10 février 2021

La diversité des lieux de l'art

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Exposition au Centre Pompidou,
Préhistoire, une énigme moderne,
mai 2019

Présentation et étude d’un lieu où l’art s’expose, s’affiche, s’exprime

Choisissez un lieu de votre choix en fonction de :

- Type = musées, institutions artistiques diverses (académie des beaux-arts, centre d’art, galerie d’art, fondation, salle de spectacle, résidence d’artistes,…), événements.
- Domaine artistique = TOUS les domaines possibles
- Localisation = PARTOUT dans le monde

Une fois votre lieu choisi, présentez le temps en y associant un métier et une oeuvre de votre choix

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Document collaboratif pour consignez votre choix

Carte collaborative pour poster votre travail

 

08 février 2021

E-Magazine "Le Bauhaus a 100 ans"

Téléchargez en PDF le magazine réalisé par les élèves de Premières HDA dans le cadre du thème 6 sur la circulation des oeuvres et les échanges artistiques.

Le Bauhaus a 100 ans.jpg

Cliquez sur l'image pour ouvrir le magazine

 

06 février 2021

Jean-Baptiste Camille Corot et l'Italie

Jean-Baptiste Camille Corot 

(1796-1875)

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Jean-Baptiste Camille COROT (1796-1875) Autoportrait (v. 1835).

Huile sur papier marouflé sur toile, 33 × 25 cm, Galerie des Offices, Florence.

BIOGRAPHIE

 

Peintre et graveur. Né à Paris et mort à Ville-d’Avray (près de Paris). Après la réticence paternelle, en 1822 Corot obtient tout de même l’autorisation de peindre et commence ses leçons chez Achille Etna Michallon (1792-1822), mais le maître mourra très peu de temps après. Il devient alors l’élève de Jean-Victor Bertin (1767-1842). En 1825, il part pour l’Italie en passant par la Suisse, en octobre il est à Lausanne, en décembre à Rome. Pendant l’été 1826, il travaille dans les monts Sabins, puis, à l’automne, il voyage dans la région des lacs albains. En décembre, il est à Tivoli. En 1827, il poursuit ses « campagnes de peinture » (Olevano, Subiaco, Valmontone, Marino). Au printemps 1828, il visite Naples, Capri, Ischia. Après un court séjour à Venise, il est de retour à Paris dans l’automne de la même année. Il se rendra une seconde fois en Italie en 1834 (Toscane, Venise, la région des lacs), et à nouveau en 1843. De 1829 jusqu’à la fin de sa vie, il voyage en Normandie, en Bretagne, mais aussi en Auvergne, en Provence, en Limousin (notamment à Saint-Junien, sur les bords de la Glane, site qui porte désormais son nom), en Dauphiné, en Bourgogne, en Charente, dans le Morvan (en particulier à Lormes), en Côte d’Azur, ainsi qu’en Suisse, en Belgique et en Hollande. De 1827, il expose régulièrement au Salon. En 1855, il remporte un grand succès à l’Exposition Universelle de Paris ; en 1867, il envoie des œuvres à celle de Londres où il reçoit une médaille de deuxième classe. Nommé Chevalier de la Légion d’Honneur en 1846 et Officier de la Légion d’Honneur en 1867.

 

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04 février 2021

Charlotte Perriand et le Japon

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Charlotte Perriand au Japon en 1941

La question des rapports entre Charlotte Perriand et le Japon est fondamentale pour comprendre son oeuvre car Perriand aime le Japon. Jacques Barsac a publié un volume intitulé Charlotte Perriand et le Japon en 2008 au édition Norma, en 2013 le musée d'art moderne de Saint-Etienne organisait une exposition "Charlotte Perriand et le Japon" et dans l'exposition "Le monde nouveau de Charlotte Perriand à la Fondation Louis Vuitton en 2019-2020 une large place était consacrée à la reconstitution des expositions que Charlotte Perriand organisa au Japon : "Sélection, Tradition, Création" en 1941 et "Proposition d'une synthèse des Arts" en 1955. Dans ses entretiens à France Culture C. Perriand parle de son attrait pour le Japon et de son travail (entretiens 3 et 4).

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Reconstitution de l'exposition "Proposition d'une synthèse des Arts" de 1955 à la Fondation Louis Vuitton (2019-2020)

 

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29 janvier 2021

La sacralisation des œuvres d’art et leur désacralisation

 
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Le philosophe Walter Benjamin en 1928

Crédits : Akademie der Künste, Berlin -

Walter Benjamin Archiv - Wikimedia

La sacralisation des œuvres d’art et leur désacralisation

Réflexions à partir de L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique de Walter Benjamin (1892-1940)

 

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Le classicisme en musique

Le Classicisme en musique

 

 

Portrait de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791). Portait inachevé de Mozart au clavier. Huile sur toile de Joseph Lange (1751-1831) conservé au Mozart Museum, Salzbourg.

Le classicisme concerne une période d’environ 70 ans, de 1750 à 1820, qui suit la période baroque et  précède le romantisme auquel il est souvent opposé.

Cette période est dominée par ce que certains nomment « la sainte triade » du classicisme viennois : Haydn, Mozart et Beethoven.

Remettant en cause la complexité de la musique baroque, par ses polyphonies et ses ornements,  ils ont créé un style plus simple, associant clarté, mesure et équilibre.

 

Concernant les formes musicales, la période classique voit le triomphe de la forme sonate que l’on retrouve dans la sonate proprement dite mais également dans les quatuors (en général, deux violons, un alto, un violoncelle), les concertos (l’orchestre dialogue avec un instrument soliste, piano ou violon ou violoncelle, parfois deux instruments solistes, comme par exemple le concerto pour flûte et harpe de Mozart) et les symphonies (œuvre en 3 ou 4 mouvements jouée par tout un orchestre, instruments à cordes, à vents, percussions). Ces nouveaux genres musicaux seront utilisés pendant tout le XIXème siècle et encore au XXème siècle.

L’opéra italien quant à lui est remis en question par Gluck, puis par Mozart.

 

Cette époque voit aussi les musiciens moins dépendre de mécènes et accéder à une certaine indépendance. C’est Mozart qui ouvre la voie en ce sens.

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28 janvier 2021

La musique classique et les musiques populaires

La musique classique et les musiques populaires

 

 

Maurice Ravel, musicien classique qui a composé des "Blues" et Miles Davis,un immense trompettiste de jazz, qui s'est renouvelé en explorant de nombreux styles.

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Maurice Ravel au piano vers 1920 © Getty

                     

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Miles-Davis-en-1960-photographe-non-identifie © Smithsonian-Institution.

 

 

 

La notion de musique qu’on appelle « classique » est assez vaste et mal définie. Au sens large, ce que le grand public appelle « musique classique » désigne l’ensemble de la musique occidentale écrite, donc savante. Il s’agit, dans ce sens, de la musique composée en Europe par les compositeurs savants, depuis les musiques du Moyen-âge jusqu’aux musiques savantes d’avant-garde des XXe et XXIe siècles.

Au sens strict, la musique classique correspond à l'époque du classicisme dans les arts, entre 1750 et 1820. Avant, de la Renaissance jusqu'au XVIIIe siècle, on parlera de musique baroque, après, on parlera de musique romantique et post-romantique. Au XXe siècle, c'est le temps des avant-gardes : musique atonale, musiques sérielles...

Il vaudrait donc mieux parler de musique savante et de musiques populaires - ces dernières étant très variées, de la chanson traditionnelle au rap en passant par le jazz, le rock, la pop. Mais où passe vraiment la frontière ? On va le voir avec différents exemples, les musiciens dits classiques intègrent des musiques populaires, de frère Jacques dans la première symphonie de Gustav Mahler, à des blues dans la sonate pour piano et violon de Ravel aux musiques du monde... et les musiciens de jazz, de rap, etc. intègrent à leur tour la musique dite savante...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Les traces du sacré dans l'art contemporain

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Orlan,
Madone au garage réparée par son
commissaire avec clé de 12,
120 x 120 cm, photographie en couleur, 1990

Ci-dessous la présentation réalisée par C. Pinto, professeure d'Arts plastiques sur la question de la référence aux codes et dispositifs picturaux de l'art chrétien dans l'art contemporain. Mme Pinto s'est appuyée sur les oeuvres de :
- Bill Viola
- Orlan
- David LaChapelle
- Andres Serrano

19 janvier 2021

Le Corbusier - Charlotte Perriand

Le nom et le travail de Charlotte Perriand sont liés à celui de Le Corbusier qui est un des grands architectes de la modernité au XXe siècle. Le but de cette présentation est de comprendre les liens entre Charlotte Perriand et Le Corbusier sans omettre la participation de Pierre Jeanneret.

 

Après une présentation générale (voir annexe) faites des recherches sur une collaboration en respectant les consignes (voir annexe).

Ressources pour faire vos recherches :
- Collection du Musée des Arts décoratifs
- Collection du Centre Pompidou
- Collection du MoMA
- Dossier de l'exposition Charlotte Perriand au Centre Pompidou (2005-2006)
- La Fondation Le Corbusier
- Et utilisez surtout les 4 tomes de l'oeuvre complète de Charlotte Perriand disponible au CDI

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14 janvier 2021

Arts décoratifs et design : Charlotte PERRIAND, une artiste moderne

Comment Charlotte Perriand, formée aux Arts décoratifs, rejoint-elle le courant des avant-gardes modernes dès 1927 ?

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Le bar sous le toit, 1927
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Salle à manger, 1927

Le Bar sous le toit et la salle à manger ont été aménagées par Charlotte Perriand pour son atelier-appartement de la place Saint-Sulpice à Paris en 1927

Ecoutez Charlotte Perriand parler de cette période (entretien n°1, 10' à 13'30")

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