Blog de Français de la seconde 3

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Lycéens au cinéma

Fil des billets

30 janvier 2018

Les discours dans Le Dictateur de Chaplin

  • Le discours de Hinckel (lien vers la page si vous ne lisez pas le fichier ci-dessous)

 

  • Le discours du barbier (lien vers la vidéo si elle ne se lance pas ci-dessous) :

22 mars 2017

Comment se comporter au cinéma pour préserver le plaisir du public ?

Voici une vidéo où le Fossoyeur de films rappelle avec humour quelques conventions nécessaires pour respecter le public ( lien pour la voir si elle ne se lance pas ci-dessous).

 

 

03 janvier 2014

Articles sur Camille redouble

Vous trouverez ci-dessous :

  • Des articles critiques sur le film:
- article de Sophia Collet sur Critikat
- article de Jean-Michel Frodon sur Slate
- article de Jérôme Momcilovic sur Chronicart
- article de Olivier Séguret sur Next-Libération
  • Des entretiens avec la réalisatrice:
- à la radio, sur France Culture, vous pouvez écouter Noémie Lvovsky dans l'émission "Hors-champs" de Laure Adler
- sur le site de Télérama
- sur le site des Inrocks
- sur le site d'arte
- sur le site de Libération-Next

Le teen movie

Deux sites pour vous renseigner sur ce genre de films :
  • Le site d'un passionné
  • Des extraits vidéos recensés par thème sur le site créé par Arte au moment de la diffusion du documentaire que vous pouvez voir ci-dessous.

Lien pour voir le film si vous ne parvenez pas à le voir ci-dessous. 

19 février 2010

Critiques du film "La Mort aux trousses"

Dans le cadre de l'opération "Lycéens au cinéma", nous sommes allés voir le film La Mort aux trousses d'Alfred Hitchcock. Voici le point de vue de quelques élèves sur ce film :

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24 novembre 2009

Critiques du film "La Cérémonie" de Claude Chabrol

Dans ce billet, les élèves de 2nde 4 vous donnent leur point de vue sur le film "La Cérémonie", vu dans le cadre du projet "Lycéens au cinéma".

Une critique de cinéma, Anne Beauvillard, a écrit sur le site critikat une analyse du film et propose des pistes de réflexion sur le titre du film, qui a étonné les élèves.

On peut aussi visiter le site cadrage.net qui propose un dossier sur le film Madame Bovary.

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02 juin 2009

Monstres en folie

Sur une idée de Mme Fromont, et après avoir vu le film The Host, les élèves de 2nde 10 se sont inspirés de désastres réels ou imaginaires pour rédiger des descriptions de monstres issus de ces désastres. Voici quelques morceaux choisis des monstres créés par les élèves.

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06 mai 2009

La violence au cinéma

Dans ce billet, nous parlons de films qui nous semblent violents.

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05 mai 2009

La violence dans "Requiem For A Dream" par Lorianne et Christine

Le film Requiem For A Dream a été réalisé par Darren Aronofsky en 2000.

Dans cette scène, nous pouvons assister à la fin tragique de tous les personnages.  Harry Goldfarb se fait emputer le bras à cause de la gangraine à force de se piquer. Ce personnage souvent en manque de drogues dans le film subit une violence physique et psychologique suite à sa dépendance. Emprissoné, il fera une infection et sera emputer. Un plan montrera l'emputation alors qu'il était à peine endormi.

Sa mère, Sara Goldfarb, après avoir été dépendante aux pillules pour maigraire et suite à une folie (hallucination) où elle s'imaginait participer à un jeux télévisé, finit par être internée et meurt.

Marion, la petite amie de Harry, pour se payer sa drague, se prostitue et nous pouvons imaginer qu'elle continura pour pouvoir se payer sa drogue.

Et pour finir, Tyron C. Love, le meilleur ami de Harry, reste en prisson et subit des violences physiques.

Dans ce film, les violences sont surtout psychologique mais des violences physiques sont aussi présente avec la sensation de manque des personnages. Chaque personnage a sa propres dépendance.

 

Lorianne

Une des scènes qui m'est apparue assez violente et troublante est celle où Sara Goldfarb, assise dans son fauteuil du salon connaît une vision troublante qui est liée à l'abondance de drogues consommée. Son régrigérateur se met à bouger, les couleurs de sa cuisine sont telles dans un film de science-fiction. Son frigo se met à la culpabiliser, à la gronder, tout en lui donnant envie de manger. C'est alors une sensation d'enfermement, de long et profond tunnel noir dans lequel on s'est aventuré. Il y a une atmosphère si lointaine, si inhabituelle par rapport à mon quotidien et surtout, si inquiétante même si on peut trouver quelques points communs avec notre vie personnelle. Mais pas dans le sens où je prends de la drogue et pas dans une situation si alarmante mais dans le sens où parfois on a l'impression que tout s'écroule.

      Cette violence, ce trouble est accentué par la rapidité des plans de caméra, des effets spéciaux, des couleurs, des flashes qui virent au rouge, au vert si je me souviens bien.

      Que ce soit le jeune couple et la dame âgée, tous les trois se droguent pour échapper à leur quotidien qu'ils n'apprécient pas. Pour ne plus ressentir leurs souffrances, physiques ou morales.

Les scènes qui me semblent les plus violentes sont les suivantes:

- Quand Marion fait l'amour avec un individu pour de l'argent en échange. Quand elle n'appartient plus à son corps, quand son corps ne l'appartient plus. Elle se prostitue mais le fait de la voir augmente mon trouble vis-à-vis du fait (sens ?). C'est un moment, une situation que personne ne voudrait vivre et qui stresse.

- la charge électrique sur Harry Goldfarb dans l'hôpital. C'est une scène où plusieurs images se succèdent de plus en plus vite, alternant entre le visage de Harry se faisant électrocuter et Marion avec une autre fille, faisant l'amour devant une horde de personnes excitées et droguées. Encore une fois, la musique "Lux" de Clint Mansell accentue la compréhension du passage.

- quand les personnages deviennent dépendants, atmosphère inquiétante, inhabituelle, comme dans un trou.

Face à ces scènes, je ressentais une sensation désagréable, de l'inquiétude et de la peur. Ce sont des situations que j'ai du mal à imaginer et à accepter peut-être, qui touchent au moral. 

J'étais peut-être un peu jeune quand je l'ai vu. J'ai vu ce film à quinze ans et demi et je l'ai trouvé très dur. C'est un film qui m'a beaucoup marquée. Mais je ne regrette pas car en plus je l'ai aimé. Le fait de l'avoir vu me donne une certaine préparation face aux choses de la vie.

Christine

19 mars 2009

Critique de "Sunrise" par Amin

Sunrise est un film américain en noir et blanc, réalisé par le réalisateur Allemand Friedrich Wilhelm Murnau, paru en 1927 avec George O'Brien et Janet Gaynor. Ce film a connu un énorme succès du principalement, à un manque de parole, à un langage gestuel, et des effets spéciaux très développés à leur époque. La musique de fond est en harmonie avec les actions des protagonistes, cela donne des effets de suspense au public.

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