05 janvier 2012

ACOUSTIQUE... Raymond Queneau !

Un petit poème qui en dit long...

 

Acoustique

Un enfant pleure
une radio crie
une auto freine
une moto pète
un marteau frappe
une hie ronfle
un bus passe
et pourtant il y a encore dans l’espace
des pans
qui ne bougent pas

Raymond Queneau

Nous avons continué le poème :

Une voiture klaxonne
Un marchand crie
Des machines ronronnent
Des chats miaulent
Des oiseaux chantent
Des chiens aboient
Des gens parlent
Des portes et des talons claquent
Une sirène de pompiers hurle
Des policiers sifflent
Des trains crissent
Des hélicoptères soufflent
Des écouteurs bourdonnent

Sa biographie : http://classes.bnf.fr/dossitsm/b-quenea.htm#Citations

Pour travailler les verbes au présent :

http://www.lepointdufle.net/ressources_fle/conjugaison_present.htm

http://www.lepointdufle.net/present.htm

Travail sur les variations :

  • Mettre au pluriel.
  • Remplacer le sujet par un pronom.
  • Changer de temps : hier/demain.
  • Inventer d'autres phrases avec le lexique de la ville.
  • Voir la séquence : VOIR LA SÉQUENCE.

LA VALISE...

LA VALISE

Lors d'un voyage, on prépare sa valise avec les objets nécessaires à son séjour. Mais quand il s'agit de quitter son pays, comment fait-on ?

Le projet de "La valise" était une idée de longue date, inspirée d'une escapade à la Cité de l'Immigration, à Paris. Et la visite de l'exposition "Géographies", de Ghislaine Escande, le 3 mars, au musée de l'Éducation de Saint-Ouen l'Aumône, l'a accéléré. C'est ainsi que les œuvres de G. Escande nous ont invités, au cours de français de l'Apiref,  à parler de la valise.

Un exil n'est pas toujours pensé à l'avance, une guerre brûle tout, donc on met ses photos de souvenirs dans son baluchon et on part vite !

L'exode est déchirant : j'emporte la théière de ma mère pour me rappeler d'elle... Ailleurs on ne le connaît pas, j'emmène mon sac de semoule...

Ma valise de venu d'ailleurs...

http://www.calameo.com/read/00012277139d4c6acbaed


18 décembre 2011

La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf

Une nouvelle version de "La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf", de Jean de la Fontaine,

vue par Mamoye, Zareta, Sulaksan, Diogo, Martha, Sidika, Tariqul et Mary.


12 décembre 2011

LA RUE CASES-NÈGRES... Suite

Léopold

Léopold était le fils du propriétaire des champs de cannes à sucre. Il était très riche. Léopold était un camarade de classe de José. Ils étaient tous les deux très bons amis mais le père de Léopold ne voulait pas qu’ils soient amis.

Un jour, le père de Léopold mourut et Léopold n’est plus jamais allé à l’école. Léopold avait découvert que son père ne l’aimait pas.

Quelque temps plus tard, le garçon fut emprisonné parce qu’il avait volé les livres de comptes des propriétaires pour montrer à la population qu’elle était volée.

Léopold était métis au contraire de ses camarades de classe, et, à cause de cela, son père ne voulait pas que les autres parlent avec son fils.

Léopold était un petit garçon comme José.

Inès

José

 

C’est un petit garçon. Il est noir. Il s’appelle José. Il vit avec sa grand-mère, elle s’appelle M’man Tine. Ses parents sont morts.

Il va à l’école et mange le midi chez madame Léonce. Mais madame Léonce le fait travailler et il arrive toujours en retard au cours.

Un jour, son professeur le punit et il se cache pour aller chez madame Léonce casser sa vaisselle.

Il part à Fort-de-France pour apprendre et un jour, le professeur du lycée lui dit qu’il a triché dans un devoir. José s’enfuit.

Le professeur vient alors chez lui pour s’excuser parce qu’il a compris que José n’avait pas triché.

M’man Tine meurt, à la fin du film.

 

Mamadou


Léopold

 

Léopold, ami de José, est gentil. Mais son père n’est pas gentil.

Un jour, alors que le garçon arrive avec José sur son cheval, le père les regarde et appelle son fils.

Il lui demande pourquoi il joue avec José et lui dit de monter dans la voiture. Le père demande à José d’amener le cheval mais l’animal refuse d’avancer.

Le père vient chercher le cheval mais tombe et se fait très mal.

Le médecin dit que l’on ne peut pas sauver le père et celui-ci meurt quelque temps après.

 

Mary-Fénina



M. Médouze

 

M. Médouze raconte toujours des histoires au petit José. Il raconte ce qui se passe en Afrique, le continent d’où viennent ses ancêtres.

Un jour, José s’assoit près du lit où M. Médouze est allongé, dans sa case. José demande s’il pourrait partir un jour en Afrique avec lui. Mais le vieil homme dit que c’est impossible, seulement son esprit partira lorsqu’il sera mort.

Un soir, José trouve la porte de la case de M. Médouze fermée. Inquiet, il court chez lui et prévient sa grand-mère. Tout le monde cherche monsieur Médouze dans les prés et la forêt. Le petit José le trouve allongé, il est mort. José crie bien fort pour que tout le monde revienne.

 

Francia


M’man Tine

 

C’est la grand-mère de José. Elle n’est pas riche. Elle est habillée pauvrement.  

Elle s’occupe de José. Dans le film, lorsqu’elle est fâchée, elle tape José. Mais quand José réussit ses examens, elle est contente et devient gentille.

 

Conceiçao



Léopold

 

Léopold est un garçon, ami de José depuis le collège. Il est riche et vit avec sa mère et son père.

Il a les yeux marron.

A l’école, il est assis à côté de José. Après l’école, ils marchent ensemble jusqu’à chez lui. En rentrant, sa mère lui dit que son père ne veut pas qu’il joue avec José parce qu’il est pauvre.

Un jour, les deux garçons arrivent sur le cheval de Léopold mais le père se fâche. Il dit à Léopold de monter dans la voiture et à José d’amener le cheval.

Mais le cheval refuse d’avancer alors le père le tire mais il tombe dans la rivière et se blesse.

Une infirmière vient soigner le père. Léopold entend que son père ne veut pas le reconnaître et lui donner son nom, alors il part en courant.

Plus tard, il vole le cahier de comptes et part en prison.

 

Carmen


José

 

José est un petit garçon avec les cheveux courts, il est de couleur noire et maigre.

Il étudie dans une école et habite une maison faite de planches de bois.

José fait beaucoup de bêtises avec ses amis de l’école.

Il est pauvre et vit avec sa grand-mère. Un jour, il casse son bol et elle le tape avec un martinet.

José aime beaucoup lire des histoires et aller à l’école.

Il part au lycée et un professeur dit qu’il a triché dans son devoir. Mais le professeur part chez lui voir sa grand-mère et lui dire qu’il avait fait un bon devoir.

La grand-mère meurt à la fin du film.

 

Filipe


José

 

L’histoire parle d’un enfant qui vit avec sa grand-mère dans un village. Tous les villageois partent travailler tous les jours pour être payés misérablement pendant que José joue avec ses amis.

M. Médouze lui raconte des histoires chaque jour.

Un jour, les enfants étaient en train de jouer et ils découvrent un œuf. Ils décident de le cuire mais ils mettent le feu à la case du voisin. Le soir, ils ont été tapés.

José mange le midi chez madame Léonce mais il arrive toujours en retard à l’école parce que madame Léonce a décidé de le faire travailler.

M’man Tine, la grand-mère, le découvre et ils déménagent.

José entre au lycée mais un professeur l’accuse de tricher. José s’enfuit en courant mais plus tard, le professeur vient chez lui s’excuser.

La grand-mère retourne au village pour commander un beau costume pour José mais elle se sent mal. José s’inquiète et part la chercher. Il voit son ami Léopold prisonnier. Sa grand-mère meurt. Il est seul maintenant puisque monsieur Médouze aussi est mort.

 

Mohamed

08 décembre 2011

LA RUE CASES-NÈGRES

Rue Cases-Nègres est un film français réalisé par Euzhan Palcy en 1983. C'est une adaptation du roman de Joseph Zobel.

À la fin de la semaine, les ouvriers agricoles vont chercher leur salaire. Mais on ne leur donne pas beaucoup d’argent alors qu’ils travaillent très dur. M’man Tine prépare le repas mais il n’y a pas beaucoup à manger parce qu’elle ne gagne pas beaucoup d’argent.

José réussit ses examens, il a sauté de joie et M’man Tine l’a embrassé. Monsieur Roc, l’instituteur, a félicité José.

José part au lycée.

Sidika


 Dans le village de José, tout le monde, même les enfants, travaille très dur. Mais les chefs donnent seulement un peu d’argent. Un ouvrier n’est pas d’accord, alors un chef se met en colère et l’ouvrier s’en va.

La grand-mère de José ne veut pas qu’il travaille dans les champs de canne à sucre. Elle veut qu’il aille à l’école. Mais José veut faire comme les autres enfants. Finalement, il continue ses études.

Mary-Fénina


 

D’abord la grand-mère est forte pour le travail. Elle travaille beaucoup pour payer le lycée pour José. Puis elle tombe malade, elle est trop fatiguée. José lui avait promis une belle maison avec des fleurs. Mais M’man Tine meurt.

Tariqul


 

C’est très triste. Le vieux monsieur, M. Médouze, est mort. Je l’aimais bien parce qu’il racontait des histoires.

Les enfants ont bu du rhum et ils ont mis le feu à une case. Les adultes les ont punis. Pour ne pas être seuls au village, ils sont obligés de travailler dans les champs de canne à sucre.

José a réussi ses examens. C’est bien, sa grand-mère est contente.

Mamoye


 

Au début, Léopold était riche.

Quand il pleuvait, les autres mettaient du papier journal sous leurs habits, mais lui ne faisait pas ça.

Le père de Léopold, un béké, est propriétaire des champs de canne à sucre. Mais quand il meurt, il ne veut pas donner son nom à son fils qui s’enfuit en pleurant.

Plus tard, Léopold devient pauvre comme les autres. Il doit travailler à l’usine. Il vole le cahier de comptes pour montrer aux ouvriers que les propriétaires gagnent beaucoup alors qu’ils ne gagnent qu’un petit peu d’argent.

Il est arrêté et mis en prison.

Issiaka


 

José est au lycée. Il écrit une belle rédaction mais le professeur dit qu’il a triché. José pleure, triste, et il part voir Carmen son ami. Il lui dit qu’il n’a pas triché.

Pendant ce temps, le professeur va chez José et dit à sa grand-mère que José a fait un bon travail. Il présente ses excuses.

José arrive et sa grand-mère dit :

-         Tu as fait un bon travail !

José saute de joie. Il est content.

Sulaksan


 

C’est José et son amie. Ils partent à l’école. Ils portent un paquet avec leurs cahiers.

Le professeur, monsieur Roc, est gentil mais sévère. Il tire les oreilles des élèves qui se bagarrent ou qui arrivent en retard.

Mary


 

José est un garçon très bon élève à l’école. Mais il fait aussi des bêtises. José réussit ses examens et obtient une bourse pour le lycée.

Le lycée est très cher pour la grand-mère, elle doit travailler dur. Elle lave et repasse beaucoup de linge. M’man Tine ne veut pas que José travaille dans les champs de canne à sucre.

Diogo


 

Les parents travaillent aux champs de canne à sucre. Les enfants entrent dans le jardin d’un voisin, mangent les fruits et trouvent un œuf de poule. La plus grande demande à la plus petite d’aller chercher des allumettes. La petite rapporte des allumettes et une bouteille de rhum.

Les enfants boivent et deviennent saouls. Un garçon met le feu au jardin et tous les enfants dansent.

Les adultes éteignent le feu et les enfants sont battus. Mais M’man Tine dit au voisin :

-         Tu n’as pas honte de taper ces enfants ?!...

Les enfants sont obligés par les békés d’aller travailler dans les champs de canne à sucre pour ne pas rester seuls dans le bourg.

Issiaka


 

La grand-mère fait tout pour que son garçon soit un bon garçon à l’école. Ainsi, il sera un bon élève. Le jour où elle est partie pour l’inscrire au lycée, il fallait beaucoup d’argent, alors elle a travaillé toute la nuit.

Karim

LA BALANCE

La balance est un film d'animation de Wolfgang et Christoph Lauerstein (1989).

C'est un conte d'aujourd'hui qui nous enseigne la sagesse et le partage.

Ce film est visible en cliquant sur le lien suivant :

http://www.youtube.com/watch?v=3vpmuMHor6Q&noredirect=1

Voici ce que nous en avons écrit :

Dans le film d’animation « La balance », il y a cinq hommes égaux sur une plate-forme suspendue dans le vide. Dans un premier temps, les hommes essaient d’équilibrer la plate-forme, pour ne pas tomber.

Puis ils sortent de leur poche une canne à pêche et commencent à pêcher. Un homme pêche un coffre ; ils veulent tous voir ce qui est à l’intérieur du coffre.

D’abord, un veut voir ce qui est à l’intérieur, alors les autres se déplacent pour maintenir l’équilibre de la plate-forme. Ensuite, un autre veut le coffre et il élimine tous ses amis en les poussant dans le vide pour garder le coffre pour lui seul. Mais comme il doit maintenir l’équilibre de la plate-forme, il ne peut pas toucher au coffre qui est à l’autre bout.

La morale de l’histoire est que l’on ne doit pas être ambitieux ni tuer ses amis pour avoir une chose de valeur.

Marlène

Il était un film d’animation nommé « la balance ». il y avait cinq hommes sur une plate-forme. La plate-forme était dans le vide. Comme tous les frères sont égoïstes, ils ne savaient pas quoi faire. Un partait sur le côté, puis un autre, encore un autre et un autre aussi. Un prend quelque chose, puis tous prennent quelque chose qui est un genre de bâton, on dirait une canne à pêche.

Un se mit à pêcher et tira une mallette dans  laquelle il y avait une sorte de radio et tous voulurent écouter la musique… Un prend la mallette puis un autre, etc…

Il se passa quelque temps puis un des hommes, ne sachant pas quoi faire, eut l’idée de partir de son côté pour que la mallette le rejoigne. Et tous eurent l’idée de faire la même chose, chacun à son tour. Puis un eut l’idée de faire tomber les autres dans le vide. Lui-même faillit tomber en poussant ses frères. Alors il va d’un côté de la plate-forme et la mallette va aussi de son côté pour équilibrer la plate-forme.

Le message est que personne ne doit être égoïste avec ses frères ou ses sœurs.

Fatimata

Ils étaient cinq frères sur une plate-forme dans le vide.

Les cinq frères étaient regroupés au début, après quelques secondes ils se séparèrent pour aller chacun à un coin de la plate-forme qui avait la forme d’un carré. Ils prirent chacun, l’un après l’autre,  leur canne à pêche. Un releva sa canne à pêche, il avait remonté une boîte. C’était une boîte à jouer. Il commença à jouer avec la boîte pendant que les autres allaient dans un autre coin pour ne pas tomber. Trois se déplacèrent pour faire glisser la boîte vers eux et ainsi de suite…

Les cinq frères avaient des numéros dans le dos. Un des frères voulait la boîte à jouer rien que pour lui, il n’avait pas d’autre choix que de se débarrasser des autres. Il était parvenu à les tuer mais ne pouvait plus jouer avec la boîte  parce que s’il allait vers elle, la plate-forme montait ou baissait. Alors la boîte venait vers lui mais il n’avait pas assez de forces pour l’arrêter…

Le message du film

Le film veut nous apprendre que l’on doit partager, on ne doit pas avoir tout pour soi tout seul. Il a tué ses frères et finalement il ne peut même pas profiter de la boîte.  Il se retrouve tout seul avec la boîte et il ne peut rien faire.

Nathanaël


Une plate-forme. C’était une balance dans l’espace. Il y avait cinq hommes sur la balance. Tout à coup, ils sortirent un bâton de leurs manteaux et ils l’agrandirent, comme une canne à pêche avec un hameçon (une broche). Un des hommes pêcha un coffre et les quatre autres sont allés de l’autre côté de la plate-forme pour ne pas tomber. Il ne savait pas ce qu’était cette chose, alors il trouva une poignée sur un côté et la tourna : cela fit de la musique.

Après, chacun changeait de côté pour pouvoir s’approcher du coffre mais le premier voulait la chose pour lui tout seul. Alors il fit tomber un premier homme, puis un deuxième, puis un troisième, le quatrième s’accrocha au bord avec les mains mais le cinquième lui donna un coup de pied et il tomba aussi.

Le dernier n’arriva pas à faire de la musique parce qu’il devait rester d’un côté de la plate-forme car s’il bougeait, le coffre tombait et lui aussi.

Il est resté sans rien faire, ni écouter la musique, ni voir ses amis !

Le message de ce film :

Il ne faut pas faire ce que l’on veut parce qu’il faut respecter la loi et savoir ce qu’est la liberté.

Il ne faut pas être égoïste.

Il faut être sage.

Karim


Il y a cinq personnages sur une plate-forme mouvante qui sont habillés de même façon et qui se ressemblent beaucoup. Pour les reconnaître, ils ont des numéros au dos de leurs habits. Pour tenir la plate-forme en équilibre, il faut, quand quelqu’un avance, que les autres reculent.

Ils se mettent chacun à un bord de la plate-forme et commencent à pêcher avec une canne à pêche. Tout à coup, l’un d’eux pêche une boîte mystérieuse, il commence à l’essuyer pour voir ce qu’il y a dedans. Les autres veulent aussi voir la boîte. On entend une sorte de musique qui sort de la boîte.

Mais, avec leur cupidité, l’ambition et l’égoïsme, chacun veut garder la boîte pour lui seul. Comme il n’y a pas cinq boîtes mais une seule, ils commencent à s’entretuer.

A la fin, un seul reste mais il a oublié un petit détail, la boîte est d’un côté de la plate-forme et lui à l’autre bout, face à la boîte. Il ne peut pas bouger, s’il bouge, la boîte risque de tomber et il reste avec son problème.

Le message que les auteurs veulent nous transmettre est :

-         Qu’il ne faut pas être cupide dans la vie mais toujours partager.

-         Être cupide ne nous mène à rien.

-         Nous devons réfléchir avant d’agir.

-         Ne pas être ambitieux. L’ambition n’est pas bien.

-         Ne pas tuer ses amis, sa famille ou d’autres pour un simple objet trouvé ou une autre raison ; les gens valent mieux que tout.

Anne-Catherine


Il était une fois cinq hommes sur une plate-forme dans le vide. Ils essaient de s’équilibrer sur cette « balance » mais à un moment, le numéro cinquante et un pêche une boîte.

Les autres le regardent puis un fait un pas en arrière pour que la boîte vienne jusqu’à lui.

Quand un bouge, la plate-forme bascule d’un côté. Le groupe travaille en commun pour maintenir la balance en équilibre suffisant pour que personne ne tombe.

Mais tout le monde est très curieux de savoir ce qu’il y a dans cette boîte et chacun veut l’avoir pour lui.  A la fin, un seulement reste.

Avec cette attitude, ils ont rompu l’équilibre.

Luisa


Le film présente cinq personnages vivant sur une plate-forme flottant dans l’espace. Chaque fois qu’un individu bouge, la plate-forme bascule et les autres doivent se déplacer pour ne pas être précipités dans le vide. Tout le monde travaille pour maintenir l’équilibre jusqu’à ce qu’un individu veuille savoir ce qu’il y a dans une boîte qu’il vient de pêcher. En même temps, les autres cherchent à contrôler la plate-forme.

Mais chacun d’eux devient égoïste, il ne pense qu’à ouvrir cette boîte. Tout le monde se bat, ainsi ils arrivent à tomber dans le vide. Un arrive à s’accrocher au bord mais le dernier piétine sa main et il tombe pour toujours.

Tout seul, le dernier doit chercher à maintenir l’équilibre de la plate-forme. Comment peut-il découvrir le contenu de la boîte ?

Les auteurs veulent nous montrer qu’il ne faut pas être égoïste envers les autres. Il faut aussi penser aux autres. L’égoïsme est une caractéristique des individus.

Désirelle


16 novembre 2011

POUR UN GÂTEAU

À partir d'un court texte issu de Sagesse et Malices de la Perse : Pour du raisin, écriture en CLA débutants, de Pour un gâteau, où finalement tous vont se comprendre...

Vous trouverez la vidéo en cliquant sur le lien ci-dessous :

http://www.youtube.com/watch?v=m2Cku18XcGU

09 juillet 2011

ALICE ET LE VER A SOIE

Alice rencontra alors le ver à soie, ou la chenille, selon les traductions (Voir le texte intégral en ligne) :

« Es-tu satisfaite de ta taille actuelle ? » demanda la Chenille.

« Ma foi, si vous n’y voyiez pas d’inconvénient, j’aimerais bien être un tout petit peu plus grande ; huit centimètres de haut, c’est vraiment une bien piètre taille. »

« Moi, je trouve que c’est une très bonne taille ! » répliqua la Chenille d’un ton furieux, en se dressant de toute sa hauteur (elle mesurait exacte-ment huit centimètres.).

« Mais, moi, je n’y suis pas habituée ! » dit Alice d’une voix pitoyable, afin de s’excuser. Et elle pensa : « Je voudrais bien que toutes ces créatures ne se vexent pas si facilement ! »

« Tu t’y habitueras à la longue », affirma la Chenille ; après quoi, elle porta le narguilé à sa bouche et se remit à fumer.

Extrait de Alice au pays des merveilles de Lewis carroll.

Écouter le texte en ligne

Variation de Walt Disney

Que ferions-nous si, soudainement, nous ne mesurions plus que huit centimètres ?

Pour le savoir, cliquer sur l'image ci-dessous :

Exposé sur le ver à soie préparé et présenté par Kandia :

Cliquer sur la photo...

08 juillet 2011

Antoine de Saint-Exupéry : un nouveau site...

Petite info...  :

un beau site sur l'auteur du Petit Prince :

http://www.antoinedesaintexupery.com/









24 juin 2011

ALICE ET LE CONDITIONNEL

Voici quelques citations tirées d'Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll, elles emploient toutes le mode conditionnel :
  • "On devrait écrire un livre sur moi, on le devrait."

  • "S'ils avaient pour deux sous de jugeote, ils enlèveraient le toit."

  • "J'aurais bien aimé lui apprendre des tours si ... si seulement j'avais eu la taille qu'il fallait pour cela !"

  • "Si chacun s'occupait de ses propres affaires, dit, dans un grognement rauque, la Duchesse, le monde tournerait bien plus vite qu'il ne le fait actuellement."

  • "Je voudrais bien que le procès soit terminé, se dit-elle, et que l'on serve la collation !"

Pour en savoir plus sur le mode conditionnel, cliquer sur l'image ci-dessus :




Présent

Passé première forme

Passé deuxième forme

j'aimerais
tu aimerais
il aimerait
nous aimerions
vous aimeriez
ils aimeraient

j'aurais aimé
tu aurais aimé
il aurait aimé
nous aurions aimé
vous auriez aimé
ils auraient aimé

j'eusse aimé
tu eusses aimé
il eût aimé
nous eussions aimé
vous eussiez aimé
ils eussent aimé


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