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08 décembre 2011

LA RUE CASES-NÈGRES

Rue Cases-Nègres est un film français réalisé par Euzhan Palcy en 1983. C'est une adaptation du roman de Joseph Zobel.

À la fin de la semaine, les ouvriers agricoles vont chercher leur salaire. Mais on ne leur donne pas beaucoup d’argent alors qu’ils travaillent très dur. M’man Tine prépare le repas mais il n’y a pas beaucoup à manger parce qu’elle ne gagne pas beaucoup d’argent.

José réussit ses examens, il a sauté de joie et M’man Tine l’a embrassé. Monsieur Roc, l’instituteur, a félicité José.

José part au lycée.

Sidika


 Dans le village de José, tout le monde, même les enfants, travaille très dur. Mais les chefs donnent seulement un peu d’argent. Un ouvrier n’est pas d’accord, alors un chef se met en colère et l’ouvrier s’en va.

La grand-mère de José ne veut pas qu’il travaille dans les champs de canne à sucre. Elle veut qu’il aille à l’école. Mais José veut faire comme les autres enfants. Finalement, il continue ses études.

Mary-Fénina


 

D’abord la grand-mère est forte pour le travail. Elle travaille beaucoup pour payer le lycée pour José. Puis elle tombe malade, elle est trop fatiguée. José lui avait promis une belle maison avec des fleurs. Mais M’man Tine meurt.

Tariqul


 

C’est très triste. Le vieux monsieur, M. Médouze, est mort. Je l’aimais bien parce qu’il racontait des histoires.

Les enfants ont bu du rhum et ils ont mis le feu à une case. Les adultes les ont punis. Pour ne pas être seuls au village, ils sont obligés de travailler dans les champs de canne à sucre.

José a réussi ses examens. C’est bien, sa grand-mère est contente.

Mamoye


 

Au début, Léopold était riche.

Quand il pleuvait, les autres mettaient du papier journal sous leurs habits, mais lui ne faisait pas ça.

Le père de Léopold, un béké, est propriétaire des champs de canne à sucre. Mais quand il meurt, il ne veut pas donner son nom à son fils qui s’enfuit en pleurant.

Plus tard, Léopold devient pauvre comme les autres. Il doit travailler à l’usine. Il vole le cahier de comptes pour montrer aux ouvriers que les propriétaires gagnent beaucoup alors qu’ils ne gagnent qu’un petit peu d’argent.

Il est arrêté et mis en prison.

Issiaka


 

José est au lycée. Il écrit une belle rédaction mais le professeur dit qu’il a triché. José pleure, triste, et il part voir Carmen son ami. Il lui dit qu’il n’a pas triché.

Pendant ce temps, le professeur va chez José et dit à sa grand-mère que José a fait un bon travail. Il présente ses excuses.

José arrive et sa grand-mère dit :

-         Tu as fait un bon travail !

José saute de joie. Il est content.

Sulaksan


 

C’est José et son amie. Ils partent à l’école. Ils portent un paquet avec leurs cahiers.

Le professeur, monsieur Roc, est gentil mais sévère. Il tire les oreilles des élèves qui se bagarrent ou qui arrivent en retard.

Mary


 

José est un garçon très bon élève à l’école. Mais il fait aussi des bêtises. José réussit ses examens et obtient une bourse pour le lycée.

Le lycée est très cher pour la grand-mère, elle doit travailler dur. Elle lave et repasse beaucoup de linge. M’man Tine ne veut pas que José travaille dans les champs de canne à sucre.

Diogo


 

Les parents travaillent aux champs de canne à sucre. Les enfants entrent dans le jardin d’un voisin, mangent les fruits et trouvent un œuf de poule. La plus grande demande à la plus petite d’aller chercher des allumettes. La petite rapporte des allumettes et une bouteille de rhum.

Les enfants boivent et deviennent saouls. Un garçon met le feu au jardin et tous les enfants dansent.

Les adultes éteignent le feu et les enfants sont battus. Mais M’man Tine dit au voisin :

-         Tu n’as pas honte de taper ces enfants ?!...

Les enfants sont obligés par les békés d’aller travailler dans les champs de canne à sucre pour ne pas rester seuls dans le bourg.

Issiaka


 

La grand-mère fait tout pour que son garçon soit un bon garçon à l’école. Ainsi, il sera un bon élève. Le jour où elle est partie pour l’inscrire au lycée, il fallait beaucoup d’argent, alors elle a travaillé toute la nuit.

Karim

LA BALANCE

La balance est un film d'animation de Wolfgang et Christoph Lauerstein (1989).

C'est un conte d'aujourd'hui qui nous enseigne la sagesse et le partage.

Ce film est visible en cliquant sur le lien suivant :

http://www.youtube.com/watch?v=3vpmuMHor6Q&noredirect=1

Voici ce que nous en avons écrit :

Dans le film d’animation « La balance », il y a cinq hommes égaux sur une plate-forme suspendue dans le vide. Dans un premier temps, les hommes essaient d’équilibrer la plate-forme, pour ne pas tomber.

Puis ils sortent de leur poche une canne à pêche et commencent à pêcher. Un homme pêche un coffre ; ils veulent tous voir ce qui est à l’intérieur du coffre.

D’abord, un veut voir ce qui est à l’intérieur, alors les autres se déplacent pour maintenir l’équilibre de la plate-forme. Ensuite, un autre veut le coffre et il élimine tous ses amis en les poussant dans le vide pour garder le coffre pour lui seul. Mais comme il doit maintenir l’équilibre de la plate-forme, il ne peut pas toucher au coffre qui est à l’autre bout.

La morale de l’histoire est que l’on ne doit pas être ambitieux ni tuer ses amis pour avoir une chose de valeur.

Marlène

Il était un film d’animation nommé « la balance ». il y avait cinq hommes sur une plate-forme. La plate-forme était dans le vide. Comme tous les frères sont égoïstes, ils ne savaient pas quoi faire. Un partait sur le côté, puis un autre, encore un autre et un autre aussi. Un prend quelque chose, puis tous prennent quelque chose qui est un genre de bâton, on dirait une canne à pêche.

Un se mit à pêcher et tira une mallette dans  laquelle il y avait une sorte de radio et tous voulurent écouter la musique… Un prend la mallette puis un autre, etc…

Il se passa quelque temps puis un des hommes, ne sachant pas quoi faire, eut l’idée de partir de son côté pour que la mallette le rejoigne. Et tous eurent l’idée de faire la même chose, chacun à son tour. Puis un eut l’idée de faire tomber les autres dans le vide. Lui-même faillit tomber en poussant ses frères. Alors il va d’un côté de la plate-forme et la mallette va aussi de son côté pour équilibrer la plate-forme.

Le message est que personne ne doit être égoïste avec ses frères ou ses sœurs.

Fatimata

Ils étaient cinq frères sur une plate-forme dans le vide.

Les cinq frères étaient regroupés au début, après quelques secondes ils se séparèrent pour aller chacun à un coin de la plate-forme qui avait la forme d’un carré. Ils prirent chacun, l’un après l’autre,  leur canne à pêche. Un releva sa canne à pêche, il avait remonté une boîte. C’était une boîte à jouer. Il commença à jouer avec la boîte pendant que les autres allaient dans un autre coin pour ne pas tomber. Trois se déplacèrent pour faire glisser la boîte vers eux et ainsi de suite…

Les cinq frères avaient des numéros dans le dos. Un des frères voulait la boîte à jouer rien que pour lui, il n’avait pas d’autre choix que de se débarrasser des autres. Il était parvenu à les tuer mais ne pouvait plus jouer avec la boîte  parce que s’il allait vers elle, la plate-forme montait ou baissait. Alors la boîte venait vers lui mais il n’avait pas assez de forces pour l’arrêter…

Le message du film

Le film veut nous apprendre que l’on doit partager, on ne doit pas avoir tout pour soi tout seul. Il a tué ses frères et finalement il ne peut même pas profiter de la boîte.  Il se retrouve tout seul avec la boîte et il ne peut rien faire.

Nathanaël


Une plate-forme. C’était une balance dans l’espace. Il y avait cinq hommes sur la balance. Tout à coup, ils sortirent un bâton de leurs manteaux et ils l’agrandirent, comme une canne à pêche avec un hameçon (une broche). Un des hommes pêcha un coffre et les quatre autres sont allés de l’autre côté de la plate-forme pour ne pas tomber. Il ne savait pas ce qu’était cette chose, alors il trouva une poignée sur un côté et la tourna : cela fit de la musique.

Après, chacun changeait de côté pour pouvoir s’approcher du coffre mais le premier voulait la chose pour lui tout seul. Alors il fit tomber un premier homme, puis un deuxième, puis un troisième, le quatrième s’accrocha au bord avec les mains mais le cinquième lui donna un coup de pied et il tomba aussi.

Le dernier n’arriva pas à faire de la musique parce qu’il devait rester d’un côté de la plate-forme car s’il bougeait, le coffre tombait et lui aussi.

Il est resté sans rien faire, ni écouter la musique, ni voir ses amis !

Le message de ce film :

Il ne faut pas faire ce que l’on veut parce qu’il faut respecter la loi et savoir ce qu’est la liberté.

Il ne faut pas être égoïste.

Il faut être sage.

Karim


Il y a cinq personnages sur une plate-forme mouvante qui sont habillés de même façon et qui se ressemblent beaucoup. Pour les reconnaître, ils ont des numéros au dos de leurs habits. Pour tenir la plate-forme en équilibre, il faut, quand quelqu’un avance, que les autres reculent.

Ils se mettent chacun à un bord de la plate-forme et commencent à pêcher avec une canne à pêche. Tout à coup, l’un d’eux pêche une boîte mystérieuse, il commence à l’essuyer pour voir ce qu’il y a dedans. Les autres veulent aussi voir la boîte. On entend une sorte de musique qui sort de la boîte.

Mais, avec leur cupidité, l’ambition et l’égoïsme, chacun veut garder la boîte pour lui seul. Comme il n’y a pas cinq boîtes mais une seule, ils commencent à s’entretuer.

A la fin, un seul reste mais il a oublié un petit détail, la boîte est d’un côté de la plate-forme et lui à l’autre bout, face à la boîte. Il ne peut pas bouger, s’il bouge, la boîte risque de tomber et il reste avec son problème.

Le message que les auteurs veulent nous transmettre est :

-         Qu’il ne faut pas être cupide dans la vie mais toujours partager.

-         Être cupide ne nous mène à rien.

-         Nous devons réfléchir avant d’agir.

-         Ne pas être ambitieux. L’ambition n’est pas bien.

-         Ne pas tuer ses amis, sa famille ou d’autres pour un simple objet trouvé ou une autre raison ; les gens valent mieux que tout.

Anne-Catherine


Il était une fois cinq hommes sur une plate-forme dans le vide. Ils essaient de s’équilibrer sur cette « balance » mais à un moment, le numéro cinquante et un pêche une boîte.

Les autres le regardent puis un fait un pas en arrière pour que la boîte vienne jusqu’à lui.

Quand un bouge, la plate-forme bascule d’un côté. Le groupe travaille en commun pour maintenir la balance en équilibre suffisant pour que personne ne tombe.

Mais tout le monde est très curieux de savoir ce qu’il y a dans cette boîte et chacun veut l’avoir pour lui.  A la fin, un seulement reste.

Avec cette attitude, ils ont rompu l’équilibre.

Luisa


Le film présente cinq personnages vivant sur une plate-forme flottant dans l’espace. Chaque fois qu’un individu bouge, la plate-forme bascule et les autres doivent se déplacer pour ne pas être précipités dans le vide. Tout le monde travaille pour maintenir l’équilibre jusqu’à ce qu’un individu veuille savoir ce qu’il y a dans une boîte qu’il vient de pêcher. En même temps, les autres cherchent à contrôler la plate-forme.

Mais chacun d’eux devient égoïste, il ne pense qu’à ouvrir cette boîte. Tout le monde se bat, ainsi ils arrivent à tomber dans le vide. Un arrive à s’accrocher au bord mais le dernier piétine sa main et il tombe pour toujours.

Tout seul, le dernier doit chercher à maintenir l’équilibre de la plate-forme. Comment peut-il découvrir le contenu de la boîte ?

Les auteurs veulent nous montrer qu’il ne faut pas être égoïste envers les autres. Il faut aussi penser aux autres. L’égoïsme est une caractéristique des individus.

Désirelle


02 juin 2011

LE DODO DANS "ALICE AU PAYS DES MERVEILLES" de Lewis Carroll

Nous apprenons que le dodo, animal rencontré par Alice, a bien existé mais a disparu aujourd'hui.

Lewis Carroll, de son vrai nom 

Charles Lutwidge Dodgson, dans son livre, se serait identifié à cet oiseau , de la taille d'un dindon, à cause de son nom, parce qu'il bégayait, étant enfant : "Do-do- dodgson" !



Les animaux en voie de disparition :










Dans certaines éditions, la Souris raconte sont histoire à Alice sous la forme d'un calligramme :
Nous avons alors découvert un poète, Guillaume Apollinaire, qui écrivait des poèmes-calligrammes.
Voici les nôtres, cliquer sur l'image pour les voir :


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