29 septembre 2019
Le patrimoine architectural des années 1950 en Ile-de-France
Par F. Huard le 29 septembre 2019, 14h15
29 septembre 2019
Par F. Huard le 29 septembre 2019, 14h15
19 septembre 2019
Par F. Huard le 19 septembre 2019, 21h54
Le film Mon Oncle de Jacques TATI de 1958 permet de faire le lien entre l'étude du cinéma des années 1950 et l'étude de l'urbanisme-architecture-design. A travers cette oeuvre cinématographique on peut observer les transformations de la société française dans les années 1950 sur lesquelles Jacques Tati pose un regard critique mais son oeuvre est-elle pour autant une critique de la modernité ?
15 septembre 2019
Par F. Huard le 15 septembre 2019, 17h40
Télécharger le cours sur la Nouvelle Vague.
Des extraits des oeuvres ci-dessous sont visionnées en classe.
Jean-Luc GODARD, A bout de souffle, 1959
François TRUFFAUT, Les 400 coups, 1959
Eric ROHMER, Le signe du lion, 1959 (sorti en salle en 1962)
Claude CHABROL, Le beau serge, 1958
Jacques RIVETTE, Paris nous appartient, 1958
05 septembre 2019
Par F. Huard le 05 septembre 2019, 15h25
Avant d'étudier les arts dans les années 1950 il convient de contextualiser la période. On peut considérer que les années 1950 sont une période charnière : on y constate des continuités et des ruptures avec la période de la première moitié du XXe siècle annonçant le monde moderne qui s'épanouit et se développe dans les années 1960.
17 juin 2019
Par S.Labrusse le 17 juin 2019, 13h37
Pierre Tal-Coat (1905-1985), un peintre entre figuration et abstraction
Une œuvre qui puise son inspiration dans la relation au monde naturel :
écorces, arbres, rochers…
Repères biographiques
Fils de marin-pêcheur, Pierre Tal Coat naît en 1905 à Clohars-Carnoët dans le Sud du Finistère. Il fréquente l'école primaire de 1912 à 1914. En 1915, son père meurt sur le front d’Argonne. Apprenti forgeron à partir de 1918, tandis qu'il commence à dessiner et sculpter, Tal Coat obtient une bourse de pupille de la Nation et entre à l'école primaire supérieure de Quimperlé. Clerc de notaire en 1923 à Arzano, mouleur et peintre céramiste à la Faïencerie de Quimper en 1924, il dessine au crayon, au fusain ou au pastel, des personnages et des paysages de la campagne bretonne. Il fréquente des artistes installés dans la région de Pont-Aven et du Pouldu.Arrivé à Paris en 1924, Tal Coat devient modèle à l’Académie de la Grande Chaumière, mouleur à la Manufacture de Sèvres, se lie avec le peintre Émile Compard et partage l’atelier du peintre Jean Sautter. En 1925, il accomplit son service militaire dans les cuirassiers à Paris et rencontre Broncia Lewandovska qu’il épouse en 1927. En 1926, il expose dans la galerie d’Auguste Fabre et Henri Bénézit, sous le nom de Tal Coat (« Front de bois » en breton) qu’il gardera toute sa vie, pour éviter l'homonymie avec le poète quimpérois Max Jacob. En 1929, après sa deuxième exposition à la Galerie Fabre et Cie, la crise économique le contraint à des années difficiles. Il revient pour de longs séjours en Bretagne et arpente les sites mégalithiques avec ses amis Emile Compard, Henri Bénézit et le couturier Paul Poiret. Familier des dîners de Méraud Guiness, il se lie aussi d’amitié avec Francis Gruber, André Marchand, Léo et Gertrude Stein, Francis Picabia, Ernest Hemingway, Alberto et Diego Giacometti, Balthus, Antonin Artaud, Tristan Tzara et Paul-Émile Victor. Il s’intéresse à l’art roman, aux portraits du Fayoum.En 1936, Tal Coat voyage en Provence et rencontre Picasso. Il peint de nombreux portraits (dont celui d’Alberto Giacometti) et la série des Massacres, inspirée par les horreurs de la Guerre d’Espagne. En 1938, il expose à la Julien Levy Gallery à New York… Mobilisé en 1939 à Saint-Germain-en-Laye, puis à Ermenonville dans le service du camouflage, et démobilisé en 1940 à Montauban, Tal Coat gagne Aix-en-Provence ville où se sont réfugiés de nombreux artistes, notamment André Marchand, Charles-Albert Cingria et Blaise Cendrars. Il y rejoint sa nouvelle compagne, Xavière Angéli qu’il épousera en 1951.
25 mai 2019
Par S.Labrusse le 25 mai 2019, 09h41
HENRI MICHAUX - 1899-1984
Portrait d’Henri Michaux dans son atelier. Photographie de Brassai (1946). © Archives Michaux, VEGAP, Bilbao, 2018.
Né à Namur en 1899, Henri Michaux fut naturalisé français en 1955.
Ayant commencé à peindre dès 1926, il substitue de plus en plus l’expression graphique au poème.
[…] Henri Michaux, dans ses écrits et ses dessins, tente de dévoiler des mondes :
- exploration de terres lointaines ou imaginaires,
- observation des mécanismes de la perception et des circuits de sensations,
- poursuite de la « phrase intérieure »,
- plongée dans « l’espace du dedans ».
L’absorption de la mescaline, à partir de 1955, porte à l’acmé cette exigence, quasi scientifique de la connaissance de soi - et donne lieu à la métamorphose majeure de son œuvre dessinée.
04 avril 2019
Par S.Labrusse le 04 avril 2019, 16h00
En 1948, Samuel Beckett rédige "En attendant Godot", pièce expérimentale qui emmène le spectateur dans un monde absurde dessiné par l'auteur, où deux vagabonds se retrouvent pour attendre ensemble Godot, un homme inconnu dont ils ne savent rien... Qu'attend-on vraiment dans "En attendant Godot" ?
A écouter, l'émission de France culture sur l'attente :
03 avril 2019
Par S.Labrusse le 03 avril 2019, 21h24
La tristesse du roi, ce grand papier découpé de 1952, est souvent présenté comme le dernier autoportrait de Matisse.
(Le Roi triste)
1952
Papiers gouachés, découpés, marouflés sur toile
292 x 386 cm
Réalisée à Nice
Dossier Matisse :https://www.centrepompidou.fr/cpv/resource/cyb4Ax/rGd6XM
Par S.Labrusse le 03 avril 2019, 16h19
Parmi les peintres des années 50, l'oeuvre de Bram Van Velde (1895-1981) fortement liée à celle de Samuel Beckett, doit être examinée.
Un site traite de Bram van Velde et des peintres des années 50 à Paris
https://www.applicat-prazan.com/fr/les-annees-50-a-paris/
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