Blog de Français de la seconde 3

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04 mars 2010

Ecriture d'invention

Sujet : Vous avez été invité à assister à une représentation du Cid et vous êtes assis sur une banquette sur la scène face à la salle. Décrivez ce que vous voyez. Vous décrirez notamment la salle (organisation, ambiance...) et les acteurs sur scène (costume, apparence...).


     Il y a quelques semaines, j'ai reçu une invitation pour une représentation du Cid au théâtre de ma ville. Cette nouvelle ma remplie de joie. Sur cette invitation, il était précisé que ma place était sur une banquette se situant sur la scène.

     Les semaines se sont écoulées et la pièce va commencer. Les spectateurs sont presque tous assis, il se placent en fonction de leur rang social , sur des banquettes ou parterre. J'entends un bruit de fond en continu, il provient des spectateurs, impatients que la pièce débute. Je suis aussi impatiente qu'eux, j'ai hâte de voir le résultat de cette pièce que j'aime tant. Je m'assois à mon tour sur la banquette qui m'était destinée. Le rideau est encore fermé, mais vient aussitôt le bruit des trois coups.

     Les acteurs se placent rapidement, on voit qu'ils s'impliquent rigoureusement dans leur rôle. Le rideau se lève doucement et laisse apparaître les comédiens présents dans la première scène. Mon cœur bât très fort depuis l'apparition de tous ces comédiens. J'aperçois les autres acteurs qui attendent dans les coulisses. Ils ont l'air détendu et une grande complicité règne entre tous les membres de la troupe. Au fur et à mesure de la pièce, j'ai vus tous les personnages rentrer et sortir de la scène et je suis éblouïe devant leurs costumes, leurs jeux et l'interprétation de la pièce. Les comédiens ne sont pas habillés avec les costumes d'époque, l'âge est respecté entre les personages. Le maquillage est utilisé pour faire ressortir la vieillesse de Don Diègue. Chaque acteur correspond parfaitement à son rôle.

     Je suis extrêmement contente d'avoir vu cette pièce, je pense aller voir la prochaine pièce de cette troupe. L'inconvénient que j'ai trouvé est l'attitude irrespectueuse du public. Il était bruyant et violent à l'égard des comédiens. Les Grands n'avaient aucune gêne à interrompre les acteurs. Mais malgré cela je garde un bon souvenir de la pièce car je l'ai adoré.

16 février 2010

Un amour surprenant dans "La Mort aux trousses"

 

Dans le film La mort au trousses d'Alfred Hitchcock sorti en 1959, l'amour entre Roger O. Thornhill joué par Cary Grant et Eve Kendall  jouée par Eva Marie Saint se déroule de façon surprenante. Roger O. Thornill tombe amoureux de la belle Eve Kendall en la rencontrant dans un train. Celle ci l'aide à détourner deux policiers à sa recherche. A partir de ce moment se cré un lien entre les deux personnages. Ils partagent un diner ensemble, et vont se réfugier dans le compartiment d'Eve suite à l'arrivée de policiers dans le train. Ils échangent de longs baisers dans la cabine et dorment ensemble mais dans des lits séparés. Pendant tout le film nous soupçonnons Eve de travailler pour ceux qui veulent tuer Thornhill. Elle organise sa mort en lui donnant l'adresse d'un faux rendrez-vous. Mais Thornhill survit et à leur nouvelle rencontre Eve parait heureuse et soulagée de le voir vivant.

Eve est en fait un agent de la CIA qui est à la recherche de l'espion Vandamm. Thornhill arrive à démasquer Vandamm et sauve la belle Eve Kendall. On comprend qu'à la fin du film ils se sont mariés puisque Roger O. Thornhill l'appelle "madame Thornhill".

Leur amour est déroutant, la jeune femme planifie la mort de son futur mari mais elle est soulagée de le voir vivant. C'est à ce moment là que l'amour d'Eve pour Roger est vraiment révélé. Le  message est la force de l'amour qui aide à passer l'éponge sur les trahisons. Dans le film cet amour est mit en scène par un grand nombre de musique crée par Bernard Herrmann.

27 novembre 2009

"Je suis une oeuvre d'art"



Note d'intention :

J'ai choisi de mettre une photo de moi au milieu , et j'ai constitué le cadre de morceaux de magazine de mode.

Ainsi la photo centrale est celle d'une fille, la bouche ouverte et les yeux fermés. J'ai essayé de représenter l'importance de la mode dans le monde d'aujourd'hui chez les jeunes. Les yeux fermés font allusion au manque de conscience de cette mode. La bouche ouverte est signe que la jeune fille suit cette tendance avec enthousiasme et donne cette image de bonheur. Elle porte sur son visage un maquillage voyant, composé de rouge pour les lèvres et de noir pour les yeux. Un contraste important qui se marie bien avec le visage de la fille.

J'ai disposé les morceaux de magazine pour en faire un cadre, de façon à ce qu'elle soit enfermée. Les morceaux sont déchirés de manière à montrer le coté dangereux. Ainsi j'ai choisi que le fond soit bleu, qui est une couleur apaisante, pour relativiser le coté agressif. Le plastique est là pour enfermer toutes ces choses, pour les figer entre elles, créant ainsi une œuvre d'art.

25 novembre 2009

Ecriture d'invention: un étrange portrait

SUJET : Un jeune peintre sans argent est sur le point d'être expulsé de son logement qui lui sert d'atelier. Dans un bric-à-brac du marché, il tombe en arrêt devant un tableau représentant un por­trait. Il l'achète pour quelques sous, l'emporte chez lui, le nettoie puis va se coucher. Il n'arrive pas à s'endormir et soudain, un étrange phénomène se produit. J'avais acheté ce tableau pour quelques sous.

       Je marchai jusqu'à chez moi en prenant le chemin habituel. Le tableau sous le bras, j'entrai dans mon atelier. Profondément las, je le posai. J'allai chercher un chiffon pour nettoyer cette délicieuse œuvre avant d'aller me coucher.

      Ce tableau était ancien. Il représentait une femme d'une beauté resplendissante, entièrement nue. Sa chevelure rousse d'un rouge vif et sauvage était longue et lisse. Ses cheveux étaient assez longs pour recouvrir ses seins. Le tableau s'achevait à sa taille mais il laissait entrevoir son adorable nombril. Elle possédait une peau laiteuse, d'un blanc pâle, de même à (que) celle d'une poupée de porcelaine. Ses cheveux relevés en arrière laissaient admirer la beauté de son visage. Son regard était magnétique, il attirait précipitamment (mal dit) les yeux de l'observateur. Jamais je n'avais vu de tels yeux. Ils étaient d'un bleu turquoise profond, comme si le plus réputé des bijoutiers y eût incrusté ses plus belles pierres précieuses. Ses cils étaient longs et courbés de façon magistrale (impropre). Ses sourcils étaient presque inexistants, ce qui accentuait son regard intense. Ses yeux brillaient tellement que l'on aurait dit qu'ils étaient vraies. Ce tableau avait une note qui se trouvait encerclée par une tige de rose aux piquants menaçants. Je réussis à lire péniblement ces quelques mots, qui étaient écrit en latin : «  A toi mon amoureux, sache que l'amour que j'éprouve pour toi brule toujours en moi. »

     Après avoir dépoussiéré cette trouvaille, je la déposai sur mon chevalet pour la mettre en valeur. Mon atelier était quelque peu encombré, des tableaux entassés jonchaient sur (construction) le sol. Ma palette contenait encore de la peinture semi-séchée ainsi que mes pinceaux sales, mais le tableau, lui, resplendissait parmi tout ce désordre.

     Il était temps pour moi de dormir. J'éteignis ma bougie qui était devenu depuis longtemps mon unique lumière. Je me blottissais (passé simple) ensuite dans mon amas de coussins qui me servait de lit. Impossible de fermer l'œil, je sentais une personne qui m'observait. Une personne de plus dans la pièce. Quand soudain (phrase incorrecte), j'aperçus des flammes d'une grandeur époustouflante qui ondulaient non loin de moi, juste au dessus de mon chevalet. Qu'était ce donc ? On aurait dit que les cheveux de la femme du tableau venaient de prendre feu. J'étais accablé de fatigue et je commençai à trembler, à avoir des frissons de fièvre. Je décidai alors de me calmer. C'est alors que j'aperçus de nouveau ces flammes si envoutantes. J'étais rempli d'une ivresse indescriptible mais je sentais aussi mon cœur battre à tout rompre, je ne savais que faire, que croire. Quand (phrase incorrecte) précipitamment je fus plongé dans un sommeil profond.

     Le matin je me réveillai, inquiet des derniers événements de la nuit passée. C'est alors qu'une fois sur pieds je cherchai la merveille que j'avais achetée hier (indicateur de temps inadapté). Mais le tableau avait disparu ! Cependant, au sol, je trouvai un petit tas de poussière, au pied de mon chevalet.

08 octobre 2009

J'aime, je n'aime pas

 

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Travail d'écriture ( Le caractère )

Voici une lycéenne d'aujourd'hui : elle s'appelle Darly, son prénom est signe de douceur et délicatesse , il rime avec envie et folie .

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