Le livre en poésie.
Ton regard gris me givre
De toi je suis ivre
Ton sourire me délivre
Tout en toi m'enivre
C'est en toi que j'aime lire
Quand tu joue un morceau avec ta lyre
C'est grâce à toi que je délire
Et que je soupire.
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03 octobre 2010
Par Katy Dos Santos le 03 octobre 2010, 14:20 - Lectures
Le livre en poésie.
Ton regard gris me givre
De toi je suis ivre
Ton sourire me délivre
Tout en toi m'enivre
C'est en toi que j'aime lire
Quand tu joue un morceau avec ta lyre
C'est grâce à toi que je délire
Et que je soupire.
02 octobre 2010
Par Léa Gelpi le 02 octobre 2010, 23:37 - Lectures
Le livre en poésie
Ce plaisir qui nous enivre,
Qui on ne sait comment nous délivre
Toujours plus, jusqu'à en être ivre,
On finira couvert de givre.
Même l'instant d'un soupire,
On entend déjà les lyres,
A la limite du délire.
Ce plaisir qui est de lire.
28 septembre 2010
Par Jean-Baptiste Aubry le 28 septembre 2010, 14:40 - Lectures
Décrire l'objet livre
Choisissez un rapprochement inhabituel mais cohérent pour décrire l’objet-livre ; utilisez la figure de style de votre choix pour votre description.Les livres sont comme des paquets cadeaux s'ouvrant en deux pour présenter leurs trésors écrit en fin caractères noirs.
Définir le livre
a) par des périphrases : les Précieuses du XVIIe siècle aimaient utiliser des périphrases pour désigner des réalités quotidiennes. Par exemple, les fauteuils étaient désignés par « les commodités de la conversation ». Quelles périphrases, valorisantes ou péjoratives (suivant que le livre vous plaît ou non), pourriez-vous trouver ?Les livres pourraient être appelés des "feuilles de culture écrite" ou des "assemblages de papiers poussiéreux".
Le livre pourrait être le mot-valise de libre et vivre: un livre permet de rêver librement et de vivre l'aventure.
Le livre en poésie
Sur la plaine de givre
Un homme s'enivre
Seul le froid le délivre
De ses rêves d'ivre.
Il se soul à lire
Perdu dans son délire
Il s'accompagne du doux soupir
Des cordes de la lyre.
Dessiner le livre
Sur la plaine de givre Il se soul à lire
Un homme s'enivre Perdu dans son délire
Seul le froid le délivre Il s'accompagne du doux soupir
De ses rêves d'ivre. Des cordes de la lyre.
Par Alexandre Vey le 28 septembre 2010, 14:40 - Lectures
Décrire l' objet livre :
Choisissez un rapprochement inhabituel mais cohérent pour décrire l’objet-livre ; utilisez la figure de style de votre choix pour votre description.
Je suis nais dans une fille littéraire et finirais dans cette même particularité familiale. Lors de mes visites chez mes grands-parents, je m' empressé d'aller au grenier retrouver ces vieux livres qui m'attirés alors que je ne savais pas pratiquement pas lire. J'observais toujours avec stupéfaction ces livres entassés et poussiéreux qui m'appelés et je sentais au fond de moi que ces précieux avaient une histoire à transmettre.
Quelquefois, j' osais en tenir quelque' uns dans mes mains et je pouvais malheureusement observais leur coeur dechiré, la tranche se brisant comme un miroir, les pages cornées et à moitié dechirées, l'encre eparpillée à cause de quelques goutes d'eau, des traces de moisissure et pour finir sentant le renfermé.
Définir le livre :
- "Lire" est l' action habituelle que l' on fait avec un livre et "Délivre" peut être la sensation provoquée par celui-ci.
Le livre porte-t-il bien son nom ?
"Le mot Livre" commençant par un L pouvant faire référence à la lecture et en enlevant le V cela nous donne lire, qui est l'action principale proposée par le livre. Mais aussi, le L et le E peuvent nous faire penser à la forme d' un livre.
Le livre en poésie :
-L' homme devient ivre,
Et d' un coup d' air frais se délivre.
Mais malheureusement un nouveau chagrin l' enivre
Et abattue, son coeur givre.
-La passion de lire,
Aussi belle que le son d' une lyre
Mais qui dès fois nous plonge dans un délire
Qui se refoule par des soupires.
04 mars 2010
Par Emilie Tunç le 04 mars 2010, 15:09 - Théâtre
23 février 2010
Par Josselin Launay le 23 février 2010, 14:10 - Théâtre
25 novembre 2009
Par Emilie Tunç le 25 novembre 2009, 16:53
SUJET : Un jeune peintre sans argent est sur le point d'être expulsé de son logement qui lui sert d'atelier. Dans un bric-à-brac du marché, il tombe en arrêt devant un tableau représentant un portrait. Il l'achète pour quelques sous, l'emporte chez lui, le nettoie puis va se coucher. Il n'arrive pas à s'endormir et soudain, un étrange phénomène se produit. J'avais acheté ce tableau pour quelques sous.
Je marchai jusqu'à chez moi en prenant le chemin habituel. Le tableau sous le bras, j'entrai dans mon atelier. Profondément las, je le posai. J'allai chercher un chiffon pour nettoyer cette délicieuse œuvre avant d'aller me coucher.
Ce tableau était ancien. Il représentait une femme d'une beauté resplendissante, entièrement nue. Sa chevelure rousse d'un rouge vif et sauvage était longue et lisse. Ses cheveux étaient assez longs pour recouvrir ses seins. Le tableau s'achevait à sa taille mais il laissait entrevoir son adorable nombril. Elle possédait une peau laiteuse, d'un blanc pâle, de même à (que) celle d'une poupée de porcelaine. Ses cheveux relevés en arrière laissaient admirer la beauté de son visage. Son regard était magnétique, il attirait précipitamment (mal dit) les yeux de l'observateur. Jamais je n'avais vu de tels yeux. Ils étaient d'un bleu turquoise profond, comme si le plus réputé des bijoutiers y eût incrusté ses plus belles pierres précieuses. Ses cils étaient longs et courbés de façon magistrale (impropre). Ses sourcils étaient presque inexistants, ce qui accentuait son regard intense. Ses yeux brillaient tellement que l'on aurait dit qu'ils étaient vraies. Ce tableau avait une note qui se trouvait encerclée par une tige de rose aux piquants menaçants. Je réussis à lire péniblement ces quelques mots, qui étaient écrit en latin : « A toi mon amoureux, sache que l'amour que j'éprouve pour toi brule toujours en moi. »
Après avoir dépoussiéré cette trouvaille, je la déposai sur mon chevalet pour la mettre en valeur. Mon atelier était quelque peu encombré, des tableaux entassés jonchaient sur (construction) le sol. Ma palette contenait encore de la peinture semi-séchée ainsi que mes pinceaux sales, mais le tableau, lui, resplendissait parmi tout ce désordre.
Il était temps pour moi de dormir. J'éteignis ma bougie qui était devenu depuis longtemps mon unique lumière. Je me blottissais (passé simple) ensuite dans mon amas de coussins qui me servait de lit. Impossible de fermer l'œil, je sentais une personne qui m'observait. Une personne de plus dans la pièce. Quand soudain (phrase incorrecte), j'aperçus des flammes d'une grandeur époustouflante qui ondulaient non loin de moi, juste au dessus de mon chevalet. Qu'était ce donc ? On aurait dit que les cheveux de la femme du tableau venaient de prendre feu. J'étais accablé de fatigue et je commençai à trembler, à avoir des frissons de fièvre. Je décidai alors de me calmer. C'est alors que j'aperçus de nouveau ces flammes si envoutantes. J'étais rempli d'une ivresse indescriptible mais je sentais aussi mon cœur battre à tout rompre, je ne savais que faire, que croire. Quand (phrase incorrecte) précipitamment je fus plongé dans un sommeil profond.
Le matin je me réveillai, inquiet des derniers événements de la nuit passée. C'est alors qu'une fois sur pieds je cherchai la merveille que j'avais achetée hier (indicateur de temps inadapté). Mais le tableau avait disparu ! Cependant, au sol, je trouvai un petit tas de poussière, au pied de mon chevalet.
12 octobre 2009
Par Dechorgnat Emma le 12 octobre 2009, 22:59 - Images de soi
Sophie est une jeune lycéenne assez timide et plutôt discrète. Même avec ses plus proches amis elle reste à l'écart, dans l'ombre. Elle n'en sort jamais ou presque. En dépit de cette timidité excessive, Sophie est une jeune fille douce et intéressante.
Par Kevin-Andrew Dendelé-Valentino le 12 octobre 2009, 00:10 - Images de soi
Frank est assez faible en mathématique, sauf quand il s'agit d'argent. L'A.R.G.E.N.T., comme il l'appel, c'est tout pour lui, même plus important que ses amis.
11 octobre 2009
Par Sonia Miloudi le 11 octobre 2009, 22:08 - Images de soi
C'est une élève vraiment insupportable, et ennuyeuse à en mourir.
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