Blog de Français de la seconde 3

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Mot-clé - écriture d invention

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03 octobre 2010

La lecture représentée dans le récit - Jeux d'écriture.

Le livre en poésie.

Ton regard gris me givre

De toi je suis ivre

Ton sourire me délivre

Tout en toi m'enivre

 

C'est en toi que j'aime lire

Quand tu joue un morceau avec ta lyre

C'est grâce à toi que je délire

Et que je soupire.

02 octobre 2010

La lecture representée dans le récit - jeux d'écriture.

Le livre en poésie

Ce plaisir qui nous enivre,
Qui on ne sait comment nous délivre
Toujours plus, jusqu'à en être ivre,
On finira couvert de givre.

Même l'instant d'un soupire,
On entend déjà les lyres,
A la limite du délire.
Ce plaisir qui est de lire.

28 septembre 2010

Le Livre

Décrire l'objet livre

Choisissez un rapprochement inhabituel mais cohérent pour décrire l’objet-livre ; utilisez la figure de style de votre choix pour votre description.

Les livres sont comme des paquets cadeaux s'ouvrant en deux pour présenter leurs trésors écrit en fin caractères noirs.


Définir le livre

a) par des périphrases : les Précieuses du XVIIe siècle aimaient utiliser des périphrases pour désigner des réalités quotidiennes. Par exemple, les fauteuils étaient désignés par « les commodités de la conversation ». Quelles périphrases, valorisantes ou péjoratives (suivant que le livre vous plaît ou non), pourriez-vous trouver ?

Les livres pourraient être appelés des "feuilles de culture écrite" ou des "assemblages de papiers poussiéreux".


b) par le recours aux mots-valises : dans son recueil de poème Le Parti pris des choses, Francis Ponge fait de cageot un mot-valise (cage + cachot). Puis, pour cerner la réalité de cet objet, il développe son idée : un cageot est à la fois une cage et une prison pour les fruits à vendre. De quel mariage de mots le mot « livre » pourrait-il être le mot-valise ? A la manière de Ponge, donnez ensuite la description détaillée de cet objet sous forme de définition. 

Le livre pourrait être le mot-valise de libre et vivre: un livre permet de rêver librement et de vivre l'aventure.


Le livre en poésie

Sur la plaine de givre

Un homme s'enivre

Seul le froid le délivre

De ses rêves d'ivre.

Il se soul à lire

Perdu dans son délire

Il s'accompagne du doux soupir

Des cordes de la lyre.


Dessiner le livre

Sur la plaine de givre                           Il se soul à lire

Un homme s'enivre                    Perdu dans son délire

Seul le froid le délivre   Il s'accompagne du doux soupir

De ses rêves d'ivre.                    Des cordes de la lyre.

Le livre

Décrire l' objet livre :


Choisissez un rapprochement inhabituel mais cohérent pour décrire l’objet-livre ; utilisez la figure de style de votre choix pour votre description.


 Je suis nais dans une fille littéraire et finirais dans cette même particularité familiale. Lors de mes visites chez mes grands-parents, je m' empressé d'aller au grenier retrouver ces vieux livres qui m'attirés alors que je ne savais pas pratiquement pas lire. J'observais toujours avec stupéfaction ces livres entassés et poussiéreux qui m'appelés et je sentais au fond de moi que ces précieux avaient une histoire à transmettre.

  Quelquefois, j' osais en tenir quelque' uns dans mes mains et je pouvais malheureusement observais leur coeur dechiré, la tranche se brisant comme un miroir, les pages cornées et à moitié dechirées, l'encre eparpillée à cause de quelques goutes d'eau, des traces de moisissure et pour finir sentant le renfermé.


Définir le livre :  

  •  L' objet de l 'ennuie, l' écriture de la découverte, la porte de l'evade sont des périphrases désignant le livre.
  • "LIVRE" peut être le mariage des mots Lire+Délivre.

 - "Lire" est l' action habituelle que l' on fait avec un livre et "Délivre" peut être la sensation provoquée par celui-ci.


Le livre porte-t-il bien son nom ?

 

"Le mot Livre" commençant par un L pouvant faire référence à la lecture et en enlevant le V cela nous donne lire, qui est l'action principale proposée par le livre. Mais aussi, le L et le E peuvent nous faire penser à la forme d' un livre.


Le livre en poésie :

                         -L' homme devient ivre,

                         Et d' un coup d' air frais se délivre.

                         Mais malheureusement un nouveau chagrin l' enivre

                         Et abattue, son coeur givre.

                         -La passion de lire,

                         Aussi belle que le son d' une lyre

                         Mais qui dès fois nous plonge dans un délire 

                         Qui se refoule par des soupires.   

04 mars 2010

Ecriture d'invention

Sujet : Vous avez été invité à assister à une représentation du Cid et vous êtes assis sur une banquette sur la scène face à la salle. Décrivez ce que vous voyez. Vous décrirez notamment la salle (organisation, ambiance...) et les acteurs sur scène (costume, apparence...).


     Il y a quelques semaines, j'ai reçu une invitation pour une représentation du Cid au théâtre de ma ville. Cette nouvelle ma remplie de joie. Sur cette invitation, il était précisé que ma place était sur une banquette se situant sur la scène.

     Les semaines se sont écoulées et la pièce va commencer. Les spectateurs sont presque tous assis, il se placent en fonction de leur rang social , sur des banquettes ou parterre. J'entends un bruit de fond en continu, il provient des spectateurs, impatients que la pièce débute. Je suis aussi impatiente qu'eux, j'ai hâte de voir le résultat de cette pièce que j'aime tant. Je m'assois à mon tour sur la banquette qui m'était destinée. Le rideau est encore fermé, mais vient aussitôt le bruit des trois coups.

     Les acteurs se placent rapidement, on voit qu'ils s'impliquent rigoureusement dans leur rôle. Le rideau se lève doucement et laisse apparaître les comédiens présents dans la première scène. Mon cœur bât très fort depuis l'apparition de tous ces comédiens. J'aperçois les autres acteurs qui attendent dans les coulisses. Ils ont l'air détendu et une grande complicité règne entre tous les membres de la troupe. Au fur et à mesure de la pièce, j'ai vus tous les personnages rentrer et sortir de la scène et je suis éblouïe devant leurs costumes, leurs jeux et l'interprétation de la pièce. Les comédiens ne sont pas habillés avec les costumes d'époque, l'âge est respecté entre les personages. Le maquillage est utilisé pour faire ressortir la vieillesse de Don Diègue. Chaque acteur correspond parfaitement à son rôle.

     Je suis extrêmement contente d'avoir vu cette pièce, je pense aller voir la prochaine pièce de cette troupe. L'inconvénient que j'ai trouvé est l'attitude irrespectueuse du public. Il était bruyant et violent à l'égard des comédiens. Les Grands n'avaient aucune gêne à interrompre les acteurs. Mais malgré cela je garde un bon souvenir de la pièce car je l'ai adoré.

23 février 2010

Ecriture d'invention sur le théatre

Sujet : Vous avez été invité à assister à une représentation du Cid et vous êtes assis sur une banquette sur la scène face à la salle. Décrivez ce que vous voyez. Vous décrirez notamment la salle (organisation, ambiance...) et les acteurs sur scène (costume, apparence...).

     Nous sommes en 1635 à paris, dans un théâtre renommé. C’est la fin de la représentation, les acteurs tous en scène échangent leurs dernières répliques avant de fermer le rideau. Cette pièce fut mouvementée, plus que d’habitude les gens étaient bruyants, certains étaient révoltés d’autres satisfait. Pour ma part, j’ai beaucoup sifflé car certaines choses mon déplus. Au  début de la pièce, les gens arrivaient en masse pour l’évènement, ils s’installaient avec fracas. Le parterre pour les plus démunis et les loges pour les grandes dames et autres nobles ; quand à moi j’étais assis, sur une banquette rouge derrière le parterre. Le théâtre resplendissait, il était grand et somptueux. Ce soir-là, la mise en scène était prestigieuse, il y avait plusieurs décors en bois et de bons acteurs. La pièce était attendue de tous malgré les vives critiques portées à l’égard de l’auteur. Effectivement les années précédentes les règles, du théâtre étaient remise en question à cause d’auteurs qui les contournaient et un nouveau genre : la tragicomédie. Le genre de la pièce que je regarde en ce moment même. On sifflait  dans le théâtre le parterre était bruyant malgré cela, la pièce avaiteu du succès. Après cette représentation  et les suivantes beaucoup de querelle eurent lieu remettant en doute les règles du théâtre classique. Je me lève et me dirige  vers la sortie, dehors je me retourne une dernière fois et lit sur l’affiche placardé au mur : ce soir Le Cid.

25 novembre 2009

Ecriture d'invention: un étrange portrait

SUJET : Un jeune peintre sans argent est sur le point d'être expulsé de son logement qui lui sert d'atelier. Dans un bric-à-brac du marché, il tombe en arrêt devant un tableau représentant un por­trait. Il l'achète pour quelques sous, l'emporte chez lui, le nettoie puis va se coucher. Il n'arrive pas à s'endormir et soudain, un étrange phénomène se produit. J'avais acheté ce tableau pour quelques sous.

       Je marchai jusqu'à chez moi en prenant le chemin habituel. Le tableau sous le bras, j'entrai dans mon atelier. Profondément las, je le posai. J'allai chercher un chiffon pour nettoyer cette délicieuse œuvre avant d'aller me coucher.

      Ce tableau était ancien. Il représentait une femme d'une beauté resplendissante, entièrement nue. Sa chevelure rousse d'un rouge vif et sauvage était longue et lisse. Ses cheveux étaient assez longs pour recouvrir ses seins. Le tableau s'achevait à sa taille mais il laissait entrevoir son adorable nombril. Elle possédait une peau laiteuse, d'un blanc pâle, de même à (que) celle d'une poupée de porcelaine. Ses cheveux relevés en arrière laissaient admirer la beauté de son visage. Son regard était magnétique, il attirait précipitamment (mal dit) les yeux de l'observateur. Jamais je n'avais vu de tels yeux. Ils étaient d'un bleu turquoise profond, comme si le plus réputé des bijoutiers y eût incrusté ses plus belles pierres précieuses. Ses cils étaient longs et courbés de façon magistrale (impropre). Ses sourcils étaient presque inexistants, ce qui accentuait son regard intense. Ses yeux brillaient tellement que l'on aurait dit qu'ils étaient vraies. Ce tableau avait une note qui se trouvait encerclée par une tige de rose aux piquants menaçants. Je réussis à lire péniblement ces quelques mots, qui étaient écrit en latin : «  A toi mon amoureux, sache que l'amour que j'éprouve pour toi brule toujours en moi. »

     Après avoir dépoussiéré cette trouvaille, je la déposai sur mon chevalet pour la mettre en valeur. Mon atelier était quelque peu encombré, des tableaux entassés jonchaient sur (construction) le sol. Ma palette contenait encore de la peinture semi-séchée ainsi que mes pinceaux sales, mais le tableau, lui, resplendissait parmi tout ce désordre.

     Il était temps pour moi de dormir. J'éteignis ma bougie qui était devenu depuis longtemps mon unique lumière. Je me blottissais (passé simple) ensuite dans mon amas de coussins qui me servait de lit. Impossible de fermer l'œil, je sentais une personne qui m'observait. Une personne de plus dans la pièce. Quand soudain (phrase incorrecte), j'aperçus des flammes d'une grandeur époustouflante qui ondulaient non loin de moi, juste au dessus de mon chevalet. Qu'était ce donc ? On aurait dit que les cheveux de la femme du tableau venaient de prendre feu. J'étais accablé de fatigue et je commençai à trembler, à avoir des frissons de fièvre. Je décidai alors de me calmer. C'est alors que j'aperçus de nouveau ces flammes si envoutantes. J'étais rempli d'une ivresse indescriptible mais je sentais aussi mon cœur battre à tout rompre, je ne savais que faire, que croire. Quand (phrase incorrecte) précipitamment je fus plongé dans un sommeil profond.

     Le matin je me réveillai, inquiet des derniers événements de la nuit passée. C'est alors qu'une fois sur pieds je cherchai la merveille que j'avais achetée hier (indicateur de temps inadapté). Mais le tableau avait disparu ! Cependant, au sol, je trouvai un petit tas de poussière, au pied de mon chevalet.

12 octobre 2009

Caractère moderne d'un lycéen.

     Sophie est une jeune lycéenne assez timide et plutôt discrète. Même avec ses plus proches amis elle reste à l'écart, dans l'ombre. Elle n'en sort jamais ou presque. En dépit de cette timidité excessive, Sophie est une jeune fille douce et intéressante.

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Portrait d'un caractère moderne : Un lycéen

   Frank est assez faible en mathématique, sauf quand il s'agit d'argent. L'A.R.G.E.N.T., comme il l'appel, c'est tout pour lui, même plus important que ses amis.

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11 octobre 2009

Caractère : Une lycéenne d'aujourd'hui

C'est une élève vraiment insupportable, et ennuyeuse à en mourir.

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