Classement › De janvier 1915 à mars 1918

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9 nov. 2017

II La guerre des tranchées

    Les combattants s'enterrent et observent une attitude généralement défensive. Il faut se faire à l'idée que la guerre sera longue.Les conditions de combat évoluent et l'armement en conséquence. Si le soldat conserve son fusil, son rôle devient secondaire au profit de la grenade lancée dans la tranchée adverse. On voit aussi se multiplier les engins à tirs courbes (le crapouillot). L'artillerie installée à l'arrière joue un rôle décisif pour préparer les assauts en écrasant au préalable les positions ennemies.
 

   Tout au long de l'année 1915, l'artillerie allemande est en nette supériorité et rend les tentatives de percées inutiles et meurtrières :
        - La Champagne    - L'Artois        - Les Vosges        - L'Argonne

 

   A l'est , l'empire ottoman entré aux côtés des puissances centrales isole la France et le Royaume-Uni de son allié russe. A partir de fevrier 1915, les Anglais et les Français mènent une offensive pour maintenir le contrôle des détroits du Bosphore et des Dardanelles qui se révèle un échec. L'année 1916 est marquée par l'offensive allemande sur Verdun à partir du 21 février jusqu'en décembre 1916 face à une armée française qui tient bon sous le commandement de Pétain et l'offensive franco britannique sur la Somme à partir de juillet jusqu'à octobre 1916.
 

   L'année 1917 est notamment celle de l'échec de l'offensive du Chemin des Dames à partir du 16 avril 1917  l'Oise à la montagne de Reims et du début d'un mouvement de mutineries. Des combats continuent en Flandres ou les Anglais reprennent les crêtes de Messines le 7 Juin , à Verdun où les troupes allemandes sont repoussées à leurs positions de fevrier 1916. 1917 est aussi l'année qui voit l'entrée des Etats unis dans le conflit au côtés de l'Entente mais aussi la sortie de la Russie du conflit confronté à deux révolutions.

 

Le cours :
Introduction
I La guerre de mouvement
II La guerre des tranchées
III Reprise de la guerre de mouvement

 

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26 : RAULT Eugène Charles (Feucherollles)

 
   Eugène Charles Rault, un soldat d'origine Française (qui a combattu dans l'armée Française pendant la première guerre mondiale) est né le 10 janvier 1877 à Feucheurolles, un petit village dans la Seine-et-Oise maintenant appelée les Yvelines (78).
   
   Il a été recruté pour la première guerre mondiale à Versailles, une ville proche de Feucherolles (dans le 78), son matricule au Recrutement était le numéro 2877, c'était un soldat de 2nd classe qui était au 228 Régiment d'Infanterie (228e RI). Il était de la classe d'âge 1897.
   
   Son nom a été transcrit le 14 mai 1915 sur le monument aux Morts de Feucheurolles dans la Seine-et-Oise maintenant appelée les Yvelines (78). Il a vécu a Feucherolles, un petit village dans les Yvelines appelé avant la Seine-et-Oise (78). Il a lâché son dernier souffle dans l'ambulance numéro 3 de la 53ème division de réserve de la Somme suite à de malheureuses blessures de guerre. Il est donc malheureusement décédé le 02/12/1914 à l'âge de 37 ans à Etinehem qui se situe dans le département de la Somme (80).
 
Document réalisé par : CARABOT Eden, STIENNE Athénaïs, classe de 3-4 2020

 

   Je naquis le 10 janvier de l’année 1877 en Seine et Oise sous le nom de « Eugène Charles Rault ». Etant fils de Louis Marie Rault et de sa femme Anne Marie Roichonne, je vécus à Feucherolles la majeure partie de ma vie. C’est dans ce petit village que je me mariai avec ma femme, Léonie Rault. J’eus une fille, Marcelle Rault qui fut ma fierté et ma joie. J’étais encore manouvrier, lorsque je dus accomplir mon devoir en me rendant à la guerre. A cette époque je mesurais 1m57, portais les cheveux châtains et possédais des yeux gris sur un visage ovale terminé par un menton rond. J’étais également doué du niveau trois d’instruction, autrement dit, je savais lire, écrire et compter.

   Je suis incorporé le 14 novembre 1898 soldat de 2ieme classe et envoyé en disponibilité le 24 septembre 1899 dispensé selon l’article 21 car j’étais l’aîné d’orphelins et passé dans la réserve de l’armée d’active le 1er novembre 1901. J’ai été rappelé le 3 Aout 1914 après l’avis de mobilisation générale. Je me rendis donc à Versailles où j’obtins mon nouveau statut de soldat de deuxième classe matricule 2 877.

   Je fus blessé sur le front lors de la guerre des tranchées le 2 décembre 1914 à Etinchem et je mourus  à la suite de mes blessures dans l’ambulance qui me ramenait à l’Arrière le 2 décembre 1914 à l’âge de 37 ans. 

Document réalisé par : RICHARD Louis et RUSSO Nicolas 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Livre d'or, lien : 
Journal de marche du jour du décès : 
 
 

1 : BIZÉ Charles François (Chavenay)

 
   Charles François Bizé est né le 7 février 1875 dans la communes Chavenay dans le département Seine-et-Oise (aujourd'hui les Yvelines, 78). Il est le fils de Charles-Jean Bizéet D'adelphine Mathilde Herse. Charles François avait les cheveux et sourcils blonds, ces yeux étaient bleus, il avait un front ordinaire, un nez et une bouche de taille moyenne, un menton rond et un visage allongé. Il mesurait 1m82.
 
   Charles François Bizé fut incorporé le 16 novembre 1896. Il fut convoqué le 1er août 1914 suite à la mobilisation générale. Arrivé le 4 août 1914 au 4ème régiment d'artillerie à pied, il passe le 16 avril 1916 au 6ème régiment d'artillerie a pied. Son numéro de matricule au recrutement est 2745.
Il a mené un campagne contre l'Allemagne du 9 aout 1914 au 9 février 1917.
 
   Il est malheureusement mort le 3 février 1917 à 41 ans suite à une maladie contractée en service. Prénom "C" inscrit sur le monument aux morts de Chavenay.
 
Document réalisé par : Jeanne LERCERF, Danai ANDREOPOULOU, Vita VEZINA, classe 3e2 2020
           
                                                   
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de naissance, lien : 
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Recensement de 1911, Lien :  (Absent du recensement)
Livre d'or, lien : 
Journal de marche du jour du décès : 
 
 

1 : AVISSE André (Crespières)

 
   André Avisse naquit le 20 juin 1895 dans la commune de Beynes en Seine-et-Oise (aujourd'hui les Yvelines, 78). Il était le fils d'Eugène Avisse né en 1857, charreteur de profession et de Paule Gauthier, couturière de profession. Il était fils unique et travaillait en tant que journalier agricole. Il avait un visage ovale, des cheveux châtain clair, des yeux gris orangés, un front de taille moyenne, un nez rectiligne et mesurait 1m 65cm. Il avait un niveau d'éducation générale de 3, il possédait donc un bon degré d'instruction, il n'a jamais eu d'épouse ni d'enfants. Sur le recensement de 1911, il habitait à côté de ses parents dans la rue Galon (qui n'existe plus aujourd'hui) au numéro 134 dans la petite commune de Beynes.
 
   Recruté dans l'armée le 19 décembre 1914 à Versailles (78), il est incorporé au 131e régiment d'infanterie le jour même. Immatriculé 1080 au Recrutement, 8349 au Corps en tant que soldat de 2nd classe lorsqu'il arriva au régiment. Combattant dans la forêt d'Argonne, il vécut un calvaire sous les bombardements allemands, les tirs d'obus et autres atrocités.
 
   Avisse André est mort le 13 juillet 1915 tué par l'ennemi dans la forêt d'Argonne (chevauchant la Marne) lors d'une attaque des Allemands avec de l'artillerie lourde, des liquides enflammés, et des bombes asphyxiantes. L'artillerie française riposte et fait reculer les Allemands. Plus tard dans la journée l'attaque française est lancée mais se fait arrêter par les mitrailleuses allemandes. Il y a eu beaucoup de morts dont Avisse André à l'âge de 20 ans. Il figure sur les monuments aux Morts de Crespières, Beynes et de Chavenay, la date de sa transcription est le 15 janvier 1916. Il a eu comme décoration la mention Mort pour la France. Nous n'avons pu avoir d'informations sur son inhumation.
 
   Extrait du journal de marche du 131ème R.I. le 13 et le 14 juillet 1915 (date de mort d'Avisse André): "On prévoit une attaque et des ordres sont donnés pour y parer le 131ème régiment d'infanterie est fractionné et porté [...] Les Allemands arrosent d'obus de gros calibres, les ravins et les crêtes et son tir se précise. Ils ont réussi à passer à la Courdine mais sont arrêtés devant les ouvrages 12a, 12b, 12c par les défenseurs. Les éléments de renfort du 131ème RI gravissent les crêtes de la  Fille-l'iorde les pentes Sud du plateau de Bolande, et sont engagées successivement. Les tentatives d'avances sont empéchées par le feu très nourri de l'adversaire. L'artillerie francaise répond énergiquement au feu des pièces ennemies: son action est très efficace et prépare le terrain pour une contre-attaque. Elle se produit vers 17h30 quand la préparation par l'artillerie est jugée suffisante. Malgré un terrain des plus difficile, des souffrances très grandes provoquées par les gaz délétères et de très sérieuses pertes, les fantassins s'élancent à l'assaut du plateau d'où l'ennemi est chassé et le rejettent vers le ravin des Lieurissons. Notre progression est arrêtée par le tir de mitrailleuses qui nous prennent d'enfilade. Nous nous installons sur les pentes du plateau."
 
Document réalisé par : Erwin Thomas-Beaulieu, Victor BILLET et Antoine KIM, classe de 3-2 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de Décès, lien : La demande a été relancée plusieurs fois et la mairie traite toujours le sujet.
Recensement de 1911,  : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d7a239e4ec4/53d7a23a128de (page 16, numéro d'individu 442)
Journal de marche du jour du decès (131e régiment le 13 juillet 1915, date de mort d'André AVISSE) : https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e0052788a121858f/52788a124ec82
 
 

8 : DALIFARD Louis Ernest (Crespières)

 
   DALIFARD Louis Ernest naquit le 24 août 1895 à St-Germain en Laye dans le département des Yvelines (78). Il était fils unique d'Ernest DALIFARD et de Louise Caroline JAFFRAY et il n'avait ni femme ni enfant. Il travaillait en tant que cultivateur. Son niveau d'instruction générale était de 3, il possédait donc une instruction primaire assez développée. Il avait des cheveux châtains clairs, des yeux de couleur "gris bleu", un front haut et un petit nez, son menton était rond, son visage plein, des lèvres minces et il mesurait 1m70. 
 
   Il fut incorporé le 19 décembre 1914, au 3ème régiment du Génie et immatriculé à Poissy sous le numéro 11130 au Corps et 5404 au Recrutement. Lorsqu'il arriva au Corps le 20 décembre 1914, il fut soldat de 2nd classe et son grade était sapeur. Il fut envoyé aux armées le 5 avril 1915. Il combattit les Allemands du 20 décembre 1914 au 8 juin 1915. Les différentes campagnes qu'il menait furent celles du 20 décembre 1914 au 8 juin 1916 contre l'Allemagne
 
   DALIFARD Louis Ernest nous quitta le 8 juin 1916  aux Eparges dans le département de la Meuse âgé de 20 ans. Il fut tué par l'ennemi, il reçut la mention Mort pour la France pour son sacrifice suprême.
 
Document réalisé par : Jonah RUBIN, Mathis DUPUIS et Malo CAPPELE, classe de 3-2 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Registre d’incorporation Militaire, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s005c77b5aa9d83f/5dcbb36cb7f0d 
Acte de Décès, Source : Une demande a été effectuée au près de la mairie...
Livres d'or 14/18 - Crespières, Yvelines, France: https://www.geneanet.org/releves-collaboratifs/view/11534/5
 
 

10 : FÉRET Marcel Albert Célestin (Crespières)

 
   Marcel Albert Célestin FERET est né le 14 septembre 1895 à Davron dans le département de la Seine-et-Oise (78). Il était le fils d'Augustin Louis François FERET, journalier et de Célanie Estelle BILLARD, journalière. Il travaillait en tant qu'ouvrier agricole pour M. ROUSSEL et était fils unique. Son niveau d'instruction était de 3, il possédait donc une instruction primaire assez développée. Il avait des cheveux et des sourcils châtain foncé, des yeux marron, un front bas, un nez "fort". Son visage ovale et il mesurait 1m61.
   
   Il fut incorporé au 82e régiment d'infanterie et immatriculé à Versailles sous le numéro 5433 au Corps et 7738 au Recrutement. Lorsqu'il fut mobilisé, il fut soldat de seconde classe. Il combattit contre les Allemands du 19 décembre 1914 au 27 septembre 1915. Les différentes campagnes qu'il menait furent celles du 19 décembre 1914 au 27 septembre 1915 contre l'Allemagne.
   
   Marcel Albert Célestin FERET mourut malheureusement le 27 septembre 1915, à 20 ans, à La Fille Morte dans le département de la Meuse âgé de 20 ans. Il fut tué à l'ennemi. Il fut inhumé au cimetière militaire de la forestière à la Chalade (Meuse) le 7 mars 1924. Il reçut la mention Mort pour la France pour son sacrifice suprême. Son nom est gravé sur le monument aux Morts de Crespières (78).
 
Document réalisé par : Louise COLAS-FOUCHARD, Diane MOREAUX et Marie LE MAU DE TALANCE, classe de 3-5 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Journal de marche du jour du decès : (82e régiment le 13 juillet 1915, date de mort de Marcel Albert Célestin FÉRET) https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e0052788a121858f/52788a12628b2  (il n'y a rien pour le jour même, les derniers évènements datent du 25 septembre 1915)
 
 

18 : LEFÉVRE Léon Ernest (Crespières)

 
   Léon Ernest Constant Lefèvre, né le 18 juillet 1881 à Villeparisis, 77 Seine-et-Marne en France était un homme assez petit, brun, avec des yeux marron, un front ordinaire, un nez fort, une bouche moyenne, un menton rond et un visage ovale. Ses parents étaient épiciers mais son père, Louis Jules Lefèvre est mort le 5 mai 1898. Il habitait avec sa mère, Henriette Pauline Victorine (celle-ci se faisait appeler Victorine) et ses frères et soeurs en 1901 (Georges, Paul, Juliette et Victorine). Entre 1906 et 1911, sa mère habitait toujours à Crespières, mais pas lui, il devait sans doute habiter ailleurs. Il était charretier avant d'être appelé pour la guerre. Il avait un niveau général d'instruction 2.
   
   Il avait comme numéro de matricule 3054 au Corps et 018850 bis au Recrutement. Il a été incorporé au 24e régiment d'infanterie et était soldat de seconde classe. Il s'est battu contre l'Allemagne le 12 août 1914 et a été capturé.
   
   Il est mort le 11 mai 1915 en captivité suite à une maladie et a été enterré à Sarrebourg. Il est sur le monument aux Morts de Crespières et à la mention "Mort pour la France" mais il n'a pas reçu de décorations.
 
Document réalisé par : Flora COULON, Faustine LE BIHAN et Tiphaine BENTZ, classe de 3-1 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Recensement de 1911, lien : (Absent du recensement)
Livre d'or, lien : 
Journal de marche du jour du décès : 
 
 

2 : BANNIER Joseph (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
   Joseph René Louis Bannier naquit le 15 mai 1893 à St Nom La Bretèche dans le département de la Seine-et-Oise (78). Il était le fils de Louis Bannier, restaurateur de profession chez Patroi au restaurant "Glycine restaurant" (aujourd'hui l'auberge de St Nom) avec sa femme Maria Stalin. Il travaillait en tant que menuisier chez Paul Bude et avait un frère Albert qui était serrurier. Son niveau d'instruction générale était de 3, il possédait donc une instruction primaire assez développée. Il avait les cheveux châtains, les yeux marron clair , le front vertical, un nez moyen et un visage plein et large. Sa bouche était grande, il avait des lèvres épaisses et un teint coloré. Il faisait 1,73 m et avait des cicatrices dont une à la main gauche, une à la jambe droite et une au front. Il n'était pas marié et n'avait donc pas d'enfants.
   
   Il fut incorporé le 28 novembre 1913 au 1er régiment du Génie et immatriculé à Marly Le Roi sous le numéro 3177 au corps et 827 au recrutement. Lorsqu'il arriva au corps, il fut soldat de 1ère classe et son grade était brigadier. Il fut envoyé pour se battre contre  l'Allemagne du 2 août 1914 au 16 juin 1917.
   
   Blessé le 15 juin 1917 à Vailly sur Oisne par éclats d'obus, il succomba à ses blessures le 16 juin 1917 dans l'ambulance. Il fut inhumé dans l'Aisne, dans la nécropole de Vauxbuin. Son nom est gravé sur le monument aux morts de st Nom La Bretèche (78). Il a été décoré de la médaille militaire en 1919 et son acte de décès porte la mention "Mort pour la France".
 
Document réalisé par : BANNIER Clara, BANNIER Romane et LANDA Chloé, classe de 3-1 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Livre d'or, lien : 
Journal de marche du jour du decès : 

 

4 : BLAVETTE Marius (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
   BLAVETTE Marius naquit le 30 septembre 1896 à Saint-Nom-la-Bretèche et possédait le numéro 25 comme numéro d'ordre. Il n'était pas marié , il avait les cheveux bruns, les yeux marrons clair, un front large, un nez droit , un visage plein allongé avec une grande bouche et des lèvres épaisses ainsi qu'un menton fuyant à fossettes il mesurait 1m74. Il était charron forgeron .
      
   Marius fut incorporé a Versailles et avait comme numéro de matricule 1942. Il était soldat de 2eme classe. Il était scarifié au niveau de la poitrine. Celui ci possédait une médaille militaire et une croix de guerre.
 
   Malheureusement Marius BLAVETTE mourut le 15 décembre 1916 à l'âge de 20 ans à Louvemont-Côte-du-Poivre (dans la Meuse), village détruit lors de la Première Guerre mondiale. Village proche de Verdun . La date et le lieu de sa transcription est le 18 mars 1921 à Saint-Nom-la-Bretèche. Il fut tué par l'ennemi. il fait partie de la mention mort pour la France le 15 décembre 1916 et sera présent sur le monument aux morts de Saint-Nom-la-Bretèche 
 
Document réalisé par :  BERDUGO Sarah, VILLARD Alicia et POLONSKY Eva, classe de 3-4 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de naissance, lien :  Il faut chercher le lien ...
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Lieu de sépulture, lien  : il faut chercher le lien ...
Recensement de 1911, Lien : (Absent du recensement)
Livre d'or, lien : 
Journal de marche du jour du decès : 

 

5 : BOSSARD Henri Charles Marie (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
   Henri Charles Marie BOSSARD est né le 1er Janvier 1890 à St-Nom-La-Bretèche dans le département de la Seine-et-Oise (78). Il était le fils de Théophile Arnaud BOSSARD, cultivateur de profession (il était lui même le patron) et de Marie Josèphe DUBOIS, cultivatrice de profession elle aussi. Henri travaillait en tant que menuisier chez Bude. Son niveau d'instruction générale était de 3, il possédait donc une instruction primaire assez développée.Henri Charles Marie avait les cheveux noirs, les yeux châtains verdâtres, son front était vertical, grand en hauteur et moyen en largeur, visage plein, un dos réctiligne, un nez avec une base horizontale, une hauteur et une largeur moyenne. Il faisait 1m72.Son épouse s'appelle Berthe Louise Julie Le PECARD et ils se sont mariés le 1er février 1914 devant la mairie de Saint-Nom-la-Bretèche. Lors du recencement de 1911, Henri Charles Marie Bossard n'avait ni frère ni soeur, il était donc fils unique.
   
   Henri Charles Marie Bossard fut incorporé en 1910 à Versailles au 21°régiment d'infanterie coloniale (21°RIC) sous le matricule 2026. Lors de la guerre, il fut soldat de deuxième classe et son grade était Marsoin. Son régiment participa à de nombreuses batailles mais lui ne fit malheureusement que : Neufchateau (22 août 1914), la célèbre bataille de la Marne (6 septembre 1914), Bois de Ville (25 septembre 1914) et enfin et très malheureusement, Massiges le 3 février 1915 où il sera porté disparu en combattant courageusement lors d'une bataille épique.
   
   Extrait du journal de marche du 21° le 3 février 1915 : "La Main de Massiges (3 février). -Le 3 février à 10 heures, après une forte préparation d'artillerie, l'ennemi donne l'assaut sur la Main de Massiges avec trois régiments de front. Le 21° supporte le gros de l'attaque, qui débute par l'explosion de trois gros fourneaux de mine sur les tranchées de l'annulaire, occupées par nos éléments de 1er ligne. [...] Le tir de l'artillerie allemande s'allonge et son infanterie débouche, se précipitant sur les entonnoirs dont elle réussit à déloger, malgré leur résistance, les quelques survivants encore étourdis par les explosions [...]. Le commandant Moreau et le capitaine Delasalle tentent un dernier effort et ramènent vers les 1eres lignes quelques hommes encore disponibles. Tout deux sont grièvement blessés et tombent aux mains de l'ennemi. Au Médius tenu par le 2ème bataillon et son énergique chef, le capitaine Bonnard, les vagues sont reçues par une vive fusillade qui déconcerte les assaillants et le combat s'engage dans les boyaux où les Allemands sont arrêtés n'ayant réussi à progresser que sur les points d'explosion de leurs mines. Mais la position de l'annulaire a cédé, prise de front, enfilée à droite et à gauche et barrée au sud par une concentration puissante d'artillerie. [...] La situation devient critique. [...] les Allemands déciment les défenseurs du Ravin des Abeilles. Toutes les liaisons téléphoniques sont coupées. Des barrages sont établis et nos réserves engagées, les défendent avec fureur malgré la supériorité en nombre et en armemant de l'ennemi, qui dispose d'une grande quantité de grenades, engin presque encore inconnu de nos hommes. Enfin notre résistance acharnée réussit à enrayer la progression des colonnes d'attaque qui s'arrêtent à bout de souffle mais se maintiennent sur l'annulaire et sur les premières tranchées du médius et du Cratère. Vers le Sud, les renforts demandés par le colonel van Vatermeulen arrivent au promouvoire: 2 compagnies des 8°et 22° Calonial. 3 compagnies du 24° Colonial [...] . Trois contre-attaques sont décidées sur les positions ou portions de positions conquises par l'ennemi. Elles se déclanchent à minuit 30, dans la nuit du 3 au 4. L'attaque de droite, sur le Cratère, échoue [...] . La contre-attaque du centre menée par le bataillon Barbazan et les débris du 1er bataillon enlève les 1ère et 2ème lignes occupées par l'ennemi. Sur le Médius, les Allemands sont rejetés jusqu'à notre ancienne première ligne."
 
   Henri Charles Marie Bossard combattit courageusement contre l'Allemagne du 7 août 1914 au 3 février 1915, lors de sa campagne il n'eut aucune blessure connue et ne fut pas décoré ,et son acte de décés ne porte même pas la mention "Mort pour la France". Il repose aujourd'hui à Massiges (dans une tombe vide).
 
Document réalisé par : RAULIN Alexis, BATISTA Vasco, COLIN Bastien et BROCHET Maxime, classe de 3-3 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Journal de marche du jour du decès : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6419962f/f29.item
 
 

7 : CHARLOT Robert (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
   CHARLOT Robert naquit le 27 janvier 1897 à Argenteuil dans le département du Val-d'Oise (95).Il était fils de FORTUNE Auguste et de FOULLON Julia. Son niveau d'instruction était de 4, il possédait donc une instruction primaire très développée. Il avait les cheveux châtains foncés, les yeux verdâtres, le front de hauteur «moyen», un grand nez, un visage assez long, il avait aussi une grande bouche et des lèvres épaisses. Il mesurait 1m71. A la limite de la main gauche et au poignet de la main droite s'y trouvaient des cicatrices de coupures. Avant la guerre, sa profession était Elève-maitre à l’école normale (il allait devenir instituteur).
 
   Il fut incorporé sous-lieutenent au 65ème régiment d'infanterie en 1916 à Versailles (78). Son numéro de matricule était le 32, il était contre l'Allemagne ( du 11 janvier 1916 jusqu'à sa mort le 20 juillet 1917). Il a eu la médaille militaire.
 
   CHARLOT Robert est malheureusement mort le 20 juillet 1917 au cours de la bataille de Moulin-sous-Touvent (dans l'Oise) à l'âge de 20 ans , 5 mois et 24 jours, il a été tué par l'ennemi par balle au ventre, aujourd'hui son nom est inscrit sur le monument aux morts de Saint Nom la Bretèche et son acte de décès porte la mention Mort pour la France
 
Document réalisé par :  MOREAU Whitney, LORTET Calliste et HAMON Julie, classe de 3-4 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de naissance, lien : Le lien n'est pas bon il fautle refaire
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne) 
Lieu de sépulture, lien  : Ce n'est pas le bon lien il est a refaire
Recensement de 1911, Lien : (Absent du recensement)
Livre d'or, lien : 
Journal de marche du jour du decès : 

 

8 : DHOUAILLY Gustave (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
  Gustave DHOUAILLY est né le 3 février 1880 à Crévecoeur-Sur-L'escaut, fils de Edouard DHOUAILLY (Son père) et Aurélie Gamière (Sa mère). Gustave DHOUAILLY était un homme de 1 mètre 73 aux yeux gris-bleu et aux cheveux chataîn clair. Il a été charpentier puis maçon. Avant de partir à la guerre, il s'est marié avec Berthe Albertine Guyard avec laquelle il a eu une fille née le 22 novembre 1912. Il était domicilé à St-Nom-La-Bretêche par suite de mobilisation générale par decret présidentiel du 3 août 1914, Gustave DHOUAILLY est arrivé au 5 ème régiment d'infanterie le 13 août 1914 et passé au 24 eme régiment d'infanterie le 2 juin 1915. 
 
  C'était un soldat d'élite toujours prêt pour les missions périlleuses et il s'est distingué en maintes circonstances notamment au combat du 25 semptembre 1915 ou il a été tué en mettant sa mitrailleuse en batterie devant la première ligne d'attaque 
 
  Il a reçu la croix de guerre et a été inhumé à Vierzy dans l'Aisne, son nom est sur le monument aux morts de St-Nom-La-Bretêche. Il est mort pour la France, il avait 35 ans, 7 mois et 2 jours.
 
Document réalisé par :  LAFON Victor et KOEHLER Evan, classe de 3-3 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de naissance, lien : Introuvable sur le cite dans le département 59 la ville (laquelle ?) n'est pas proposé par le site (lequel ?)
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Recensement de 1911, Lien : (Absent du recensement)
Livre d'or, lien : 
Journal de marche du jour du décès : 
 
 

14 : GORON Alphonse Louis (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
   Alphonse Louis GORON est né le 20 janvier 1875 à Dugny dans le département de Seine-Saint-Denis (93). Il était le fils d'Alphonse Louis GORON et d'Augustine Désirée Bronard. Il était l'aîné de 8 frères et soeurs. Son niveau d'instruction générale était de 2, c'est-à-dire qu'il savait lire et écrire, celui-ci était aussi militaire exercé. Il avait des cheveux et des sourcils châtains, des yeux bleus, un grand front, un nez et une bouche "moyens". Son visage était "pleins", son menton rond et mesurait 1m61. Alphonse Louis était marié à Juliette Bude. Il était employé de commerces dans le domaine des fourrures.  
   
   Monsieur Goron fut appelé à l'activité par suite de mobilisation générale du 1er août 1914. Il fut incorporé dans la 1ère compagnie du 18ème régiment Territorial d'Infanterie à Versailles. Son numéro de matricule était 2831 et sa classe d'incorporation le numéro 1895. Il fut récompensé par sa nomination en tant que caporal le 15 novembre 1915. Monsieur Goron a participé aux campagnes militaires contre l'Allemagne du 4 août 1914 jusqu'en 1917. En effet le 17 octobre 1917 à 13h30, il est tué aux carrières d'Haudremont (Meuse) par éclats d'obus. Sa mort le libère administrativement de son service militaire( le 10 novembre 1924). Il n'a reçu aucune décoration durant la Grande Guerre. 
   
   Goron Alphonse Louis est malheureusement mort à 13h30 le 17 octobre 1917 (il avait 42 ans et presque 4 mois ) aux carrières d'Haudremont ( Meuse 55).Il est décédé sur le coup après avoir reçu des éclats d'obus .Aucun prénom n'est inscrit sur le monument aux morts de Saint-Nom-La-Bretèche ,mais le prénom "Louis" est inscrit sur la plaque commémorative de l'église de Saint-nom-La-Bretèche . 
 
Document réalisé par: Nora MASFRAND, Noémie VERDIER et Juliette PALLOIS, classe de 3-2 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")  
Acte de naissance: nous avons fait la demande à la mairiedeDugny, nous attendons une réponse
Recensement de 1911, Lien : (Absent du recencement)
Journal de marche du jour du decès : Notre soldat est introuvable dans le journal de marche, cela s'arrête à 1916 hors celui-ci est mort en octobre 1917.

 

16 : LIEGE Auguste Emile (Feucherollles)

 

   Auguste Emile LIEGE est né le 14 mai 1892 à Bernoyer Ponthieu dans la Somme. Il n’a pas connu son père. Auguste Emile a les cheveux châtains, les yeux gris, la bouche petite et le menton à fossettes. Il est de petite taille : 1,62 mètre. Il porte une cicatrice au menton. En 1912, il est condamné à un mois de prison avec sursis pour violence. Au moment de son incorporation il habite Feucherolles et exerce le métier de briquetier.

   Il est incorporé le 8 octobre 1914 avec le matricule 487 au bureau de recrutement de Versailles dans le 165ème Régiment d’infanterie. Il a fait campagne contre l’Allemagne du 2 aout au 14 décembre 1914. Il est noté sur son registre militaire qu’il a toujours eu une belle conduite au feu.

   Il est tué à son poste de combat aux Jumelles d’Ornes le 14 décembre 1914. Il est décoré de la croix de guerre avec étoile de bronze.

Document réalisé par : Mme L'HOSTIS 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239f4539afe1/5242bef35b72b
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d62d4e16cd9/53d62d5148ccc
Acte de naissance, lien : http://recherche.archives.somme.fr/ark:/58483/a011261413226O9XVc3/1/1 P79-80
Acte de Décès, Source : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/66RH3DAmLDTd6Kj
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=391429
Recensement de 1911, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c221f8 P6

 

14 : LAVAULT André Louis (Feucherollles)

 
   André Lavault est né le 7 octobre 1896 à Feucherolles dans le département de la Seine et Oise (78). Il était le fils de Marie Louis Lavault, marchant laitier et sa mère Marie Fanny qui n’avait pas de profession. André était cultivateur et il n’avait aucun niveau d’instruction. Il avait des cheveux et des yeux châtains, un front moyen, un nez rectiligne, un visage ovale et il mesurait 1m66.
 
   Il s’est engagé volontairement pour la durée de la grande guerre le 7 septembre 1914 à la mairie de Versailles. Il est arrivé au corps le 11 septembre 1914.  Il était tirailleur de seconde classe et il appartenait au 13ème bataillon de chasseur à pied puis au 6ème bataillon de chasseur alpins.
Son numéro de matricule est le 437 au recrutement à Versailles. Ensuite une fois intégré au Corps, son matricule est le 4393 de classe 1916. 
 
   André Lavault mourut malheureusement le 27 décembre 1914 à l’âge de 18 ans. Il fut tué à l’ennemi dans la commune de Mont Saint-Eloi, dans la forêt de Berthonval dans le département du Pas-De-Calais en France.
Il se fit enterrer au cimetière de Feucherolles. André Lavault est inscrit sur le monument au mort de Feucherolles avec mention « mort pour la France »
 
Document réalisé par :  Alex BRUYANT, Maxime PETIN, Romain DAVID, Axel ROUVROY, classe de 3-5 2020
 
 

   André Louis LAVAULT est né le 7 octobre 1896 dans la commune de Feucherolles(78), fils légitime de Marie Louis et de Marie Fanny Villot. Il est cultivateur au moment de son incorporation. D'après le registre incorporation, il avait des cheveux châtains; des yeux "châtains"; un front moyen et un visage ovale. Il avait aussi un nez rectiligne et il mesurait 1m66.

   Il s'était engagé volontairement pour la durée de la guerre le 7 septembre 1914 à la mairie de Versailles. Il est arrivé au corps de régiment le 11 septembre 1914 dans la classe 1916, matricule de recrutement 437; il était tirailleur de 2eme classe appartenant 13e bataillon de chasseurs à pied (13e BCP) puis 6eme bataillon de chasseur alpin. 

   Il est mort au combat le 27 décembre 1914 au bois de Berthonval (62). Il a reçu le titre de "Mort pour la France". Son acte de décès a été transmis à Feucherolles(78).

Document réalisé par : Olivier BOURDON et  LE GALL Victor 2017

 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
 
 

19 : MEURO Raymond Alfred (Feucherollles)

 

   Raymond Alfred MEURO naquit le 8 Juillet 1896 à Davron dans le canton de Poissy et dans le département de la Seine-et-Oise (aujourd'hui les Yvelines). Raymond à pour mère GLENUS Marie Aude Madelaine Adeline (qui accoucha de lui à 20 ans, à 10h du soir). Elle était blanchisseuse. Son père biologique est inconnu mais il a été légitimé en octobre 1897 par l’époux de Marie, Alfred Meuro. Raymond exerçait le même emploi que son père adoptif chez le même employeur, c’est-à-dire maçon chez Solaire. Ses sœurs  se nommaient Marthe (née en 1900), Raymonde (née en 1902) et Renée (née en 1904). Le jeune homme avait des cheveux châtains, un nez rectiligne, un front de taille moyenne et un visage de forme ovale. Il mesurait 1m67. Il n'avait jamais fait d'études (il ne savait ni écrire ni lire). Son dernier lieu d'habitation ( au moment de sa mobilisation) était à Feucherolles

   Sa classe d'incorporation était 1916 mais il fut engagé volontaire pour 4 ans le 7 septembre 1914 comme chasseur de 2ieme classe à Versailles et son numéro de matricule est 441 au recrutement de Versailles.   Malgré son dévouement, il n'a pas reçu de décorations.

   Il mourut le 27 Juillet 1914, tué à l'ennemi dans le Nord-Pas-de-Calais au Bois de Berthonval dans la commune de Mont-Saint-Eloi à 18 ans. Sa mort fut officialisée le 7  novembre 1915 à Feucherolles. Il ne fut pas inhumé. Après sa mort, son nom fut inscrit sur le monument aux morts (son numéro d'ordre est 17) à Feucherolles, devant la mairie. Il a été déclaré "Mort pour la France".

Document réalisé par : PASCO Chloé et PAREL Margaux 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239f78521269/5242bf49b3688
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d7a14961d00/53d7a15026b2e
Acte de naissance, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s005421d1575ca8b/5421d1582df6c
Acte de Décès, Source : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/ioppdccw2HydXxN
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=391432
Recensement de 1911, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c2857d  P14

 

32 : CONNEN Augustin (Feucherollles)

 

   Je naquis le 28 août 1895, dans le village de Chavenay, en Seine-et-Oise. Mes parents, nommés Jules Octave Connen et ma Marie Colloëe m’appelèrent Augustin. Je grandis, j’appris à lire et à écrire, et j’appris le métier de mon père : charretier, tandis que ma mère restait à la maison pour s’occuper de moi. Je n’eus ni frère, ni sœur et je devins tranquillement l’homme que je suis aujourd’hui : les cheveux châtains clairs, les yeux bleus clairs dans un visage étroit, avec un menton fuyant, un front haut moyen, un nez cave et petit et des petites lèvres épaisses. Je mesurais un mètre cinquante-neuf, donc j’étais de petite taille. Je portais une cicatrice au poignet gauche, un vieux souvenir de brûlure.

   J’habitais depuis peu à Feucherolles, un village près de Chavenay, lorsque la guerre commença. Je fus incorporé le 19 décembre 1914 Comme tous les hommes de mon âge, je dus partir à la guerre, en tant que soldat de 2e classe. Je le concède, je ne pensais pas que la guerre durerait aussi longtemps : c’était tout simplement l’horreur, les combats, la peur, la boue, les blessures : tout cela était insupportable. Je n’en pouvais plus.

   Le 19 décembre 1914, mon régiment, c’est à dire le 176eme régiment d’infanterie fut déplacé pour combattre en Turquie, à Seddul Bahr le 21 juin 1915. C’est là que je suis mort. Lors d’un assaut je reçus une balle dans les reins. La douleur fut atroce et je restai longtemps. Allongé dans ma boue, me vidant de mon sang, je pensai une dernière fois à mes parents avant de fermer les yeux pour toujours. Je suis depuis porté disparu. Mon corps n’a jamais été retrouvé.

Document réalisé par : PALLOIS Charlotte et KUOCH Lorie 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien :  http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239e05d97540/5242bd069f35b
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d1fc9890aa8/53d1fc98c332c
Acte de naissance, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053cfc82872c0b/53cfc828d226c
Acte de Décès, Source : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/pifefpbH8WCoByz
Lieu de sépulture, lien  : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=8438456
Recensement de 1911, lien : (Absent du recensement de Feucherolles)

 

18 : MENAGER Léon Emile Henri (Feucherollles)

 

   Léon Ménager naquit le 3 février 1897 à Evreux dans l’Eure. Sa mère était domestique à sa naissance. Il a été adopté par le conjoint de sa mère en juin 1897.Il réside à Thiverval en Seine et Oise au moment de son incorporation et est célibataire. Il mesurait 1.57m, était blond avec des yeux marron. Il avait une grande bouche mais des lèvres minces et un menton à fossettes.

   Il est incorporé le 11 janvier 1916 comme soldat de 2ieme classe dans le 39ieme régiment d’infanterie sous le matricule 15951 puis le 12 novembre il passe dans le 74ème Régiment d’infanterie.

   Le 23 Juillet 1918 il meurt « tué à l’ennemi » à Oulchy la ville dans l’Aisne à 21 ans.  Il porte la mention mort pour la France.

Document réalisé par : Mme L'HOSTIS 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239f71c49b64/5242bf40178ed
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053e3735388dbc/53e3735946066
Acte de naissance, lien : http://archives.eure.fr/ark:/26335/a011440744727qe2xc0/057a29a50a 
Acte de Décès, Source : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/RWTKtWQCSm5XEry
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=391431
Recensement de 1911, lien : (Absent du recensement sur Feucherolles)

 

28 : SOLAIRE Anatole Edmond (Feucherollles)

 
   Anatole Edmond Solaire naquit le 3 juillet 1888 à Feucherolles dans le canton de Marly le Roi et le département de Seine-et-Oise à l'époque, aujourd'hui les Yvelines. Son père Jules Solaire  était cultivateur, il ne faisait donc pas spécialement partie d'une entreprise et  sa mère Mathilde Ollivon  était femme au foyer (leurs niveaux d'instruction étaient respectivement de 2 et de 3). Ils habitaient tous deux à feucherolles et y sont restés jusqu'à leur mort. Le 5 janvier 1913, à 25 ans, Anatole Edmond habitait à  . Et le 3 janvier 1914 (un an avant sa mort), il se maria avec Hélène Felicie Berseron.C'est seulement quelques mois avant sa mobilisation ( 14 mai 1914) qu'Anatole Edmond et sa femme déménagèrent à Billancourt, 103 rue de La Plaine pour ensuite déménager à nouveau le 25 juillet 1914 à Billancourt, 73 avenue Victor Hugo. Anatole Edmond avait plusieurs soeurs ainsi que de nombreux frères. Avant d'être soldat, il était journalier et son niveau d'instruction général était de 2. Il était brun et avait les yeux marron. Il avait un visage ovale, un nez moyen, une bouche moyenne, un front ordinaire et un menton rond. Il mesurait 1,68m, ce qui était, même à l'époque, en dessous de la moyenne nationale.
 

   Il a été mobilisé à Feucherolles le 3 août 1914, a été recruté à Versailles (numéro de matricule 2132) et son numéro de classe était 1908. Le 15 juin 1912, il a été condamné par jugement contradictoire du tribunal correctionnel à Versailles à trois mois de prison pour coups et blessures. Il a d'abord été affecté au 40eme régiment d'Artillerie (numéro de matricule: 2380 ) puis au 22eme régiment d'artillerie. Et c'est le 10 mars 1914 qu'il est passé au 3e régiment d'artillerie coloniale (RAC), au grade de 2e canonnier servant et son numéro de matricule était 2132 de nouveau. Anatole Edmond à débuté les campagnes militaires le jour de sa mobilisation et les a arrêté le 24 septembre 1915(jour de sa mort) et a participé aux contre-offensives . Aucune décoration ne lui a été remise par la suite.

 
   Malheureusement, il succombât au front et mourut le 24 septembre 1915 (la même année que le génocide des Arméniens)  à l'âge de 27 ans 2 mois et 21 jours précisément à Souin-Perthes-Lès-Hurlus en Marne (51) tué par l'ennemi pendant l'offensive des Allemands ,durant la bataille de Champagne.Hélène Berseron, elle, habitait à Feucherolles le jour de la mort de son mari. Il a obtenu la mention Mort pour la France et il a été inhumé dans la Marne (51) à Somme Suipe à la nécropole nationnale, son numéro de tombe est le 3410. Tous ces faits énoncés sur sa vie de soldats meurtri explique sa présence sur le monument aux mort de Feucherolles. L'acte de Décès de SOLAIRE Anatole Edmond a été transcrit le 24 décembre 1915 (3 mois précisément après sa mort) par le maire de Feucherolles de l'époque.
   
Extrait du journal de marche, l'anné de mort de notre soldat:" Combat du 15 mai 1915 (ouvrage Pruneau).Le 15 mai, à 18heure 30, après avoir fait jouer trois fourneaux de mine devant l'ouvrage Pruneau (à l'ouest de Ville-sur-Tourbe, {...}) , l'ennemi envahit l'ouvrage et veut déboucher sur la Tourbe. Les réserves accourent et arrêtent l'ennemi qui est ensuite décimé par une pièce de 75 placée en caponnière dans l'ouvrage du Calvaire.A la faveur de son hésitaion, une contre-attaque est montée. L'artillerie de la 3e D.I.C comprenant le groupe Guerrini {...} exécute un engagement parfaitement réussi grâce auquel nos fantassins réoccupent le terrain perdu et font 400 prisionners. A cette attaque, se distingua particulièrement la 121e batterie du 3eme R.A.C., batterie de bombardiers {...}, engagée pour la première fois, qui perdit le lieutenant Geoffroy, mais où le canonnier Spekaert fit deux prisonniers"
 
Document réalisé par : RUSSO Clémence, SERIGNAC Esteban, CORREGE Gaspard, classe de 3-1 2020
 

 

   Je suis né le 3 juillet 1888 à Feucherolles. J'étais le fils d'un cultivateur patron, Jules Solaire et de Mathilde Ollivon. J’étais marié avec Hélène Berseron depuis janvier 1914. J'avais les cheveux bruns et les sourcils bruns, les yeux bruns également, un visage ovale et le menton rond. J'étais journalier et j'habitais à Feucherolles. Mon niveau d'instruction est de 2, je savais donc seulement lire et écrire. Je n'avais ni frères, ni sœurs.

   Lorsque je fus admis dans l'armée , on m'attribua le poste de canonnier servant dans le 3ieme régiment d’artillerie coloniale immatriculé sous le matricule 2132 au bureau de Versailles..

   Malheureusement, le 24 septembre 1914, je mourus tué à l'ennemi à 28 ans. Je suis inhumé dans la nécropole nationale à Somme-Suipe , tombe 3410.

Document réalisé par : CORON Hector et DOYUYUR Can 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Recensement de 1911, Lien : (absent du recensement sur Feucherolles)
 
 

12 : LAPIERRE Gustave (Feucherollles)

 

   Je naquis le 23 juillet 1883 en Dordogne, fils de deux cultivateurs : Hypolite et Marie Lapierre. J’avais des cheveux châtains, des yeux bruns et un visage ovale. Je n’étais pas très grand car  adulte, je mesurais 1m63.  Durant mon enfance, j’avais suivi une instruction qui m’avait permis d’apprendre à lire, écrire et compter donc mon niveau d’enseignement était de type 3.

   Au moment de la mobilisation, je n’avais qu’une trentaine d’années. A cette époque, je vivais à  Périgueux et c’est d’ailleurs là-bas que je fus incorporé dans l’armée comme soldat de 2eme classe sous le matricule 710 au bureau de recrutement. 

   Malheureusement, je ne survécus que quelques mois à cette guerre car je mourus en septembre 1915, à Massiges, à cause d’un obus ennemi. On n’a jamais retrouvé mon corps  A présent, mon nom figure sur le monument aux morts de Feucherolles, ville dans laquelle je vivais de 1902 à 1908. Mon acte de décès porte la mention mort pour la France.

Document réalisé par : ANSEAUME Matthias et DUQUET Léo 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien :http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239f17c74f49/5242bea077406
Registre d’incorporation Militaire, lien : https://archives.dordogne.fr/ark:/43778/s005a1da1d6b0162/5a1da1d6b042d.ef=23&s=44
Acte de naissance, lien : https://archives.dordogne.fr/ark:/43778/s005a2e84a68a507/5a5809c250b06 (page 9 en bas à gauche)
Acte de Décès, Source : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/KQqb6SRq4ApiBZA   https://monnuage.ac-versailles.fr/s/N9CMr4C9yYeXPsS
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=205918
Recensement de 1911, Lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c1e6ba  (Absent du recensement)

 

25 : RAOUL Narcisse (Feucherollles)

 
   Narcisse Désiré Raoul est né le 27 septembre 1895, à deux heures du soir dans le hameau de St Gemme, en haut de la ville à Feucherolles, canton de Marly-le-roi dans les Yvelines anciennement appelée Seine-et-Oise. Il est soldat d'origine française ayant combattu pendant la Première Guerre Mondiale, de 1914 à 1918. Né d'une union entre Ernest Eugène et Louise Victoria Raoul, de son nom de jeune fille Dujardin, travaillaient tous deux en tant que maçons pour Lenôt ainsi que Narcisse, avant d'aller à la guerre leur patron. Son niveau d'instruction étant de 3, signifie qu'il savait écrire, lire et compter, il possède une instruction primaire plus développée. Nous n'avons pas d'information sur sa situation familiale, s'il avait une femme ou des enfants au moment de partir à la guerre (sûrement car il était trop jeune, 19 ans, pour avoir une vie de famille) il avait en revanche une grande famille car il faisait partie d'une fratrie de 4 frères et 5 soeurs. Il avait les cheveux noirs, des yeux gris et un nez ordinaire. Son visage et son menton étaient ronds, il avait une petite bouche mais de grosses lèvres.
 
   Sa classe d'incorporation était 1915, 1re partie de la liste de 1914, mais le lieu n'est pas indiqué. Son numéro de matricule était 153 à Versailles, son lieu de recrutement, puis est devenu 9815 au corps en 1915. Il a été décoré d'une Médaille Militaire et d'une croix de guerre. Il n'avait aucun antécédent judiciaire. Durant la guerre, aucune blessure n'a été déclarée mais plusieurs campagnes comme celle contre l'Allemagne du 19 décembre jusqu'au 28 septembre 1915 l'ont été. Il était soldat de la 12e Compagnie du 21ème Régiment de l'infanterie Coloniale et était de 2nd classe, de grade Marsouin. Il a été incorporé le 19 décembre 1914 et arrivé au corps le jour même.
 
   Raoul Narcisse est décédé le 28 septembre 1915 à l'âge de 20 ans et 1 jour à Massiges dans la Marne (51) dans la commune de Virginy, rayé des contrôles le 29 septembre 1915. Il n'a donc combattu que la première année de la guerre et possède la mention Mort pour la France. La transcription a été faite le 17 septembre 1916 à Feucherolles. Sa mort est due à l'ennemi, il est mort des suites de blessures. Il demeure maintenant au cimetière communal de Feucherolles, dans les Yvelines, dans une tombe.
   
   Extrait du journal de marche du 28 septembre 1915, du 21è régiment d'infanterie coloniale, le jour du décès de notre soldat, : "Le 28, la 3ème ligne, à Münsterberg, sur laquelle les Allemands s'étaient désepérément accrochés, est enlevée. Le commandant Le Boulanger qui a fait dégager une pièce de 77 abandonnée par l'ennemi au Cratère la fait mettre en action contre les lisières du Bois de Ville et les tranchées du Calvaire, prise d'enfilade. Son tir précis fait la joie de nos braves Marsouins et Bigors, heureux de renvoyer à l'ennemi les 1500 obus qu'il nous a abandonnés."
Pièce de 77 : le canon de 77 mm modèle 1896, en allemand 7,7 cm FK 96 (FK, Feldkanone : canon de campagne), est une pièce d'artillerie développée et produite par l'entreprise allemande Krupp tout à la fin du XIX e siècle.
 
Document réalisé par :  GALLOIS Manon ,LASCOUX Soline, COINTRE Philippine et SAGEOT Ninon, classe de 3-3   2020

 

   Narcisse RAOUL est né le 24 septembre 1895 à Feucherolles. Il est le fils légitime d’Ernest Eugène Raoul qui exerce la profession de laitier et de Louise Victoria Dujardin. Il a les yeux gris, les cheveux noirs, une petite bouche, des lèvres épaisses. Il mesurait 1,63 mètre. En 1911, j’habite chez mes parents à Feucherolles avec mes 8 frères et sœurs et j’exerce la profession de laitier.

   Il a été recruté au bureau de Versailles  sous le matricule 153 et incorporé au 21ème régiment d’infanterie coloniale sous le matricule 9815 le 19 décembre 1914 comme soldat de 2ème classe.

   Il est tué à l’ennemi le 29 septembre 1915.

Document réalisé par : BERGERON Margaux et BACIOIU Justine 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Journal de marche du jour du decès :https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6419962f (page 33)
 
 

30 : ZIMMERMANN Jean Henri (Feucherollles)

 
   Monsieur Zimmermann, Jean Henri de son prénom, est né le 11 mai 1883 à Paris, dans le 10e arrondissement rue de Maubeuge. Il est le fils de Jules Alexandre Devismes qui ne le reconnait pas, officier de l'état civil du 10e arrondissement de Paris, et de Célestine Zimmermann. Sa mère Célestine a 23 ans à sa naissance, elle exerce le métier de domestique. Il s'est marié le 22 mai 1909 avec Adrienne (Philomène Charlotte) Bazier. Nous ne connaissons pas plus de ses caractéristiques physiques ni de son métier car il est absent du Registre d'Incorporation Militaire.
 
   Il est recruté au 4ème bureau de la Seine sous le matricule 1948. Il a combattu comme soldat de 2eme classe dans le 405ème régiment d’infanterie qui est est un régiment créé provisoirement. Il est incorporé dans la classe 1903.
 
   Jean Henri est porté disparu au combat le 28 septembre 1915 à Neuville Saint Vaast dans le Pas-de-Calais à l'âge de 32 ans, sûrement pendant les batailles de l'Artois. Il a été transcrit le 8 février 1921 à Feucherolles dans les Yvelines (anciennement Seine-et-Oise). Il porte la mention de "Mort pour la France". Nous ne connaissons aucune information sur son inhumation. Il est présent à la 30e place sur le monument aux Morts de Feucherolles, dans les Yvelines, et sur celui du 10e arrondissement de Paris. Paix à son Âme et hommage à tous les soldats tombés pendant cette guerre. 
 
Document réalisé par : DEMEULENAERE Vincent, MARQUES Laurène, KARMANN Clara, RIGAUD Axel, classe de 3-4 2020

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Registre d’incorporation Militaire, lien :  sur Paris matricule 1948 classe 1903 sur Paris bureau 4ème visible sur place
Recensement de 1911, Lien : (Absent du recensement)
Livre d'or, lien : 
Journal de marche du jour du decès :

 

15 : LAVAULT Marie Louis (Feucherollles)

 

   Marie Louis Lavault est né le 30 Aout 1887 à Dommartin dans la Nièvre . Son père Claude était sabotier et sa mère Marie Louise Raneuré sans profession. Son registre d’incorporation militaire le décrit assez petit (1.60m), il présente un visage ovale, une bouche et un nez moyen, des cheveux châtains et des yeux gris bleus .Il a une assez bonne instruction ( niveau 3) En 1913, il se marie avec Rose Solaire et exerce la profession de cultivateur à Feucherolles.

     Il appartient à la classe 1907. Il est incorporé au 134ieme régiment d’infanterie le 8 octobre 1908 sous le matricule 9410 comme soldat de 2ieme classe. Le 28 septembre 1909 il passe caporal puis est envoyé dans la disponibilité le 25 septembre avec un certificat de bonne conduite. Il est rappelé à l’activité au moment de la mobilisation générale. Il est blessé le 2 février 1915 à Cambrin «  plaie de la face par balle ». Le 10 octobre il est cité à l’ordre de la division car il s’est offert volontairement à plusieurs reprises pour aller reconnaitre les passages dans les réseaux de fils de fer ennemis et a toujours rapporté des renseignements très précieux. Il reçoit la croix de guerre avec étoile d’argent. Il passe au  151ieme régiment d’infanterie le 24 juillet 1915

     Il meurt au grade de sergent tué à l’ennemi le 12 octobre 1915 à Mourmelon le Grand et porte la mention Mort pour la France.

Document réalisé par : Mme L'HOSTIS 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239f1fcd3eba/5242beaed4c7f
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://archives.cg58.fr/ark:/60877/a011410878704wQ9YBe/1/1 P423-424
Acte de naissance, lien : http://archives.nievre.fr/ark:/60877/a011336133891qnYwnZ/1/1 P321
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=5427335
Recensement de 1911, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c2b7c5 P18

 

5 : CRENO Théophile Marie (Feucherollles)

 
   Théophile Marie CRÉNO naquit le 7 février 1887 à Magoar, village des Côtes-d'Armor, anciennement appelées les Côtes-du-Nord (22), en Bretagne. Il était le fils de Jean CRÉNO et de Marguerite FLOHIR.
Son père travaillait comme sabotier et sa mère comme ménagère. Son niveau d'instruction est inconnu ainsi que ses caractères physiques. Sa situation familiale n'étant pas décrite, on peut supposer qu'il n'avait pas de femme ni d'enfant. Pour ce qui est de son parcours professionnel, nous n'avons aucune information.
 
   Il fut incorporé dans la classe d'incorporation de 1907 au 50ème Régiment d'Artillerie de Campagne (R.A.C.) et fut recruté à Saint-Brieuc sous le numéro de matricule 1341. Il était canonnier, au grade de soldat de 2ème classe. Il évolua ensuite en 1915 dans le 6ème régiment d'artillerie à pied, 42ème batterie.
 
   Théophile Marie CRÉNO est malheureusement mort des suites d’une maladie qu’il contracta en service :  la tuberculose pulmonaire. Il fut évacué du front et hospitalisé une première fois de juin à septembre 1915 et obtint un congé de convalescence de 2 mois. Puis, le 15 août 1916, la Commission spéciale de réforme de Bordeaux le proposa à la réforme avec gratification en raison de son état de santé (« état cachectique prononcé »). Il mourut à Feucherolles moins de 3 semaines plus tard, le 3 septembre 1916, à l’âge de 29 ans. Il ne nous est pas possible de savoir où se trouve son lieu d’inhumation. Il reçut la Mention « Mort pour la France ».
Son nom figure sur le Monument aux Morts de Feucherolles. 
 
Document réalisé par : Sacha COITO, Julien DE LA FOSSE, Julian FORTIN-SANCHEZ et Sacha MOIROUD, classe de 3-5 2020

 

   Théophile Marie Créno naquit le 7 février 1887 à Magoar dans le département de Côtes du Nord. Il était le fils de Jean Créno, sabotier et de Marguerite Flohic, ménagère .Il  fut l'époux de Gromy Marie Françoise, âgée de 29 ans résidant à Feucherolles.  Ils n'eurent pas d'enfants. Sa description physique n'est pas inscrite sur nos documents et sur nos sources.

   Il est de la classe 1907 et a été recruté au bureau de Saint Brieuc sous le matricule 1341 comme soldat de 2ieme classe. Il est incorporé dans le 6ieme régiment d’artillerie en 1915 puis passe dans le 50eme . Il est sur front du 15 juin au 24 août 1915. Il  fut atteint de la tuberculose pulmonaire, il se retrouva dans un état cachectique au vu de son amaigrissement considérable, puis il fut conduit à l'hôpital militaire de la Rochelle du 26 août au 1 er septembre 1915.

   Il obtint un congé de 2 mois mais malheureusement suite à sa maladie, il mourut le 3 septembre 1916 en Seine et Oise à Feucherolles à l'âge de 30 ans. Il mourut donc extrêmement jeune avec la mention « Mort pour la France »

Document réalisé par : BENARIES Lilas et RAMOS Camille 2017

 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Registre d’incorporation militaire, lien : http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/RM/rmx/consult.aspx?image=140296142586654 (page 286 et 287) 
Recensement de 1911, Lien : (Absent du recensement)
Journal de marche du jour du decès : https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e00527ca7bca2ee7/527ca7bca4666 Il s'agit du journal de marche de son régiment, nous n'avons pas trouvé le journal de marche de sa batterie.
 
 

1 : BRAJEUL Yves Marie (Feucherollles)

 
  Brajeul Yves Marie naquit le 1er février 1880 à Trévé dans le 22, département des Côtes-d'Armor (ex Côtes-du-Nord) en France. Il était le fils de Jean-Francois Brajeul, laboureur de profession, âgé de 44 ans et sa mère Marie-Joseph Laîné, âgée de 28 ans, ménagère de profession. Il avait les cheveux et les sourcils châtains, des yeux noirs, un front ordinaire, un nez moyen et une bouche moyenne, un menton rond et un visage ovale. Il mesurait 1m59. Il n'a pas eu la chance de bénéficier d'une instruction scolaire, son degré d'instruction générale était de 0. Toutefois, il a bénéficié d'une instruction militaire. Il a quitté sa famille pour aller en 1909 à Bois d'Arcy où il exerçait la profession d'ouvrier agricole (cultivateur) et il travaillait pour Monsieur Laureau. Il habitait la maison n°11 quartier de la Mare Longchamps avec 14 autres personnes. Dans la maison, il y avait 10 autres ouvriers agricoles, 2 domestiques, 1 bouvier et 1 commis de culture. En 1912, il vient habiter à Feucherolles.
 
   Brajeul Yves Marie a intégré le 41ème régiment d'infanterie dans l'armée active le 16 novembre 1901 pour effectuer son service militaire d'une durée de trois ans. Son régiment d'infanterie était à Saint Brieuc. Il a été envoyé en "corrigé" le 18 septembre 1904 et a reçu ultérieurement un certificat de bonne conduite. Il est passé dans la réserve de l'armée active le 1er novembre1904.  Il a été mobilisé au 47ème régiment d'infanterie le 20 aout 1914 et a rejoint le 255ème régiment d'infanterie le 1er mai 1916. Il avait le numéro de matricule de recrutement 128, son grade était 2ème classe. Il a participé à quatre campagnes contre l'Allemagne : du 20 aout au 12 octobre 1914 en intérieur (soit au dépôt, sot hors zone des armées), du 13 octobre 1914 au 10 juin 1916 aux armées (en zone de combat), du 11 juin 1916 au 8 octobre 1916 en intérieur et du 9 octobre 1916 au 23 décembre 1916 aux armées. Il n'a pas reçu de décorations.
 
   Il mourut malheureusement le 23 décembre 1916, à l'âge de 36 ans, 10 mois et 22 jours dans l'ambulance 226 à Verdun dans la Meuse succombant à ses blessures de guerre reçues à Côte du Poivre. Il fut inhumé au cimetière communal de Bois-d'Arcy dans le 78. Son nom est gravé sur le monument aux morts de Feucherolles. Sa mort a été mentionnée "Mort pour la France".
 
   Informations sur la bataille au moment du décès: Le 15 décembre, à 10 heures du matin, le régiment montait à l'assaut de la côte du Poivre; il semblait qu'une minutieuse préparation d'artillerie de cinq jours eût dû abattre tous les obstacles dont la ligne allemande était hérissée; sur le front d'attaque du 255°, le travail de destruction avait été malheureusement incomplet. Tandis qu'à l'est, les 22ème et 23ème compagnies, dans un splendide élan, parvenaient d'un seul bond jusqu'aux limites fixées de leur progression, la 21ème compagnie était arrêtée dès le départ par un nid de mitrailleuses demeurées intactes sous leur blockhaus et semant la mort en avant d'elles. Il ne fallut pas moins de la nuit du 15 décembre, au 2ème bataillon, pour contourner l'obstacle, le réduire au silence, s'en emparer. Le 16 décembre à l'aube, le 255ème régiment d'infanterie avait atteint tous ses objectifs. La vaillance des troupes fut exaltée en divers ordres du jour; une citation à l'ordre de l'armée récompensa la magnifique conduite de la 21ème  compagnie, dont tous les chefs étaient tombés et la section Delord, anéantie sous un barrage d'artillerie.
 
 Document réalisé par : GROLLERON-PASCAL Karl, TEMPIER Baptiste, LECERF Victor et MANUEL Evan, classe de 3-5 2020

  

Yves Marie Brajeul  naquit le 1er Février 1880 à Trèvé dans les Côtes du Nord (22). Son père Jean François Brajeul était laboureur et sa mère Marie Joseph Lainé, ménagère.  Yves Marie avait des cheveux et  des sourcils châtains, des yeux noirs, un front ordinaire, un nez moyen, un menton rond et un visage ovale. Il mesurait 1m59cm.  Brajeul exerçait le métier de cultivateur. Il ne savait ni lire ni écrire mais avait reçu une instruction militaire. Yves Marie ne se maria pas, il n'eut pas d'enfant. Il vivait à Feucherolles (78) au moment de sa mobilisation. 

   Il est de la classe 1900 et a été incorporé au 48ème régiment .d’infanterie en 1901 comme soldat de 2ieme classe sous le matricule 128 au Recrutement de Saint Brieuc et libéré le 18 septembre 1904 avec un certificat de bonne conduite puis placé dans la Réserve de l’armée active  Il est mobilisé le 20 Août 1914  et affecté au 47ème régiment d’infanterie. Il part en campagne le 13 octobre 1914, est évacué le 11 juin 1915, rentre au dépôt le 30 juin 1915, repart en renfort le 9 octobre 1915. Il est finalement blessé à la Cote du Poivre sous Verdun (55) le 22 décembre 1916, un des villages entièrement détruit pendant la guerre.

   Il meurt le lendemain, le 23 décembre 1916 à l'âge de 36 ans dans  l'ambulance 226 à Verdun, suite à des blessures de guerre. Il fut inhumé à Bois d'Arcy (78), dans une tombe familiale du cimetière communal. Yves Marie Brajeul a été déclaré "mort pour la France"

Document réalisé par : GUEGUEN Enora et DURAND Tess 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Registre d’incorporation militaire, lien :  http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/RM/rmx/consult.aspx?image=140296141632874  (page 231)
Recensement de 1911, Lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053f21b951eedc/53f21b95280c5  (page 5 4ième en partant du bas)
 
 

29 : THEFFO Jean Marie (Feucherollles)

 

   Je m'appelle Jean Marie Theffo, je suis né le 14 juin 1872 à Boqueho dans les Côtes du Nord. Je n'ai pas connu mon père, mais ma mère s'appelait Marie Francoise Theffo, elle avait 19 ans et était ménagère. J'avais les cheveux et les sourcils châtains, les yeux bruns, le front bas, le nez fort, la bouche grande, et le visage ovale, je mesurais 1m57.

   Le 21 Janvier 1892, on m'a appelé pour la guerre, je n'ai pas voulu y aller, ne voulait pas quitter ma femme, Mélanie et mes 3 enfants. Alors je suis allé en prison 3 mois. Ensuite, en 1914, j'ai été mobilisé le 2 aout et été soldat 2eme classe dans le 61ieme régiment d’infanterie territoriale. La guerre était très dure, les équipements étaient lourds. C'était difficile mais je devais le faire pour sauver la France.

   J' ai eu de graves blessures de guerre suite à une explosion d'obus. Mon membre supérieur a été arraché et ma colonne vertébrale a été broyée  j'ai été transporté à l'hôpital. Malheureusement,  je suis décédé à 43 ans à l'hôpital de Evigny, le 7 Mars 1916. Je suis fier de moi, mon nom est gravé sur le monument aux morts de Feucherolles à Feucherolles, à la mairie. Je suis mort pour la France

Document réalisé par : BOUCHINDOME Léna et QUERHAMMER Sérafima 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m00523a01e06c388/5242c0962b2a3
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/RM/rmx/consult.aspx?image=140296140657784
Acte de naissance, lien : http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/EC/ecx/consult.aspx?image=090025480844244
Acte de Décès, Source : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/9dF4D93q6WWrZGD
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=205926
Recensement de 1911, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c26b9c P12-13

 

2 : CHAMBRIN Henri-Emile (Feucherollles)

 

   Henri Emile Chambrin. Il est né le 13 avril 1895 à Feucherolles. Le père d’Henri, Yves Marie Louis Chambrin qui était charretier et sa mère, Aimée Virginie Tremblay était couturière. Henri avait les cheveux châtains, des yeux bleus, un front haut, un nez rectiligne et il mesurait 1m72. Il travaillait dans le domaine de la maçonnerie et son niveau d'instruction était de 3, c'est-à-dire qu'il savait lire et écrire.

   Au moment de la mobilisation, il vivait à Feucherolles puis il fut incorporé comme soldat de  2ème classe au bureau de Versailles immatriculé 26. Son régiment d'incorporation était celui de Zouaves (4ème, 1er, 3ème). Il était gradé 2ème classe, soldat -3e R.M.Z.T [infanterie]. Il a participé à la campagne contre l'Allemagne du 19 décembre au 18 avril 1917; durant cette campagne il fut blessé le 18 mai 1916 à la côte droite par un éclat d'obus. Il n'a jamais été décoré.

   Il est mort le 18 avril 1917, à 22 ans, à Mont Haut (51 Marne:). Il a été tué par ensevelissement d’obus. Son acte de décès porte la mention "Mort pour la France", et il est présent sur le monument aux morts de Feucherolles (78).

Document réalisé par : SELVA-ABRIL Louka et DIARRA Mamadou 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239d97fb8e41/5242bc4614896
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d1fc9890aa8/53d1fc98afb96
Acte de naissance, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d3a23ca953b/53d3a23cd5346
Acte de Décès, Source :https://monnuage.ac-versailles.fr/s/NqAyY3XEnenbbRQ  https://monnuage.ac-versailles.fr/s/zP73cFSLR5k34Cp
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=391414
Recensement de 1911, lien : (Absent du recensement sur Feucherolles)

 

31 : AUFFRAY Jean Francois (Feucherollles)

 

    Je m’appelle Jean-François Auffray. Je suis né le 18 janvier 1878 à Feucherolles. Ma mère est Françoise Rosalie Mollier sans profession et mon père François Jean Auffray est journalier. Mon père s’est remarié avec Valentine à la mort de ma mère.  Ils ont une fille nommée Lucie Brière. J’ai les cheveux et les sourcils châtains, les yeux gris, un gros nez, un front ordinaire, une bouche moyenne le menton rond et le visage ovale avec des taches de rousseurs. Je suis assez petit de taille car je mesure 1,57 m. Dans ma vie de tous les jours, je suis menuisier. Je suis assez instruit : je sais lire, écrire et compter.

   J’ai été recruté à Versailles le 16 novembre 1899 sous le matricule 2318, en tant que soldat de seconde classe.  Mis en disponibilité le 20 septembre 1902, je suis rappelé à l’activité par suite de la mobilisation. J’arrive le 4 aout 1914 au 17ème régiment d’infanterie territoriale et passe au 403ème régiment d’infanterie le 20 septembre 1915.

    Je suis mort le 22 avril 1917 à 45 ans dans la commune de Bouleuse  dans la Marne de ses blessures de guerre. Je suis mort à cause d’une plaie latérale profonde de la partie-abdominale. Voici les coordonnées de ma tombe : commune à Bliny à la nécropole nationale Croix Herlin. La tombe est la 963.

Document réalisé par : WALLIS William 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien :http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239d68466e23/5242bbedd4f11
Registre d’incorporation Militaire, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s005c77a8ccc0d7d/5fad1b3dd9475
 Acte de naissance, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d27758ae399/59e5bc4e1b9ba (page 126 et 127)
Acte de Décès, Source : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/97pqsm5RqGit3Fd  https://monnuage.ac-versailles.fr/s/k7mxs2GbTwQGnps
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=1030710
Recensement de 1911, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c2d35b P20

 

23 : POISNEUF François Marie (Feucherollles)

 

   Je suis né le 5 Mars 1881 à Ploermel dans le Morbihan, je m'appelais François Marie Poisneuf, j’étais fils de Mathurin  laboureur et de Marie Anne Guyot. Agé de 23 ans je me suis installé après une enfance bretonne dans la banlieue parisienne à Montreuil. Trois ans plus tard, en 1907 à Paris et je devins journalier. Quelque temps plus tard, en 1911, je m'installais à Davron, dans une petite campagne non loin de Paris. Quelque mois plus tard seulement, à partir du 20 novembre 1911, je déménageais dans le village voisin de Feucherolles, encore comme journalier. Je faisais 1m67, un visage plutôt ovale, une grande bouche, un petit nez, des yeux gris, des cheveux noirs.

   Je  suis  recruté au bureau de Vannes en 1902 sous le matricule 1109. En 1903, je passe dans la disponibilité de l’armée active. J’ai un comportement un peu violent et insoumis. En effet, le 26 janvier 1905 je suis condamné à 8 jours de prison pour coups et blessures volontaires et je suis recondamné en appel à deux mois de prison. En 1908, je n’ai pas répondu à la convocation pour ma première période d’exercices de réserviste et je suis déclaré insoumis en juillet 1908 puis arrêté le 29 aout 1908 et condamné à 2 jours de prison pour insoumission. Rappelé le 1 er Aout 14, je suis renvoyé le 28 aout 14 chez moi . Le 11 septembre, je suis rappelé et je passe dans le 51ème régiment d’artillerie le 23 mars 1915 comme 2ème canonnier conducteur.

   Un jour, le 26 Juin 1917 un camion allié m'a renversé accidentellement sur la route de Dury à Aubigny, je ne suis pas déclaré mort pour la France.

Document réalisé par : DUCOS Mattéo et SEGERS Gabriel 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien :http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m00523aa27bdfd48/5242c74f15441
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta00d4738622197933/daogrp/0/1
Acte de naissance, lien : https://recherche.archives.morbihan.fr/ark:/15049/vta5c25a99d3b1eae49/daogrp/0/104 (en bas à droite)
Acte de Décès, Source :https://monnuage.ac-versailles.fr/s/Bwy5Bb3sa5LmFH2  https://monnuage.ac-versailles.fr/s/XJHRcxesnNQpoit
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=391435
Recensement de 1911, lien :  (Absent du recensement)

 

6 : DANO Yves Marie Pascal (Feucherollles)

 

  Il naquit le 29 Septembre 1876 à Boqueho, un village  qui se situe dans les Côtes du Nord (22). Il est le fils de Charles Dano, cultivateur chez Solaire, et de Constance Allée, ménagère. Il se maria avec Constance  Dano, elle aussi ménagère. Ensemble ils eurent un fils, Henri Dano. Yves Dano est, comme son père, cultivateur chez Solaire

   Il fit des études générales et effectua son service militaire. En 1912 on savait qu'il vivait à Feucherolles et travaillait à la briqueterie de chez Euvé. D'après le registre d'incorporation, il avait les cheveux et les sourcils châtains, les yeux bleus, le front bombé, le nez "moyen“, la bouche "moyenne", le menton rond et le visage ovale. Il mesurait 1m62. Au moment de l'enrôlement, il demeurait à Boqueho. Il fut incorporé à St Brieuc dans la classe 1896. Son numéro de matricule était 126, il appartenait au 223ème régiment d'infanterie Territoriale en tant que soldat. Il fit campagne en Allemagne du 04 Aout 1914 au 27 Juillet 1916.

   Yves Marie Pascal mourut le 27 Juillet à cause d'une maladie contractée en service.  Il porte la mention" Mort pour la France".

Document réalisé par : BERQUIER Maxime et MARICOT Martin 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, Lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239e1f7847ac/5242bd2c3d1c6
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/RM/rmx/consult.aspx?image=140296141151501
Acte de naissance, lien :  http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/EC/ecx/consult.aspx?image=090025480844353
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne) 
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=4812641
Recensement de 1911, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c25d2f P11 et P12

 

9 : HERVE François Victor (Feucherollles)

 

   François Victor Xavier HERVE  naquit le 2 octobre 1887 à Pommerit-Le-Vicomte dans les Côtes-du Nord (22). Il était laboureur et son niveau d'instruction générale était 5 ( a fait des études ). Il était fils de Jean et Jeanne Brient et se maria à Hélène Claire Padel le 25 juillet 1913. Il avait les cheveux et les sourcils châtains, les yeux gris, un front moyen, un menton rond, un nez ordinaire, une bouche moyenne, un visage ovale, il mesurait 1m69.

   Il fut incorporé le 7 octobre 1908 dans le 115ieme régiment d'infanterie et était soldat de deuxième classe avec le matricule 8576. Il a reçu des brûlures aux mains à la face à Tavannes le 8 août 1916. Il meurt le 31 Août 1916 à l’hôpital auxiliaire de Montereau. Il fut décoré avec une croix de guerre avec l'étoile de bronze. Brancardier, il a fait preuve du plus grand dévouement dans l’attaque du 25 avril 1915 en allant chercher les blessés sous le feu après l’attaque sans prendre un instant de repos et a passé la journée entière à évacuer les blessés et à porter en arrière les cadavres français et allemands

   Il fut enterré au carré militaire à Montereau Fault Yonne (77) , au rang 2, à la tombe 118 et fut déclaré "Mort Pour La France".

Document réalisé par : GIERA Emma et Floriane MIGNARD 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239ee547e38a/5242be45c50fa
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053cf5bc35fd57/53cf5bc9942ad
Acte de naissance, lien : http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/EC/ecx/consult.aspx?image=090025479868852
Acte de Décès, Source : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/wATWfi8E6o4H8pH
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=391422
Recensement de 1911, lien : (Absent du recensement sur Feucherolles)

 

15 : LEROY Emile Charles (Feucherollles)

 

    Emile Charles LEROY naquit le 7 décembre 1887 à Feucherolles dans le département de la Seine-et-Oise (78). Il était le fils d'Emile Gustave LEROY, maçon de profession chez Roblet et d'Ernestine GOIFFAIT, journalière de profession chez Desiers. Il travaillait en tant que maçon chez Roblet, comme son père, et était fils unique. Son niveau d'instruction générale était de 3, il possédait donc une instruction primaire assez développée. Il avait des cheveux et des sourcils blonds, des yeux bleus, un front ordinaire, un nez et une bouche "moyens". Son menton était rond, son visage ovale et il mesurait 1m69. Emiles Charles s'était marié le 6 mai 1911 à Feucherolles avec Marie Eugénide LEMAINGRE et a eu une fille en 1914.

   Il fut incorporé le 6 octobre 1908 au 3ème régiment du génie et immatriculé à Marly-le-Roi sous le numéro 2158 au Corps et 2164 au Recrutement. Lorsqu'il arriva au Corps, il fut soldat de 2ème classe et son grade était sapeur (mineur). Il fut ensuite envoyé dans la disponibilité de l'armée active le 25 septembre 1910 puis rappelé à l'activité le 1er août 1914. Il revient au corps le 3 août 1914.Il partit aux armées le 7 août 1914, fut blessé et évacué le 25 juin 1916 et rentra au dépôt le 6 septembre 1916. Il repartit finalement aux armées le 29 septembre 1916 mais il fut de nouveau blessé (par balle de shrapnell) au thorax et évacué le 3 septembre 1917 à Montzéville dans la Meuse (55). Emile Charles LEROY a combattu les Allemands du 30 août 1914 au 6 septembre 1917.

   Il mourut malheureusement le 6 septembre 1917, à 29 ans, à l'hôpital d'évacuation 38 à Froidos (Meuse), succombant à ses blessures de guerre. Il fut inhumé au cimetière de Froidos, et  grace à sa petite fille rencontrée lors de l'exposition, nous savons que son corps a rapatrié sur le cimetière de Feucherolles. Son nom est gravé sur le monument aux morts de Feucherolles (78). Il n'a pas été décoré mais son acte de décès porte la mention "Mort pour la France".

Document réalisé par : CALS Romane et LACOSTE Julia 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239f3d3d890c/5242bee5285e7
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d6bf8a35b8b/53d6bf8b3f7b9
Acte de naissance, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d62dfccaf8a/53d62dfd4f912
Acte de Décès, Source : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/jYpL2SygKXe6bHX   https://monnuage.ac-versailles.fr/s/Am8nCBenGkc9fsW
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=391428
Recensement de 1911, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c26b9c P12

 

22 : PAULET Mathurin Marie (Feucherollles)

 
   Paulet Mathurin Marie est né le 13 Août 1887, plus précisemment à 10 heures du matin. Il vint au monde dans la commune de St-Uniac comté de Montauban, arrondissement de Monfort, dans le département d'llle et Vilaine (35). Né d’une union entre Mathurin Paulet et Anne Marie Martin. Il avait les cheveux et les sourcils noirs, des yeux bleus, un nez et une bouche moyenne. Il avait un menton rond et un visage ovale. Il faisait un mètre 69.  Il se marie le 14 février 1914 à Feucherolles avec Marie Jeanne. Avant de partir combattre il était forgeron. Il avait un frère mort comme lui au combat appelé Adrien (nous n'avons pu trouver aucune autre information sur son frère). Paulet Mathurin a vécu dans différentes villes , c'est pourquoi nous n'avons pas trouvé plus d'information sur lui. Il est le numéro d'ordre 22  sur le monument aux morts. Il possède un degrés d'instruction générale de 3, c'est à dire qu'il sait lire, écrire et possède une instruction primaire plus développée.
   
    Paulet Mathurin Marie a été incorporé à Rennes (35000) le 6 octobre 1908 dans la classe d'incorporation 1907 sous le numéro de matricule de recrutement 09367 et sous le numéro 494 comme numéro de matricule au corps. Il arrive au corps le 4 aout 1914 et part au combat le 7 aout 1914, soit 3 jours plus tard. Il commença par être Sapeur dans le 6è régiment de Génie (6è RG). Il fut d'abord disparu et prisonnier par l'armée allemande le 8 septembre 1915. Il reçu ensuite un certificat de bonne conduite lorsqu'il fut affecté au 10è régiment du Génie pendant la réserve de l'armée active. Il a contracté des maladies en service ce qui a provoqué sa mort. Les informations concernant le soldat et les batailles du jour de sa mort ne sont pas disponibles sur internet.(Seules les archives bretonnes pourraient nous donner cette information) 
     
   Mathurin Marie Paulet est mort le 4 février 1918 âgé de 30ans, 5 mois et 22 jours précisément. Il a combattu pour la France pendant la première guerre mondiale et est mort à Francfort-sur-le-Main à Lazaret du camp des suites de différentes maladie dont la péritonite (infection du péritoine pouvant causer la mort) puis d'une appendicite qui aura donné raison à ses dernières forces. Il reçoit la mention "Mort pour la France" pour avoir combattu aux côtés de nombreux autres hommes partis au front comme lui. Sa sépulture se trouve dans la 'Nécropole nationale des prisonniers de guerre à Sarrebourg (57 400) en Moselle, Il repose dans une tombe individuelle, la 11 637. Sa transcription a été faite le 17 mars 1921 à Feucherolles et est mentionné sur le monument aux mort de notre village. Il est aussi présent sur une stèle de l'église de St-Uniac, là où il est né.
 
Document réalisé par : TANCREZ Chloé, LE GALL Agathe, JACQUIN Claire, classe de 3-2 2020

 

  Il fut un temps où la paix régnait encore. Où la vie était encore censée et heureuse. Mais la guerre vint très vite tout bouleverser. Je me nomme Paulet Mathurin Marie, je suis né le 13 Août 1887 à Saint-Uniac (35). Mes parents se nommaient Mathurin et Anne Marie Martin. Mon père exerçait la profession de laboureur et ma mère était cultivatrice. J’ai les cheveux et les sourcils noirs et j’ai des yeux bleus, le front large, un nez moyen, une bouche moyenne, un menton rond, un visage ovale et enfin je mesure 1,69m. Mon niveau d’instruction est de 3, ce qui veut dire que je sais compter, lire et écrire. J’ai aussi un frère qui se nomme Adrien Paulet. J’habite à Feucherolles. Je me suis marié avec Marie-Jeanne Leroche le 18 février 1914 à Feucherolles.

   Quelques mois plus tard, je m’engage en tant que Sapeur sous le matricule de 09367 au corps, H94 au recrutement de Versailles.

   Je décéderai le 4 février 1918 à Francfort-sur-Main en Allemagne à l’âge de 30 ans suite à des maladies contractées en service, j’aurai une mention Mort pour la France et mon nom sera inscrit sur les monuments aux morts de Feucherolles de Saint-Uniac et de Sarrebourg. Je serai inhumé en Moselle comme je le souhaitais.

Document réalisé par : GUIGNOT-MU Célian et DEMACHY Samuel 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Journal de marche du jour du décès :