Mise en scène de Didier Bezace, réalisé par Don Kent avec Pierre Arditi (Dubois), Alexandre Aubry (Arlequin), Robert Plagnol (Dorante), Anouk Grinberg (Araminte).
Théâtre à la table : chaque semaine, une équipe de comédiennes et comédiens prépare en seulement 5 jours la création d’une pièce, dévoilant le travail de lecture préalable aux répétitions en scène, où naissent premières trouvailles et envolées.
Troisième spectacle de la série, Les Fausses Confidences, de Marivaux, est diffusé samedi 21 novembre à 20h30.
Réalisation Clément Gaubert. Avec Éric Génovèse : le Comte Coraly Zahonero : Madame Argante Jérôme Pouly : Dubois, ancien valet de Dorante Christian Hecq : Monsieur Rémy, procureur Nicolas Lormeau : Arlequin, valet d'Araminte Claire de La Rüe du Can : Marton, suivante d’Araminte Julien Frison : Dorante, neveu de Monsieur Rémy Élissa Alloula : Araminte, fille de Madame Argante et la comédienne de l’académie de la Comédie-Française Leah Lapiower : un domestique parlant et un garçon joaillier.
Chez Baudelaire, l’idéal est intimement lié à l’idée d’un ailleurs, toujours plus lointain, sans doute inatteignable. Par exemple, dans le sonnet « À une Passante », le poète décrit une femme, qui incarne la beauté : « Ne te verrais-je plus que dans l’éternité // Ailleurs, bien loin d’ici, trop tard, jamais peut-être. » Bien loin d’ici. C’est cela qui rend toute son importance au thème du voyage. Dans notre poème, Baudelaire semble aussi s’adresser à une femme, mais il déploie tout de suite, à travers son parfum, un paysage exotique extrêmement riche, où les perceptions créent des réseaux de symboles, décrivant un certaine forme d’idéal. Comment notre sonnet transmet-il une vision de l’idéal baudelairien à travers la description d’un paysage exotique, vivant, et plein de sensualité ?
L'École de la transmission des savoirs et de la formation des citoyens est à l'agonie. Elle accomplit aujourd'hui ce pour quoi on l'a programmée voici un demi-siècle : adaptée aux nécessités du marché, elle fabrique à la chaîne une masse de consommateurs semi-illettrés et satisfaits d'eux-mêmes. Soucieuse d'élaborer enfin l'égalité promise par la République en nivelant par le bas, elle a réussi à détruire ce que la France avait mis deux cents ans à élaborer.
Plus de quinze ans après avoir prédit sa mort programmée, Jean-Paul Brighelli revient au chevet de l'École et la trouve plus mal en point que jamais. Collège unique, " pédagogisme ", méthode globale, regroupement familial, laïcité à géométrie variable... les causes sont nombreuses, et l'action de Jean-Michel Blanquer – dont il dresse aussi le bilan contrasté – n'a pu empêcher la déroute, surtout en temps de Covid.
Aujourd'hui, l'École est au pied du mur : elle sera " soit l'instrument d'une dissolution dans l'individualisme et le communautarisme, soit l'outil d'une résurrection ". Est-il trop tard pour réagir ?
Suite de " La fabrique du crétin : La mort programmée de l'école " paru le 22 août 2005 dont voici le résumé : Nos enfants ne savent plus lire, ni compter, ni penser. Le constat est terrible, et ses causes moins obscures qu'on veut bien le dire. Un enchaînement de bonnes intentions mal maîtrisées et de calculs intéressés a délité en une trentaine d'années ce qui fut l'un des meilleurs systèmes éducatifs au monde. Faut-il incriminer les politiques, les profs, les parents, les syndicats, les programmes ? En tout cas, la Nouvelle Pédagogie a fait ses " preuves " : l'école a cessé d'être le moteur d'un ascenseur social défaillant. Ceux qui sont nés dans la rue, désormais, y restent. Dès lors, que faire ?
Another Brick In The Wall (Part 2)
(Une Brique De Plus Dans/Sur Le Mur (Partie 2))
Clip, paroles et traduction de «Another Brick In The Wall (Part 2)
We don't need no education (*)
Nous n'avons pas besoin d'une non-éducation
We don't need no thought control
Nous n'avons pas besoin d'aucun contrôle de pensées
No dark sarcasm in the classroom
Ni d'un sarcasme ténébreux dans les salles de classe
Teachers leave the kids alone
Professeurs laissez les jeunes tranquilles
Hey teachers leave the kids alone
Eh professeurs laissez les jeunes tranquilles
All in all it's just another brick in the wall
Après tout ce n'est qu'une brique de plus dans le mur
All in all you're just another brick in the wall
Après tout vous n'êtes qu'une brique de plus dans le mur
We don't need no education
Nous n'avons pas besoin d'une non-éducation
We don't need no thought control
Nous n'avons pas besoin d'aucun contrôle de pensées
No dark sarcasm in the classroom
Ni d'un sarcasme ténébreux dans les salles de classe
Teachers leave the kids alone
Professeurs laissez les jeunes tranquilles
Hey teachers Leave us kids alone
Eh professeurs laissez nous, les jeunes, tranquilles
All in all you're just another brick in the wall
Après tout vous n'êtes qu'une brique de plus dans le mur
All in all you're just another brick in the wall
Après tout vous n'êtes qu'une brique de plus dans le mur
(*) Une explication sur la double négation "We don't need no education".
La chanson n'est pas contre l'éducation elle-même mais contre la façon dont elle est faite.
Roger Waters en décembre 2009 a dit que la chanson se veut satirique. Il a expliqué : "On ne pourrait pas trouver quelqu'un dans le monde plus pro-éducation que moi, mais l'éducation de Cambridgeshire School pour garçons, par laquelle je suis passée dans les années 50 jouait beaucoup sur le contrôle et demandait une rébellion. Les enseignants étaient faibles et donc des cibles faciles... La chanson est censée être une rébellion contre le gouvernement dévoyé, contre les personnes qui ont le pouvoir sur vous, qui ont tort. Alors il est absolument nécessaire que vous vous rebelliez contre ça."
Cette citation serait attribuée à Albert Einstein. Qu'il en soit ou non l'auteur ne change rien à l'intérêt de son contenu.
Selon Wikipedia : Richard Williams, mieux connu sous son nom de scène prince Ea, est un artiste américain, poète, rappeur et réalisateur. Diplômé en anthropologie (Université Saint-Louis au Missouri), il a d' abord poursuivi une carrière en tant qu'artiste de hip hop. Inspiré par des artistes comme Immortal Technique et Canibus, il a commencé et a popularisé le "Make SMART cool" mouvement pour promouvoir des valeurs telles que l' intelligence, la libre pensée, l' unité et la créativité dans la musique et la culture hip - hop. Ses vidéos YouTube ont reçu plus d' un demi - milliard de vues, et couvrent un large éventail de sujets tels que l' écologie, la race , l' équilibre travail-vie et la spiritualité. Il attribue son changement de perspective à l'inspiration des anciens textes de sagesse, comme le Tao Te Ching et Bhagavad Gita.
"I just sued the school system !" Prince EA