la recherche du temps perdu. Il parle d’ « un de ces gâteaux courts et dodus appelés Petites Madeleines qui semblent avoir été moulés dans la valve rainurée d’une coquille de Saint-Jacques. Et bientôt, machinalement, accablé par la morne journée et la perspective d’un triste lendemain, je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j’avais laissé s’amollir un morceau de madeleine. Mais à l’instant même où la gorgée [de thé] mêlée des miettes du gâteau toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d’extraordinaire en moi. Un plaisir délicieux m’avait envahi, isolé, sans la notion de sa cause ».

Signalé par Louis :

Le livre de Michel Caffier, Il était une fois… La Madeleine, Histoire et recettes d’un produit d’exception lorrain

Éditions La Nuée bleue, 2006.

17 février 2012

Bilan de la visite de Madame Foucaud : "Nourrir les hommes" (par GABRIEL)

Nourrir la planète

Compte rendu de la conférence de

Mme Foucaud de l’INRA

 Introduction

        L’alimentation, c’est tous ce qui est en rapport avec la nourriture, comme l’industrie agro-alimentaire, mais aussi tout ce qui est en rapport avec la nutrition. Aujourd’hui, le problème n’est pas de produire plus mais de produire mieux. Et oui car le problème actuel n’est pas le manque de denrées, mais un problème de redistribution : le pays du nord consomment trop et gaspillent, et les pays du sud manquent de denrées.

 

Le parcours des aliments

Apres avoir été produits, les aliments sont acheminé vers leur lieu de ventes, puis vers leur lieux de consommation. Les pays qui produisent les aliments pour après les envoyer à l’étranger sont appelés des pays exportateurs, à l’inverse, les pays qui achètent des denrées au pays exporateurs sont appelés pays importateurs. 

On aperçoit ici les principaux pays exportateurs en vert, et les principaux importateurs en oranges.

 ATTENTION, un pays exportateur peut aussi importer des denrées et vice-versa.

Le problème, c’est que les pays importateurs ne sont pas tous autosuffisants, ce qui les rends dépendants des pays riches, qui ont le loisir de fixer les prix des denrées, et c’est ça le problème. De plus, ces pays n’ont parfois pas les infrastructures nécessaires pour acheminer les denrées jusqu’aux petits villages reculé (exemple des paysans du lac Titicaca).

Une fois acheminées, il manque parfois les infrastructures nécessaires au stockage des aliments, ce qui les rend  très vite inaptes à la consommation humaines.


Les malnutritions célèbres

Il existe 2 malnutritions célèbres car répandues : l’obésité et l’anorexie.

a)   L’obésité: Surtout répandue dans les pays riche, elle est due à un surplus d’apport énergétique et à un manque d’activité. Pour la détecter, on doit calculer l’Indice de Développement Corporel. Si ce dernier est supérieur à 30, alors la personne concernée est déclaré obèse.

b)  L’Anorexie: Elle est, contrairement à l’obésité, une maladie psychologique qui a un impact sur la santé.


 ATTENTION,  l’anorexie est une maladie aussi grave que l’obésité…

Les personnes qui souffrent de l’anorexie sont le plus souvent des femmes. Elles pensent qu’elles sont trop grosses, et s’empêchent de manger pour cela.

 ATTENTION, une personne très maigre n’est pas forcément anorexique….

Il existe d’autre malnutritions, comme la boulimie, qui sont toutes aussi graves, mais moins communes.

L’Agriculture biologique

L’agriculture biologique est une agriculture qui se produit sans intrants chimiques (pesticides, insecticides,…). Les produits issus de l’agriculture biologique sont garantis par le logo AB.

Seul bémol de l’agriculture biologique : le prix. Il est souvent plus élevé que les produits équivalents issus d’agriculture basique, parce que pour vivre, les agriculteurs doivent toucher de plus grandes marges, qui leur assurent un revenu stable, car avec cette forme d’agriculture, les récoltes ne sont pas assurés toujours bonnes, contrairement à celle de l’agriculture commerciale. En fait, c’est comme au Moyen-Âge : la nature décide si la récolte sera bonne ou pas. Le terme « agriculture biologique » apparaît pour la première fois au milieu du XIXème siècle. Elle a été fondée par plusieurs personnes comme Albert Howard, Rudolph Steiner, Hans et Maria de Müller, Hans Peter Rush, et Masanobu Fukuoka.

Le PNNS

Le PNNS (Programme National Nutrition Santé) est un programme crée par l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments en 2001

Pour le PNNS, voir les sites:  

http://www.mangerbouger.fr/pnns/

http://www.sante.gouv.fr/lancement-du-programme-national-nutrition-sante-pnns-2011-2015.html

http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/nutrition/nutrition_guides_alimentaires.asp

 

 

06 février 2012

CONFERENCE DE MADAME FOUCAUD: Compte rendu de Louis Chagnon

NOURRIR  LA PLANÈTE »

 

 

Conférence de Madame Foucaud (INRA)

Collège Charles Péguy le 26 janvier 2012.

 

 NEUF MILLIARDS D’HABITANTS EN 2050

 

COMMENT NOURRIR LA PLANETE ?

 

L’enjeu tient en une phrase : comment nourrir près de 9 milliards d’individus ? Cette question est très importante car il s’agit non seulement de couvrir les besoins nutritionnels quantitatifs de la population mondiale, mais aussi de permettre à chacun un accès à une nourriture saine et équilibrée, produite par des systèmes respectueux de l’environnement.

 [Mme Foucaud a parlé des agriculteurs qui se lèvent très tôt le matin afin que la nourriture agricole arrive dans nos assiettes !

Produire mieux tout autant que produire plus constitue le véritable défi pour les agricultures du monde.

Il faut bien séparer l’alimentation des pays pauvres et celle des pays riches.

Dans les pays pauvres, nous parlons de malnutrition.

Dans les pays riches, nous avons assez d’aliments depuis les années 70, mais tout n’est pas utilisé.

 

Nous nous posons beaucoup de question sur le bio…

Il y a plusieurs débats sur le bio. Le bio, c’est moins de pesticides (produits chimiques) mais cela donne moins de productions.

Quand nous mangeons bio, nous ne mangeons pas forcément mieux !

Le bio nécessite un fort pouvoir d’achat car cela coûte plus cher.


En France, nous sommes 65 millions d’habitants (beaucoup de population à nourrir). Nous n’avons de problème de stockage car la France est un pays développé en technologie.

 

Programme national nutrition santé :

Publié depuis 2001 par l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), ce programme vise à établir des lignes de recommandation à destination de l'industrie en ce qui concerne la teneur nutritionnelle des produits (sels, sucre ajouté, etc.).

Il communique auprès du grand public à travers le site mangerbouger.fr, et utilise la notion de repères nutritionnels pour traduire les objectifs de santé publique en notions facilement applicables. (Ne pas manger trop gras, trop sucré, trop salé/ manger5 fruits et légumes par jour)

Les 9 repères :

·       Fruits et légumes : au moins 5 par jour

·       Les produits laitiers : au moins 3 par jour

·       Les féculents : à chaque repas et selon l’appétit

·       Viande, poisson ou œufs : 1 à 2 fois par jour

·       Matières grasses : à limiter

·       Produits sucrés : à limiter

·       Sel : à limiter

·       Eau : à volonté pendant et entre les repas

·       Activité physique : au moins 30 minutes par jour.

 

Quand nous mangeons, nous pouvons nous faire plaisir, mais le lendemain nous devons éliminer le trop plein en faisant du sport !

 

Définition de l’indice de masse corporelle (IMC)

L’indice de masse corporelle ou IMC est un indice qui a été reconnu par différentes instances internationales comme le meilleur moyen pour définir la maigreur, le surpoids et l’obésité.

Un simple calcul permet de calculer son IMC qui est égal au poids en kilos divisé par la taille en mètres au carré (taille x taille : poids).

Si le résultat se situe entre 18 et 25, le poids est considéré comme normal. Entre 25 et 30, la personne est en surpoids. Au-delà de 30, il s’agit d’une obésité. Un IMC inférieur à 18 définit la maigreur, souvent liée à une anorexie lorsque l’IMC est inférieur à 15. Ces valeurs ne correspondent pas à des normes esthétiques mais sont évaluées en fonction de critères de préservation (ou non) d’un bon état de santé. L'IMC est valable pour les adultes de 18 à 65 ans. Il ne prend pas en compte les enfants ni les adolescents (la croissance fausse le calcul). Il ne s'applique pas non plus aux femmes enceintes, ni aux grands sportifs ou aux pratiquants de musculation.

 Sur 65 millions d’habitants, nous avons 5,3 millions d’adultes obèses et 14,3 millions en surpoids !!! L’obésité n’est pas un problème facile à régler. L’obésité devient une maladie.    

                                                         

GASPILLAGE ALIMENTAIRE : 20 kg de déchets par personne.


Avec 20 kg de déchets par personne chaque année en France, ce sont quelque 1,2 million de tonnes de nourriture qui se retrouvent dans la poubelle des ménages. Ainsi, 7 kg d'aliments non entamés, encore emballés (1) sont jetés chaque année par personne. Ou encore, 13 kg de restes de repas, de fruits et légumes abîmés sont non consommés par an et par personne.

 

Le gaspillage alimentaire commence bien avant la poubelle des ménages ; dès la culture du produit, à chaque étape de sa transformation, de son transport, de sa mise en vente, jusqu'à nos assiettes, la moitié de la nourriture produite dans le monde est jetée.

Plus de 840 millions de personnes à travers le monde souffrent de la famine, en dépit d’une disponibilité alimentaire record par habitant, dans la plupart des pays et à l’échelon mondial.  Près de 40.000 enfants meurent chaque jour de malnutrition et de maladies connexes.  Les victimes sont les pauvres (aussi bien dans le Nord que dans le Sud).  Les populations (du Nord tout comme celles du Sud) sont déplacées de leurs terres, forêts, pâturages et zones de pêche.  Des milliards de personnes sont totalement exclues de la  vie économique de leurs pays respectifs et du monde et donc de la sécurité alimentaire.

L’impossibilité de se procurer des aliments peut avoir deux raisons : soit, il n’y a pas de nour­riture disponible soit, la nourriture est disponible mais les personnes qui en sont privées n’y ont pas accès.  Il ne fait aucun doute, pour les experts, qu’une nourriture suffisante est disponible (ou pour­rait être produite avec les ressources actuelles) non seulement à l’échelon mondial mais éga­lement dans presque tous les pays, même ceux dans lesquels la malnutrition sévit.  Beaucoup de soi-disant pays pauvres produisent des denrées alimentaires en quantité plus que suffisante non seulement pour le marché local mais également pour l’exportation, alors que la faim et la malnutrition persistent dans le pays. 

Aujourd’hui, la faim et la malnutrition ne sont pas associées à la disponibilité alimentaire mais sont plutôt une question de droits.

 

En conclusion, moi Louis, je réalise que j’ai beaucoup de chance de manger tous les jours à ma faim. Je mène une vie saine et active dans un beau pays !

Un grand merci à Mme Foucaud pour sa conférence sur l’alimentation.

 

 

28 janvier 2012

Faites sautez les crêpes !!

Pâte à crêpe 

Préparation : 5 min


Ingrédients (pour 10 crêpes environ) :
- 125 g de farine
- 3 œufs
- 35 cl de lait
- 1 pincée de sel

- 1 cuillère à soupe d'huile

Préparation :

Dans un saladier, versez la farine en fontaine et cassez 3 œufs au milieu.

Incorporez-les à la farine, en remuant avec une cuillère en bois.

Versez ensuite le lait et l'huile, en délayant progressivement de manière à éviter les grumeaux.

Si vous faites des crêpes sucrées, ajoutez 2 cuillères à soupe de sucre. Ajoutez une pincée de sel

Laissez reposer la pâte si possible 1 h avant de l'utiliser.

Si vous voulez des crêpes plus fines, mettez moitié eau, moitié lait.

Si vous les désirez plus légères, remplacez 1 verre de lait par un verre de bière.

Si vous les aimez plus moelleuses, incorporez 1 blanc d'œuf battu en neige à la pâte, au moment de confectionner les crêpes.

Je vous souhaite une bonne Chandeleur qui aura lui le 2 Février cette année !

Plaisir de bien manger, Découverte de la culture nationale, Transmission des valeurs familiales.

Les Français et le patrimoine culinaire :
Plaisir de bien manger, Découverte de la culture nationale, Transmission des valeurs familiales  
(D’après une étude Ipsos/ Logic Businesse Consulting)
 

Pour près de 95% français, la transmission du goût de faire la cuisine apparait primordiale dans l’éducation des enfants. Il permet de transmettre le plaisir de manger mais aussi l’attachement à son pays et à la famille. La cuisine reste une « passion française ».

 

Sitographie :

·         http://www.ipsos.fr/sites/default/files/attachments/les_francais_et_le_patrimoine_culinaire.pdf

·         http://alimentation.gouv.fr/la-cuisine-une-passion-francaise

Premières impressions sur la conférence de Madame Foucaud

Premières impressions sur la conférence de Madame Foucauld.

 

Nous remercions Mme Foucauld d’être venue nous présenter l’exposition « Nourrir les hommes », en ne ménageant ni son enthousiasme ni son temps. Voici quelques premiers avis des élèves.

 

*      Fanny Baillon : « Se nourrir est d’abord un plaisir ».

*      Garis Cluzeau : « J’ai apprécié que Mme Foucaud nous donne des chiffes précis mais aussi de pouvoir échanger mon point de vue avec elle ».

*      Lucile Duperon : « J’ai appris beaucoup de choses sur la situation française et j’ai mieux compris certaines choses ».

*      Océane Lopez : « L’alimentation est un plaisir mais il ne faut pas abuser de certaines choses : mangeons équilibré ! »

*      Johanna Pangilinan : « J’ai découvert beaucoup de choses sur les problèmes de santé lié à l’alimentation ».

*      Loïc Petit : « La conférence de Mme Foucaud m’a permise de réaliser la chance que j’ai de manger à ma faim ».

*      Joséphine Saglio : « J’ai aimé le fait que Mme Foucaud nous demande notre avis. Mme Foucaud était très impliquée et très touchée par ce qu’elle nous expliquait ».

 

 

25 janvier 2012

le livre de cuisine médiévale des 5ème 4

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