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Prochainement, le compte-rendu de notre premier déplacement sur le site et notre plongée dans le monde des serres expérimentales... Une expérience à revivre !!! 

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17 février 2012

Bilan de la visite de Madame Foucaud : "Nourrir les hommes" (par GABRIEL)

Nourrir la planète

Compte rendu de la conférence de

Mme Foucaud de l’INRA

 Introduction

        L’alimentation, c’est tous ce qui est en rapport avec la nourriture, comme l’industrie agro-alimentaire, mais aussi tout ce qui est en rapport avec la nutrition. Aujourd’hui, le problème n’est pas de produire plus mais de produire mieux. Et oui car le problème actuel n’est pas le manque de denrées, mais un problème de redistribution : le pays du nord consomment trop et gaspillent, et les pays du sud manquent de denrées.

 

Le parcours des aliments

Apres avoir été produits, les aliments sont acheminé vers leur lieu de ventes, puis vers leur lieux de consommation. Les pays qui produisent les aliments pour après les envoyer à l’étranger sont appelés des pays exportateurs, à l’inverse, les pays qui achètent des denrées au pays exporateurs sont appelés pays importateurs. 

On aperçoit ici les principaux pays exportateurs en vert, et les principaux importateurs en oranges.

 ATTENTION, un pays exportateur peut aussi importer des denrées et vice-versa.

Le problème, c’est que les pays importateurs ne sont pas tous autosuffisants, ce qui les rends dépendants des pays riches, qui ont le loisir de fixer les prix des denrées, et c’est ça le problème. De plus, ces pays n’ont parfois pas les infrastructures nécessaires pour acheminer les denrées jusqu’aux petits villages reculé (exemple des paysans du lac Titicaca).

Une fois acheminées, il manque parfois les infrastructures nécessaires au stockage des aliments, ce qui les rend  très vite inaptes à la consommation humaines.


Les malnutritions célèbres

Il existe 2 malnutritions célèbres car répandues : l’obésité et l’anorexie.

a)   L’obésité: Surtout répandue dans les pays riche, elle est due à un surplus d’apport énergétique et à un manque d’activité. Pour la détecter, on doit calculer l’Indice de Développement Corporel. Si ce dernier est supérieur à 30, alors la personne concernée est déclaré obèse.

b)  L’Anorexie: Elle est, contrairement à l’obésité, une maladie psychologique qui a un impact sur la santé.


 ATTENTION,  l’anorexie est une maladie aussi grave que l’obésité…

Les personnes qui souffrent de l’anorexie sont le plus souvent des femmes. Elles pensent qu’elles sont trop grosses, et s’empêchent de manger pour cela.

 ATTENTION, une personne très maigre n’est pas forcément anorexique….

Il existe d’autre malnutritions, comme la boulimie, qui sont toutes aussi graves, mais moins communes.

L’Agriculture biologique

L’agriculture biologique est une agriculture qui se produit sans intrants chimiques (pesticides, insecticides,…). Les produits issus de l’agriculture biologique sont garantis par le logo AB.

Seul bémol de l’agriculture biologique : le prix. Il est souvent plus élevé que les produits équivalents issus d’agriculture basique, parce que pour vivre, les agriculteurs doivent toucher de plus grandes marges, qui leur assurent un revenu stable, car avec cette forme d’agriculture, les récoltes ne sont pas assurés toujours bonnes, contrairement à celle de l’agriculture commerciale. En fait, c’est comme au Moyen-Âge : la nature décide si la récolte sera bonne ou pas. Le terme « agriculture biologique » apparaît pour la première fois au milieu du XIXème siècle. Elle a été fondée par plusieurs personnes comme Albert Howard, Rudolph Steiner, Hans et Maria de Müller, Hans Peter Rush, et Masanobu Fukuoka.

Le PNNS

Le PNNS (Programme National Nutrition Santé) est un programme crée par l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments en 2001

Pour le PNNS, voir les sites:  

http://www.mangerbouger.fr/pnns/

http://www.sante.gouv.fr/lancement-du-programme-national-nutrition-sante-pnns-2011-2015.html

http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/nutrition/nutrition_guides_alimentaires.asp

 

 

06 février 2012

CONFERENCE DE MADAME FOUCAUD: Compte rendu de Louis Chagnon

NOURRIR  LA PLANÈTE »

 

 

Conférence de Madame Foucaud (INRA)

Collège Charles Péguy le 26 janvier 2012.

 

 NEUF MILLIARDS D’HABITANTS EN 2050

 

COMMENT NOURRIR LA PLANETE ?

 

L’enjeu tient en une phrase : comment nourrir près de 9 milliards d’individus ? Cette question est très importante car il s’agit non seulement de couvrir les besoins nutritionnels quantitatifs de la population mondiale, mais aussi de permettre à chacun un accès à une nourriture saine et équilibrée, produite par des systèmes respectueux de l’environnement.

 [Mme Foucaud a parlé des agriculteurs qui se lèvent très tôt le matin afin que la nourriture agricole arrive dans nos assiettes !

Produire mieux tout autant que produire plus constitue le véritable défi pour les agricultures du monde.

Il faut bien séparer l’alimentation des pays pauvres et celle des pays riches.

Dans les pays pauvres, nous parlons de malnutrition.

Dans les pays riches, nous avons assez d’aliments depuis les années 70, mais tout n’est pas utilisé.

 

Nous nous posons beaucoup de question sur le bio…

Il y a plusieurs débats sur le bio. Le bio, c’est moins de pesticides (produits chimiques) mais cela donne moins de productions.

Quand nous mangeons bio, nous ne mangeons pas forcément mieux !

Le bio nécessite un fort pouvoir d’achat car cela coûte plus cher.


En France, nous sommes 65 millions d’habitants (beaucoup de population à nourrir). Nous n’avons de problème de stockage car la France est un pays développé en technologie.

 

Programme national nutrition santé :

Publié depuis 2001 par l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), ce programme vise à établir des lignes de recommandation à destination de l'industrie en ce qui concerne la teneur nutritionnelle des produits (sels, sucre ajouté, etc.).

Il communique auprès du grand public à travers le site mangerbouger.fr, et utilise la notion de repères nutritionnels pour traduire les objectifs de santé publique en notions facilement applicables. (Ne pas manger trop gras, trop sucré, trop salé/ manger5 fruits et légumes par jour)

Les 9 repères :

·       Fruits et légumes : au moins 5 par jour

·       Les produits laitiers : au moins 3 par jour

·       Les féculents : à chaque repas et selon l’appétit

·       Viande, poisson ou œufs : 1 à 2 fois par jour

·       Matières grasses : à limiter

·       Produits sucrés : à limiter

·       Sel : à limiter

·       Eau : à volonté pendant et entre les repas

·       Activité physique : au moins 30 minutes par jour.

 

Quand nous mangeons, nous pouvons nous faire plaisir, mais le lendemain nous devons éliminer le trop plein en faisant du sport !

 

Définition de l’indice de masse corporelle (IMC)

L’indice de masse corporelle ou IMC est un indice qui a été reconnu par différentes instances internationales comme le meilleur moyen pour définir la maigreur, le surpoids et l’obésité.

Un simple calcul permet de calculer son IMC qui est égal au poids en kilos divisé par la taille en mètres au carré (taille x taille : poids).

Si le résultat se situe entre 18 et 25, le poids est considéré comme normal. Entre 25 et 30, la personne est en surpoids. Au-delà de 30, il s’agit d’une obésité. Un IMC inférieur à 18 définit la maigreur, souvent liée à une anorexie lorsque l’IMC est inférieur à 15. Ces valeurs ne correspondent pas à des normes esthétiques mais sont évaluées en fonction de critères de préservation (ou non) d’un bon état de santé. L'IMC est valable pour les adultes de 18 à 65 ans. Il ne prend pas en compte les enfants ni les adolescents (la croissance fausse le calcul). Il ne s'applique pas non plus aux femmes enceintes, ni aux grands sportifs ou aux pratiquants de musculation.

 Sur 65 millions d’habitants, nous avons 5,3 millions d’adultes obèses et 14,3 millions en surpoids !!! L’obésité n’est pas un problème facile à régler. L’obésité devient une maladie.    

                                                         

GASPILLAGE ALIMENTAIRE : 20 kg de déchets par personne.


Avec 20 kg de déchets par personne chaque année en France, ce sont quelque 1,2 million de tonnes de nourriture qui se retrouvent dans la poubelle des ménages. Ainsi, 7 kg d'aliments non entamés, encore emballés (1) sont jetés chaque année par personne. Ou encore, 13 kg de restes de repas, de fruits et légumes abîmés sont non consommés par an et par personne.

 

Le gaspillage alimentaire commence bien avant la poubelle des ménages ; dès la culture du produit, à chaque étape de sa transformation, de son transport, de sa mise en vente, jusqu'à nos assiettes, la moitié de la nourriture produite dans le monde est jetée.

Plus de 840 millions de personnes à travers le monde souffrent de la famine, en dépit d’une disponibilité alimentaire record par habitant, dans la plupart des pays et à l’échelon mondial.  Près de 40.000 enfants meurent chaque jour de malnutrition et de maladies connexes.  Les victimes sont les pauvres (aussi bien dans le Nord que dans le Sud).  Les populations (du Nord tout comme celles du Sud) sont déplacées de leurs terres, forêts, pâturages et zones de pêche.  Des milliards de personnes sont totalement exclues de la  vie économique de leurs pays respectifs et du monde et donc de la sécurité alimentaire.

L’impossibilité de se procurer des aliments peut avoir deux raisons : soit, il n’y a pas de nour­riture disponible soit, la nourriture est disponible mais les personnes qui en sont privées n’y ont pas accès.  Il ne fait aucun doute, pour les experts, qu’une nourriture suffisante est disponible (ou pour­rait être produite avec les ressources actuelles) non seulement à l’échelon mondial mais éga­lement dans presque tous les pays, même ceux dans lesquels la malnutrition sévit.  Beaucoup de soi-disant pays pauvres produisent des denrées alimentaires en quantité plus que suffisante non seulement pour le marché local mais également pour l’exportation, alors que la faim et la malnutrition persistent dans le pays. 

Aujourd’hui, la faim et la malnutrition ne sont pas associées à la disponibilité alimentaire mais sont plutôt une question de droits.

 

En conclusion, moi Louis, je réalise que j’ai beaucoup de chance de manger tous les jours à ma faim. Je mène une vie saine et active dans un beau pays !

Un grand merci à Mme Foucaud pour sa conférence sur l’alimentation.

 

 

28 janvier 2012

Premières impressions sur la conférence de Madame Foucaud

Premières impressions sur la conférence de Madame Foucauld.

 

Nous remercions Mme Foucauld d’être venue nous présenter l’exposition « Nourrir les hommes », en ne ménageant ni son enthousiasme ni son temps. Voici quelques premiers avis des élèves.

 

*      Fanny Baillon : « Se nourrir est d’abord un plaisir ».

*      Garis Cluzeau : « J’ai apprécié que Mme Foucaud nous donne des chiffes précis mais aussi de pouvoir échanger mon point de vue avec elle ».

*      Lucile Duperon : « J’ai appris beaucoup de choses sur la situation française et j’ai mieux compris certaines choses ».

*      Océane Lopez : « L’alimentation est un plaisir mais il ne faut pas abuser de certaines choses : mangeons équilibré ! »

*      Johanna Pangilinan : « J’ai découvert beaucoup de choses sur les problèmes de santé lié à l’alimentation ».

*      Loïc Petit : « La conférence de Mme Foucaud m’a permise de réaliser la chance que j’ai de manger à ma faim ».

*      Joséphine Saglio : « J’ai aimé le fait que Mme Foucaud nous demande notre avis. Mme Foucaud était très impliquée et très touchée par ce qu’elle nous expliquait ».

 

 

14 novembre 2011

Parole d'expert. Des complément sur notre sortie à l'INRA par M. GRILLOT, l'expert des serres.

Parole d’expert.

Des compléments sur notre sortie à l’INRA par M. GRILLOT, l’expert des serres.

 v  Présentation :

M. Grillot travaille dans l'une des stations du centre de l'INRA de Versailles : l'Institut Jean-Pierre Bourgin. Il est responsable d’une des installations expérimentales (groupe de serres) : la serre « S2 + », où se trouve en majorité du tabac servant d'outil de recherche dite "fondamentale".

v  Les serres :

Un groupe d’élèves a visité la le groupe de serres II (Arabidopsis) et le deuxième, groupe de serres III (Tabacs, Coton et Lin ). Dans cette dernière, nous avons pu voir une nouvelle espèce modèle « la Caméline » appréciable pour ses omégas, de la capselle bourse à Pasteur ainsi que de la cardamine et du maïs, du sorgho, de la monnaie du Pape. La serre est en climat "chaud" (25 à 28°C). 

v   Des petits rectificatifs :

Le "blanchiment des serres" sert à limiter en période chaude, de mai à fin septembre, les pics de rayonnement solaire et par conséquent les montées en température à ce moment. Ce produit utilisé à la capacité de devenir translucide lorsqu'il pleut et donc de laisser rentrer à nouveau la lumière à ce moment. Le produit reblanchit en séchant. 

03 novembre 2011

Une "mise en bouche" sur notre première visite à l'INRA

L’INRA: "mise en bouche" sur notre première visite sur site 

Tous nos remerciements à Madame Foucault et à Monsieur Grégoire pour leur accueil et pour la richesse de leur présentation, ainsi qu'à notre guide dans l'univers de la serre expérimentale, expérience qui a plu autant aux élèves qu’aux professeurs.

Présentation de l’INRA : un établissement public à caractère scientifique et technologique, 2e organisme de recherche public français

Le centre de recherche de l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) est crée en 1946.  C’est un établissement public à caractère scientifique et technologique, sous-tutelle des ministères en charge de la Recherche et de l’Agriculture.  

L’INRA possède 21 centres régionaux en France et en outre-mer (à Angers, Nantes, Lille, Caen… et en Guyane). L’Ile-de-De-France compte trois centres : Paris (centra administratif), Versailles-Grignon, Jouy-en-Josas (consacré à la biologie animale, à la microbiologie et à la biologie alimentaire). Chaque centre travaille sur un thème lié à sa position territoriale. Le centre de Clermont-Ferrand-Theix se concentre sur la question de l’élevage ovin et bovin et sur les plantes telles que le colza, le tournesol, le blé.

L’antenne de Versailles-Grignon comprend 6 sites géographiques dont Thiverval-Grignon, Marne La Vallée, Évry, Gif sur Yvette. Il possède 60 hectares de culture.

8500 personnes travaillent à l’INRA  sans compter les personnes détachées du CNRS, des grandes écoles ou des universités. Versailles-Grignon rassemble 1400 personnes dont 800 appartenant à l’INRA.

Domaines d’intervention :

L’INRA intervient dans trois domaines :

  • l’agriculture (animaux, plantes pour se nourrir)
  • l’alimentation (fabrication, transformations des produits agricoles, devenir des aliments dans l’organisme)
  • l’environnement (paysage, équilibre entre les plantes et les animaux, engrais, pesticides)

L’alimentation est un domine complexe qui mobilise de nombreuses disciplines allant des sciences économiques, à la biologie en passant par la toxicologie et les mathématiques. L'INRA aborde l’alimentation sous trois regards:

  • le goût: comprendre la composition des aliments.
  • le comportement alimentaire: comprendre les pratiques du consommateur, ses choix alimentaires.  
  • la santé et la sécurité: évaluer et prévenir les risques a sein de la filière alimentaire.

27% du budget global de l'INRA est consacré aux recherches sur l'alimentation. L'Institut participe à plusieurs projets européens. L'INRA est le 1er institut de recherche agronomique en Europe. 

A l'INRA, la recherche se veut "finalisée": elle doit déboucher sur des applications concrètes dans l'agriculture ou dans l'industrie agroalimentaire. 

Métiers à l’INRA :

·         En Laboratoire :

L’outil de base est le microscope.

·         Dans l’administration :

On y travail sur la réglementation, domaine en constante évolution.  On y gère le budget.

·         Dans l’expérimentation :

Il s’agit d’entretenir des parcelles de terre, d’observer les semis, la pousse des plantes. Le chercheur isole certaines plantes. Un exemple d’expérimentation : la résistance aux parasites.

Les niveaux d'études requis sont très variés:
  • Chercheurs: niveau Bac +8. Ils élaborent les programmes de recherches en laboratoire.
  • Ingénieurs: niveau Bac +. Ils conçoivent et mettent en oeuvre des expérimentations. 
  • Techniciens: niveau Bac. Ils préparent et entretiennent le matériel et les locaux nécessaires aux expérimentateurs, effectuent des adaptations techniques. 

Les serres :

Chaque serre a ses particularités sur la culture. Le niveau de sécurité est le niveau « 2 + »: aucun pollen, insecte ne doit s'introduire dans la serre ou peine de devenir un facteur de pollution pour la nature. C'est une serre confinée, à la protection maximale. Les eaux sortantes de la serre sont récupérées et traitées avant d'être rejetée dans la nature. 

Nous avons visité un prototype avec un climat chaud, revêtus de blouses blanches et de protections sur nos chaussures. La serre se présente comme une petite loge, dotée de son propre climat et de sa propre hydrométrie. A l'entrée se trouve une grille sur laquelle nous frottons nos chaussures pour y éliminer d'éventuelles graines et déchets, et ne pas contaminer la serre. Certains techniciens travaillent sur le projet "Esquimau": l'objectif est de savoir pourquoi certaines plantes résistent mieux au froid.  Certains ont pu voir  des plantes à quatre pétales en croix, dites plantes crucifères, comme l"Arabette des dames" dont le nom scientifique est " Arabidopsis thaliana ". Cette plante  est un organisme modèle pour la recherche génétiques avec ses 25 000 gènes. Afin d'éviter les moucherons, elle pousse sur du liège et dans du terreau.

A la fin de chaque expérience, les plantes utilisées sont détruites dans un bac métallique.

Types de plantes :

  • coton : il existe du coton brun !!! c’est une plante fragile qui attire les parasites.
  • sorgho : c’est une panicule. On s’en sert pour l’ensilage du bétail, comme céréales en Afrique, ou comme biocarburant de 2e génération.
  • palmier : plante fragile.
Du sorgho
Les toits de serres sont recouverts d’un produit qui leur donne une couleur bleu ou blanche en fonction des besoins en chaleur de la plante.

Les thrips sont des insectes suceurs et pinceurs qui entrent dans les serres par l'intermédiaire d'autres êtres vivants. Ils sont phytophages (se nourrissent d'autres végétaux).
Certaines plantes portent des petits sachets contenant des oeufs de petits insectes carnivores prédateurs des thrips. 

Parcelles expérimentales :

En 1928 : il y a 42 parcelles expérimentales sur un sol limoneux. On y apporte des engrais chimiques mais on garde une parcelle témoins. On y observe les effets des différents engrais (azoté, potassique, phosphaté) sur le long terme. 

17 octobre 2011

Quelques photos de notre première sortie à l'INRA

Première sortie

Prochainement, le compte-rendu de notre premier déplacement sur le site et notre plongée dans le monde des serres expérimentales... Une expérience à revivre !!!