Classement › De aout 1914 à decembre 1914

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9 nov. 2017

I La guerre de mouvement

    Le plan d'attaque allemand, le plan Schlieffen prévoit la destruction de l'armée française en 6 semaines afin de se consacrer au front oriental. Le plan français , le plan XVII sous estime la force militaire allemande et lance deux offensives entre les Vosges et la Moselle et au nord de Verdun dans la forêt ardennaise.Néanmoins, l'armée allemande déborde par l'ouest l'armée française en massant ses troupes en Belgique. La bataille des Frontières se tient du 20 au 23 Aout. Les Allemands sont plus nombreux, leur puissance de feu plus importante aussi l'artillerie française est dépassée et les charges héroïques des fantassins en pantalons rouges , inutiles.
 

   Les Allemands menacent directement Paris et sont à moins de 50km de Paris. Joffre et Galliéni lancent alors une contre-offensive connue sous le nom de bataille de la Marne du 6 au 13 septembre 1914 repoussant les Allemands sur l'Aisne, la Vesle et le nord de la Marne marquant l'échec du plan Schlieffen. Commence alors la tentative de débordement des deux armées, appelée course à la mer. Fin novembre le front de l'ouest se stabilise et les hommes s'enterrent dans des tranchées sur 700 km d'une ligne allant de la mer du Nord à la Suisse.On commence à comprendre qu'il faut se retrancher sur des positions conquises et s'appuyer sur l'artillerie.

 

Le cours :
Introduction
I La guerre de mouvement
II La guerre des tranchées
III Reprise de la guerre de mouvement

 

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24 : PRUNIER Eugène Adolphe (Feucherolles)

 

   Je m'appelle Eugène Adolphe Prunier. Ma mère, Merhet Anne Marie Françoise m'a mis au monde le 6 Août 1888 à Feucherolles. Mon père s'appelle Louis Eugène Prunier et est militaire. Mes cheveux et mes sourcils sont châtains. J'ai les yeux bleus, j'ai un front ordinaire, un nez moyen, une bouche moyenne, un menton rond et un visage ovale. Contrairement aux hommes de mon âge, je suis relativement grand. Je mesure 1m66. Mon niveau d'instruction est de 3. Je sais lire, compter et écrire. Avant de partir à la guerre, j'ai été charcutier et j'ai habité à Feucherolles.

   Lors de la mobilisation, j'ai été incorporé au 20eme bataillon de chasseurs à pied et j'ai été immatriculé sous le numéro 683, dans le canton de Marly-le-roi. Mon numéro de matricule dans le corps est 2150. Ensuite, j'ai fait partie du 23eme régiment d'infanterie coloniale en tant que soldat trompette de 2eme classe. J'ai participé à la campagne contre l'Allemagne à partir du 3 Août 1914 au début de la guerre de mouvement. Celle-ci s'est déroulée en Belgique.

   Malheureusement, je suis mort le 22 Août 1914 à l'âge de 26 ans à Neufchâteau. Pour moi la guerre n'aura pas duré très longtemps, nul ne connaît les causes exactes de mon décès. Personne n'a retrouvé mon corps. Aujourd'hui, mon nom figure parmi les disparus sur le monument aux morts de Feucherolles. Malgré ma disparition, on m’a attribué la mention Mort pour la France.

Document réalisé par : COMERT Léonie et BOITELLE Noha 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239fd33b08ad/5242bffa7f0ba
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d2974a7091b/53d2974be5113
Acte de naissance, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d62dfccaf8a/53d62dfd66fc4
Acte de Décès, Source : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/nSHYwjQAdDDpiMK
Lieu de sépulture, lien  : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=205923
Recensement de 1911, Lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c1e6ba  (Absent du recensement)

 

3 : BOYER Léon (Crespières)

 
   Léon Boyer naquit le 11 juillet 1882 dans la commune de Crespières en Yvelines (ex : Seine-et-Oise). Il était le fils de Joseph Béllesin et de Marie-Emilie Béllesin. Il travaillait en tant que journalier. Son degré d'instruction générale était de 3, il possédait donc une instruction primaire assez développée. Il avait des cheveux et des sourcils châtains, des yeux gris, un front haut, un nez ordinaire, une bouche moyenne, un menton haut et un visage ovale. Il faisait 1m62. 
 
   Il fut incorporé le 16 novembre 1903 au 151e régiment d'infanterie et immatriculé sous le numéro 6659. Lorsqu'il commença son service dans l'armée active, il fut soldat de 2ème classe. Il fut ensuite envoyé dans la disponibilité de l'armée active (ce qui signifia qu'il pouvait être rappelé et retourner dans son régiment) le 18 septembre 1906 au vu d'un certificat de bonne conduite "accordé". Il fut rappelé a l'activité par ordre de mobilisation générale du 1er Août 1914, arrivé lé 12 août et reparti en campagne le 18 août 1914.
 
   Il disparut malheureusement en septembre 1914 à Monceau, il est déclaré décédé en septembre 1914 par jugement déclaratif de décès rendu par le tribunal de Versailles le 24 mai 1921. Il a combattu contre l'Allemagne du 12 août 1914 jusqu'en septembre 1914. Il n'a pas été décoré mais son acte de décès porte la mention "Mort pour la France".
 
Document réalisé par : MAILLARD Nathan, GUILLOT Henri, LAFON Pierre et HEDEBEAUX Alex, classe de 3-4 2020
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Registre d’incorporation Militaire, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s005c77aa19c142c/5ce82c1a86356 (page 19)
Acte de naissance, lien : 
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Livre d'or, lien : 
Journal de marche du jour du décès : 
 
 

13 : LAIGNEAU Victor Auguste (Crespières)

 
   Victor (Auguste) Laigneau, soldat ayant participé à la Premier Guerre mondiale (1914 - 1918) naquit le 21 octobre en 1886 à 4 heures du soir dans les Yvelines (78) à Mesnil-le-Roi, son père s'appelait Paul François, sa mère Marie Lechevalier. Victor (Auguste) Laigneau avait les cheveux et sourcils châtins clairs, des yeux bleus, un front couvert, un nez moyen ainsi qu'un menton rond et un visage ovale. Il exercait le metier de journalier, il avait comme niveau d'instruction celui de degrès d'insctruciton générale 3. Il n'était pas marié donc il n'avait pas d'enfant. Il résidait à Crespières au moment de la mobilisation.
   
   Il a été incorporé à Versailles le 1er août 1914 dans le 23ème régiment d'infanterie coloniale (R.I.C.) c'est un soldat de 2nd classe dans l'unité Marsouin. Il a déja été soldat avant la guerre, du 2 août 1907 au 25 septembre 1909. C'était déjà un soldat de 2nd classe sous le matricule de 1274 au 146eme régiment d'infanterie (R.I.) et il a reçu un certificat de bonne conduite (hors guerre) ensuite, il a fait partie du 106ème régiment d'infenterie (R.I.) sous le matricule de 0787. Il a repris de l'activité suite a l'ordre de mobilisation générale au début de la guerre.
 
   Victor (Auguste) Laigneau décéda le 12 Novembre 1914 à 28 ans et 12 jours à la Somme (80) dans la commune de Chuignolles. Il possède la mention "Mort por la France" pour s'être battu et mourrir pour la France. Il fut tué par un ennemi durant un combat. Son nom apparait sur les monuments aux morts de Cespières (78) et celui de Reuil-Malmaison (92). La transcription de ce soldat eu lieu le 4 septembre 1919 dans les Hauts-de-Seine (92) dans la commune de Reuil. Nous n'avons aucune information sur son inhumation.
 
   Résumé du journal de marche le jour du décès : "un ordre n°=2848 du 12 novembre du groupe C , la deuxieme division réorganise les secteurs de défense : secteur de gauche neuvième cavalerie de la ferme de Beaux joins à la croupe 180 inclus. secteur de centre du promontoire de 180 au neuvième de l'Etang au deuxième colonel Jeannot du vingts-quatrième. secteur de droite colonel Raymond (huitième de cavalerie) des pierres des ponts des marrais jusquà la route de Cerney en Dormois."
 
Document réalisé par : Raphaël CHAUVELON, Dan FRANC et Louis PONIAS, classe de 3-2 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de Décès, Source : (Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Recensement de 1911, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053dbc3b9aef7f/53dbc3b9afb56 (je n'ai pas trouvé)
Livre d'or, lien : (je n'ai pas touvé) Peut etre est il sur le livre d'or de reuil ...
 
 

22 : MARIE Leon (Crespières)

 
   Marie Léon naquit le 8 avril 1887 en Yvelines (ex : Seine-et-Oise) à Crespières. Son père s'appelait Emilien Marie, sa mère, Adrienne Léontine Leroy Marie. Léon Marie avait les cheveux et les sourcils châtains, des yeux marron, un front couvert, un nez ordinaire, une petite bouche ainsi qu'un visage ovale et un menton rond. Il était de petite taille (1m67). Léon avait comme niveau d'instruction général 2( sait lire et écrire), il était marié et sans enfant, il résidait à Feucherolles (il a déménagé en décembre 1912 de Crespières) pendant la mobilisation. Il exerçait le métier de journalier agricole. 
 
   Léon avait déja était soldat dans l' armée il avait été incorporé le 08 octobre 1908 et fait caporal le 26 septembre 1909. Léon fut envoyé en disponibilité de l' armée le 25 septembre 1910 et devint réserviste  le 1er octobre 1910) mais mis à la disponibibilié de l' armée le 25 septembre 1910, il a été incorporé à Versailles dans le 274e régiment d'infanterie, dans la classe d'incorporation 1907 en tant que Caporal, le 1er août 1914 mais  rejoint le corps d'armée le 4 août 1914 avec comme numéro de matricule 2248. Avant cela il avait effectué un service dans la même infanterie du 11 novembre au 3 decembre 1912. Léon avait reçu un certificat de bonne conduite.
   
   Il a été tué par l'ennemi dans le combat de la ferme Le Godel près de Reims, à Courroy lès Hermonvilles, le 15 septembre 1914 à 27 ans et 5 mois pendant la guerre 14/18. Il est sur le monument aux Morts à Feucherolles et Crespières. Léon n'a pas de décoration mais a la mention Mort pour la France.
 
Document réalisé par : Manon MOTTET, Clara BACIOIU et Enio TRESOLDI, classe de 3-3 2020
 
 

   Léon MARIE  naquit le 8 Avril 1887 à Crespières. Il était fils d'Emilien et d'Adrienne Léontine MARIE née Leroy. Il exerçait le métier de  journalier agricole. Il possédait un niveau d'instruction générale de 2, c'est-à-dire qu'il savait à peu près lire et écrire. Il avait les sourcils châtains ainsi que les cheveux et les yeux marron, un front couvert, un nez ordinaire, une petite bouche, un visage ovale, un menton rond et il mesurait 1m67.

   Il avait été incorporé à Rouen dans le 74è régiment d'infanterie  dans la classe 1908. Il porta le grade de Caporal et son numéro de matricule était le 2448. Il effectua une seule campagne, contre l'Allemagne du 4 Août au 15 Septembre 1914.

   Il a été tué à l'ennemi  le 15 Septembre 1914, il avait alors 27 ans, lors du combat de la Ferme le Godal à Cauroy-lès-Hermonville près de Reims. Nous supposons qu'il est mort sur le coup car il n'a pas été soigné ou en tous les cas il n'y en a aucune trace. Nous ne connaissons pas le lieu d'inhumation. Il fut "tué à l'ennemi".

Document réalisé par : MISCHKE Eva et DUROCHER Ninon 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Recensement de 1911, lien :  Il faut le chercher sur Versailles
Journal de marche du jour du décès : 
 
 

26 : PETIT Lucien Désiré (Crespières)

 
   Lucien Petit Désiré naquit le 9 septembre 1892 à Bréval dans le département de Seine-et-Oise (78). Il était le fils de François Eugène Petit, charretier de profession et Louise Appolline Virginie sans profession. Il travaillait en tant qu'ouvrier agricole, il avait un frère: Marcel Petit. Son frère est né à Dammartin en Seine-et-Oise. Il habitait avec son frère à Crespières rue St Martin au 124 et ils vivaient avec leurs grands-parents. Son niveau d'instruction générale était de 3. Il possédait donc un bon niveau d'instruction. Il avait des cheveux châtain clair, des yeux bleus jaunâtres, un front couvert, un nez et une petite bouche, un menton saillant, un visage plein et il mesurait 1m 58. Lucien PETIT était célibataire.
   
   Il fut incorporé le 9 octobre 1913 au 94ème régiment d'infanterie sous le numéro de matricule 5271 à Versailles (Yvelines). Il fut soldat de 2ème classe, il fut ensuite envoyé en Pervyse (Belgique) le 31 juillet 1914.
 
   Extrait du journal de marche du 94e régiment d'infanterie du 22 octobre 1914 au 24 octobre 1914 "Le 22 octobre, le régiment se trouve à Bray-Dunes. Le 23, le 94' se met en marche sur Nieuport où il soutient la 84' brigade. Le 24, il est devant Pervise et attaque dans la direction de la boucle de l'Yser; il enlève le soir le village de Klosterhoeck, où il se défend toute la nuit. Au jour, il se replie devant une forte attaque allemande jusqu'à la voie ferrée Nieuport-Dixmude, où il tient devant la ruée ennemie."  Il mourut le 25 octobre 1914 à 22 ans à Pervijze (en Belgique) tué par l'ennemi sûrement lors de l'attaqu du 24. Son corps n'a pas été retrouvé. Il a donc été porté disparu le 25 octobre 1914. Son nom est gravé sur le monument aux morts de Crespières (78) à la 26ème place, sur le livre d'or du ministère des pensions de Crespières et sur une plaque commémorative 1914-1918 de l'église Saint-Martin à Crespières.
 
Document réalisé par : Clément BAUDRIER, Marius FORMISANO, Pravine BOYOT et Mathis FAOUZI, classe de 3-3 2020
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet") 
 
 

1 : AUMONT Émile Félix (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
   Emile Félix AUMONT naquit le 30 avril 1889 à Noisy-le-Roi dans le département de la Seine-et-Oise (78). Il était le fils d'Emile Anatole AUMONT, maçon de profession chez Chapelle, et de Marie Léocadie Prospérine FERRET, sans travail. Il travaillait en tant que maçon et avait 2 frères, Louis et Georges, et 2 soeurs, Aline et Fernande AUMONT. Son niveau d'instruction générale était de 3, il possédait donc une instruction primaire assez développée. Il avait les cheveux et les sourcils châtains, les yeux bleus, un front et un nez moyen, une bouche moyenne, un menton rond, un visage ovale et il mesurait 1m65. Emile Félix s'était marié le 14 juin 1913 avec Suzanne Clotilde FONTELLE, mais ils n'ont pas eu d'enfant.
   
   Il fut incorporé au 20ème Bataillon de Chasseurs à Pied (20ème BCP) et immatriculé le 3 octobre 1910 à Marly le Roi sous le numéro 1091, il était Chasseur de 2ème classe lorsqu'il arriva au Corps (puis chasseur de 1ère classe le 01.12.1911). Il fut envoyé dans la disponibilité de l'armée le 27 septembre 1912 puis dans la réserve de l'armée le 1er octobre 1912. Il fut ensuite incorporé dans le 21ème Régiment d'Infanterie Coloniale le 3 aout 1914 à Versailles où il était immatriculé 014626 au Corps et 2182 au Recrutement, il était soldat de 2ème classe. Il fit la campagne contre l'Allemagne du 3 au 22 août 1914.
   
   Extrait du journal de marche du 22 août 1914 (jour du décès) : 
"Le 22 août à 3h30, l'Etat major du Régiment et le 1er, 2ème et 3ème Bataillons quittent Margny pour gagner la ferme d'Orval [...]. La direction de marche est Neufchâteau par Suxy. L'ennemi n'est pas signalé en force en avant [...]. Entre Suxy et Neufchâteau, la colonne est survolée par un avion allemand . Dans la distance d'avant-garde surgit une patrouille de dragons allemands qui s'enfuit à bride abattue. Au débouché nord du bois de Basse-Heneau, premier temps d'arrêt. On perçoit une fusillade assez vive en avant. La marche est reprise, mais le Général s'arrête à nouveau. [...]. Il est midi, c'est le commencement de la bataille [...]. Le Général donne l'ordre de porter une compagnie du 21ème RIC à l'ouest de la route de Neufchâteau pour occuper une sapinière [...]. Peu après, 12h30, le Général donne l'ordre de porter une autre fraction du 21ème RIC à proximité de la route de Neufchâteau [...]. Le Colonel manifeste ses intentions : attaquer  le Bois d'Ospot dans le but de déborder l'ennemi qui l'occupe [...]. Vers 13h, le régiment est [...] disposé [...]. Les unités sont sur le point de se trouver face à leurs objectifs [...]. Les allemands retranchés, tirent sur les nôtres [...]. Le mouvement général de repli entamé à droite vers 14h30 est nettement perçu du 3ème Bataillon qui vient d'engager sa dernière compagnie en partie [...]. Par échelons, le 3ème Bataillon [...] se retire vers la lisière du bois de Basse-Heneau, précédé par son I.C et sa section de mitrailleuses. Il l'atteint vers 18 heures, et la garnit. Des éléments des 2ème et 1er Bataillons le traversent, se dirigeant vers Straitmont. La retraite engagée vers cette localité,19h, s'est poursuivie sur Chimy, tandis que de faibles fractions du 21ème RIC ont rallié la majeure partie du 20ème, déjà en retraite sur Suxy, et protègent cette retraite. Le 22 août, le 21ème Régiment d'Infanterie Coloniale (21ème RIC), compte : 
Officiers : 26 
Hommes de troupe 942 : tués, blessés ou disparus."
 
   Emile Félix AUMONT est malheureusement mort lors de cette bataille du 22 août 1914 à l'âge de 25 ans. Il est enterré dans le carré communal de Bailly dans les Yvelines (78). Son nom est gravé sur le monument aux Morts de Saint-Nom la Bretèche. Il n'a pas eu de décoration mais son acte de décès porte la mention Mort pour la France.
 
Document réalisé par : Lili PECHEUX, Clara MOSLEHI, Chine SCAMPS et Alix BRUAS, classe de 3-5 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Registre d’incorporation Militaire, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s005c77ac9e6539e/5f7c9adeb8ca2 
 
 

3 : BÉQUET Georges (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
   Georges Béquet est le 25 avril 1882 à Saint-Nom-la-Bretèche. Son père se nomme Léon Augute et sa mère Julienne Augé. Son pére  était bûcheron. Georges Béquet avait les cheveux et sourcils chatains, le front ordinaire, une bouche moyenne, un visage ovale, un menton rond, un nez gros, des yeux bleus et une taille de 1m61. Son instruction était de niveau 3. Cet homme n'avait ni frère ni soeur et il n'avait pas de femme. Il vivait seul !
   
   Il fut incorporé le 14 novembre 1903 au 151ème régiment d'Infanterie et immatriculé à Versailles sous le numéro 1780 au recrutement et le numéro 013993 au corps. Quand il arriva au corps, il fut soldat de 2ème classe mais il n'avait pas de grade. Il fut envoyé dans la disponibilité le 18 septembre 1902 et il fut rappelé à l'activité par l'ordre de mobilisation générale du 1er août 1914. Il arriva le 17 août 1914 au 119è régiement d'Infanterie pour combattre conte les Allemands. Il est disparu le 15 septembre 1914 à la ferme du Luxembourg et ses campagnes sont contre l'Allemagne du 17 août 1914 au 15 septembre 1914. Il n'a pas reçu de  de décorations particulières.
 
   Il est déclaré décédé à l'age de 32 ans le 15 septembre 1914 à Hermonville (Marne, 51). Il a eu la mention mort pour la france pour avoir été tué au combat et c'etait un soldat de troisième rang .Des ennemis l'ont tué à la ferme du Luxembourg. Il est donc présent sur le monument au mort de St-Nom la Bretèche (dans les Yvelines).
 
 
Document réalisé par : BENKIRANE Ilias, GONCALVES Tomás et LE BOULANGER Sacha, classe de 3-4 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Recensement de 1911, Lien : (Absent du recensement)
Journal de marche du jour du décès : 

 

6 : CAROLY Henri Lionel Joseph (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
   Il  s'appelait Henri Lionel Joseph Caroly, fils de Joseph Edouard Caroly et de Marie Madeleine Elisa Widdrington Courteille, fils unique, né le 5 octobre 1884 à Neuilly-sur-Seine . Son père étant rentier, sa mère ne travaillait pas, la situation familiale et financière d'Henri était bonne ainsi que son degré d'instruction. Il fit des études à l'école nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris et devint artiste peintre indépendant. Il vécut à Neuilly-sur-Seine et à Saint-Soupplets dans la propriété de son père. Après ses études Henri se maria le 9 mars 1910 avec Mathilde Caroline Fernande Barbé, ils n'eurent pas d'enfants et vécurent à Saint-Nom la Bretèche.
   
   En 1914 la guerre éclata et Henri se fit enrôler à l'âge de 29 ans pour se battre pour sa patrie. Il fut incorporé dans la classe "10 1904" à Coulommiers. Son numéro de matricule était le 746 et il faisait partie du 276e régiment d'infanterie avec le grade de 2e classe. 
 
   Le soldat Henri Lionel Joseph n'eut aucune blessure grave jusqu'à ce qu'il soit tué par l'ennemi le 5 septembre 1914 à Plessis l'Evêque en Seine-et-Marne. La transrciption de l'acte de décès sera faite le 15 Décembre 1914 à Paris 16e arrondissement et il obtiendra la mention "Mort pour la France". Son nom sera gravé sur les monuments aux morts de Saint-Soupplets, Saint-Nom la Bretèche et de l'école des Beaux-Arts à Paris.
 
Document réalisé par :  LEITAO Nina, GODFREY Juliet, LECLERC AMIGO Victoire et LUBINO Lyam, classe de 3-1 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Journal de marche du jour du decès : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/AMdKciYgRAGM3CD
 
 

11 : DUBOIS Félix Etienne Joseph (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
   Le soldat Dubois Félix Etienne Joseph, mort pour la France , né le 20 juillet 1892 à Saint-Nom-La-Bretèche en Yvelines en Ex Seine-et-Oise , fut engagé volontaire lors du recensement de 1911 . Il avait 19 ans , il était ouvrier agricole , comme sa soeur , employé par son père Dubois August Alphonse , qui était cultivateur sur son exploitation .Sa mère s'appelait Mazurier Marie Henriette , non trouveé dans le recensement  Il avait les yeux bleu foncé , un petit menton ,des cheveux chataîn foncé , les sourcils fuyants  et mesurait 1 mètre 77.
   
   Il fut mobilisé à Saint-Nom-La-Bretèche , Rue de Valmartin . Il fut incorporé en 1910 à la mairie de Versailles dans le  30ème régiment d'artillerie de campagne comme brigadier portant le numéro de matricule 422  (Numéro d'inscription sur un registre).
   
   Il mourut dans un centre hospitalier à Meune suite à des maladies contractées le 12 novembre 1914. Son acte de décès porte la mention "Mort pour la France".
 
Document réalisé par :  FRANC Tom, KHERARO Max et BEGARD Jérémy, classe de 3-1 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de naissance, lien : 
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Lieu de sépulture, lien  : 
Recensement de 1911, Lien :
Livre d'or, lien : 
Journal de marche du jour du décès : 
 
 

13 : GEOFFROY Laurent (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
   Notre soldat s'apelle Geoffroy Laurent Victor,il est né le 1 Mars 1891 à St Nom La Bretèche . Son père s'appelle Louis Emile Geoffroy , il est journaliste .Sa mère est Marie Boullalie elle est sans profession.
 
   Il faisait partie du 129ème régiment d'infanterie à Versailles soit à l'age de 20ans.
 
   Il est mort au combat, disparu le 17 septembre 1914 à l'age de 23ans. Son nom figure sur le monument aux morts de St Nom La Bretèche
 
Document réalisé par :   Tom BEJAR MORAND et Hugo TERZIAN, classe de 3-5 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Registre d’incorporation Militaire, lien :
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Lieu de sépulture, lien  : 
Recensement de 1911:(Absent du recensement)
Livre d'or, lien : 
Journal de marche du jour du décès : 
 
 

19 : LAMY Auguste Édouard (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
   Auguste Édouard LAMY naquit à Versailles le 30 juillet 1882, ses parents Henri Célestin et de Julie Carrière l'élevèrent dans le village de Saint-Nom la Bretèche durant toute son enfance. Mesurant 1m 65 cm, celui-ci n'est pas très grand, ses cheveux et ses sourcils était châtains, son visage ovale, son menton rond, son nez long et sa bouche étant petite qui faisait de lui une personne point effrayante sur le champ de bataille bien qu'il n'y soit pas resté longtemps.
 
   Recruté au commencement de la guerre, Auguste Edouard recrute le 24e régiment d'Infanterie en 2ème classe. Il fût incorporé au Mesnay à Paris.  Malheureusement il n'y reste que très peu de temps.
 
   Il ne revit jamais sa famille puisqu'il disparait  le 2 novembre 1914.
 
Document réalisé par :AUDRAIN Camille,  DURAND Chloé, AFONSO-COELHO Lara, BORIE-RESTOUEIX Roxane, classe de 3-5 2020
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Acte de naissance, lien :
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Recensement de 1911, Lien : (Absent du recensement) :

23 : LEGRAND Émile Louis (Saint-Nom-la-Bretèche)

 
  Emile Louis Edme naquit en l'an 1877, le 26 août 1877 à midi, à Saint-Nom la Bretèche dans le département des Yvelines (anciennement: Seine-et-Oise). Il était le fils de Edme Louis Emile qui était le patron d'une société nommée M.de Bois et fils de Dupont Maximilienne n'exerçant aucun métier. Il a toujours vécu à Saint-Nom la Bretèche près de la route départementale  70  au n°11 avec ses parents. Emile Louis avait repris la société de son père et avait un bon niveau d'instruction (niveau 3), il possédait donc une instruction primaire plus développée. Emile était blond aux yeux bleus, son front était à découvert, un menton rond et un visage ovale.  Il n'était pas très grand, il  ne faisait qu'1m66. Lors du recensement de 1911, il ne possédait ni frères ni sœurs et son père n'était plus
 
    Comme Emile est né en 1877, sa classe d'incorporation est 1897, il fut incorporé à Versailles le 16  Novembre 1899  dans le 17ème régiment d'infanterie territoriale (17e RIT). Il avait pour matricule  le numéro 1757 et pendant la guerre il était soldat de 2ème classe.Il a reçu le certificat de " bonne conduite ". Avant la guerre, Emile a accompli une période d'exerercice dans le 24 Régiment d'infanterie du 3 au 30 Octobre 1904 et sa deuxième période d'exercice le 24 octobre au 17 Novembre 1907 toujours dans le 24 Régiment d'infanterie. Il est passé dans l'armée territoriale le 1er octobre 1911.
 
   Durant la période dans laquelle il était à la guerre, Emile ne reçut aucune blessure de la part de l'ennemi. Il combattit valeureusement à la bataille de Puisieux ( Pas-de-Calais ), une bataille qui dura du 4 août au 8 octobre, cependant il finit par mourir, à l'âge de 37 ans, d'un éclat d'obus tiré par l'ennemi lors du bombardement le jeudi 1er octobre1914. Malheureusement , il ne possède pas de tombe, les soldats n'ont sûrement pas dû trouver son corps ou n'ont pas eu le temps de le recuperer. Il ne possède aucune médaille militaire sauf la mention "Mort pour la France" et il est sur le monument aux mort de Saint-Nom la Bretèche.
 
   Extrait du journal de marche du 17° régiment d'infanterie territoriale le 1 octobre 1914 :
       "Le régiment est rassemblé à 5 heures à l'ouest de Puisieux, au sud de la côte 106. À 7 heures, il recoit l'ordre d'envoyer compagnie à l'extremité de l'éperou qui se trouve au sud de la côte 82 (chemin de Puisieux à Irles) pour mettre cet éperon en état de défense et assurer la liaison entre le 18eme regiment territorial, qui occupe la ferme Beauregard et la 8ème Division qui tient Achiet-Le-Petit. Les 9ème et 11ème compagnies partent sur le commandement du Chef de bataillon.
       À 8h30, le colonel commandant la 163ème brigade fait porter tout le reste du régiment vers la cote 102 ( Est de Puisieux ) pour appuyer la gauche du 18ème.
       Le 2ème bataillon est porté au échelon en arrière et à droite 9ème et 11ème compagnies. Le 1er bataillon sur la rampe à l'Est de Puisieux ( sud de la cote 102 ), les 10ème et 12 ème compagnie en réserve à la sortie de Puisieux.
       Les travaux de mise en état de défense commencent aussitôt.
       Vers 11 heures, l'artillerie ennemie ouvre le feu dans la direction de la cote 102, causant quelques pertes dans le 1er bataillon.
       Néanmoins les troupes abritées dans les tranchées et dans les fossés très profondes de la route, tiennent bon. Le feu de l'artillerie ennemie reprend. Dans le courant de la journée à de longs intervalles, sans causer de nouvelles pertes.
       À 18 heures, le régiment reçoit l'ordre de relever le 18e ( qui a évacué la ferme de Beauregard ) à la lisière Sud-Est de Puisieux.
       Les 10e et 12e compagnies sont aussitôt envoyées avec la section de mitrailleuses. Tous les autres éléments du régiment passent la nuit dans leurs tranchées."
 
Document réalisé par : PIROUÉ Alexandre ,FALL Kymani et MEMAIN Jules , classe de 3-3
 
 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")

 

3 : CLAREC Edouard Gustave (Feucherollles)

 

   Je naquis le 5 août 1889 à Feucherolles, mes parents François CLAREC et Constance FADEL m’appelèrent Edouard Gustave CLAREC. J’avais les cheveux et les sourcils châtains, des yeux noirs, un front dit ordinaire, un nez et une bouche de taille moyenne, un menton rond et un visage ovale. Je n’étais point très grand, je mesurais à peine 1m59. J’étais enfant unique et n’avais pas de femme.

   Le 1er août tout a changé, la guerre éclata et je fus mobilisé. Le 3 août j’arrivai au 2ème Régiment d’Infanterie Coloniale. J’étais journalier et je savais lire, écrire et même compter mais cela ne m’aida point : je fus soldat de 2ème classe. Mon matricule était 2231

   Le 22 août 1914, à 25 ans je mourus. L’officier Aris constata que j’étais mort à Neufchâteau en Belgique comme beaucoup de mes camarades d’Infanterie. Mon corps ne fus jamais retrouvé et mon acte de décès fus transcris le 19 juin 1920 dans ma ville.

Document réalisé par : MARTIAL Jeanne et VERNAT Mariane 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien :http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239df8917a69
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053cfe4e882867/53cfe4eab61a1
Acte de naissance, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d62dfccaf8a/53d62dfd9ef15
Acte de Décès, Source : https://monnuage.ac-versailles.fr/s/RFYgrZGFKgPPRd3   https://monnuage.ac-versailles.fr/s/tr98CG32XWtwsk4
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=205912
Recensement de 1911, lien : (Absent du recensement)

 

10 : HIAUX Lucien Joseph (Feucherollles)

 
   Lucien Joseph Hiaux est né le 27 juin 1893 à Feucherolles en Seine-et-Oise (78). Il avait les cheveux et les yeux bruns. Son visage large comportait un grand nez, un front assez haut, une bouche moyenne et des lèvres épaisses. Son teint était coloré et il mesurait 1m69. Il avait aussi une tâche naturelle sur le bras droit. Son père (né en 1842) s'appelait Pierre Victor Hiaux. Il était journalier, ce qui veut dire qu'il faisait beaucoup de petits travaux (pour l'entreprise Fontelle). Quant à sa mère, elle se prénommait Clémentine Hiaux et est née à Feucherolles en 1852. Elle était journalière dans la même entreprise que son mari. Lucien Joseph était d'instruction 0, ce qui veut dire qu'il n'en avait aucune, il ne sait ni lire ni écrire. Il était lui aussi journalier comme ses parents mais n'avait pas d'entreprise attitrée (divers). Lors du recensement de 1911, ils habitaient à Feucherolles dans "Grande Rue Saint Gemme" au numéro 135. Sa famille était composée de 5 autres garçons et d'une fille (aucun n'était présent lors du recensement)  : Clément Léon Joseph Hiaux, Ernest Jules Constant Hiaux, Louis Arsène Hiaux, Adrien Désiré Victor Hiaux (mort à sa naisance), Albert Félix Hiaux et Victorine Pauline Félicie Hiaux. Il n'a pas eu de femme durant son vivant. 
 
   Lucien Joseph fût incorporé dans la classe d'incorporation de 1913 au 21e régiment d'infanterie et a évolué jusqu'au 28e régiment d'infanterie. Il fut incorporé à Versailles, il était immatriculé au numéro 906 au Recrutement et numéro 5862 au Corps. Son grade était "seconde classe". Il partit en campagne peu de temps après les nombreuses déclarations de guerres successives: le 2 août 1914. Il n'y a inscrit aucune blessure ni aucune décoration ni même la fin de sa campagne contre les Allemands sur la fiche d'incorporation militaire, puisqu'il fût porté disparu à partir du 28 août 1914 (tué à l'ennemi ) à Guise dans le département d'Aisne ( le 28 août a été un des jours le plus meurtrier de la première guerre mondiale, 27 000 morts en une journée seulement ).
 
   Lucien est mort le 28 août 1914 donc à 21 ans à Guise dans l´Aisne. Il a été transcrit le 2 août 1920, 5 ans après sa mort, à Feucherolles dans le département de Seine et Oise. Ce soldat a été tué à l'ennemi et il porte la mention "Mort pour la France". Jour-passé le 3 juin 1914 au 28e régiment d'infanterie, Lucien a était porté disparu le 28 aout 1914 donc le jour de décès à Guise (Oise) par le ministère de le guerre du 7 janvier 1915. Il a été déclaré mort pour la France par jugement déclaratif du décès rendu le 16 juin 1920 par le tribunal de Versailles. Le décès a été fixé aux dates et lieu de sa disparition. Lucien Joseph Hiaux est inscrit sur le monument aux mort de Feucherolles car c'est ici qu'il y est né et que ses parents y habitaient, dans le département de Seine et Oise et dans la commune de Feucherolles. Il n'y a aucune information sur l'inhumation et les journaux de marche du 6 août 1914 au 10 février 1915 , nous savons juste qu'il a été enterré à Feucherolles dans les Yvelines .
 
Document réalisé par :  Lana ELOFER, Emmy LAURENT et Louna GALICIER, classe de 3-2 2020

 

   Je m'appelais Lucien-Joseph HIAUX. Je suis né le 27 juin 1893 à Feucherolles. Mes parents s'appelaient Pierre-Victor HIAUX et Marie-Clémentine DANEME épouse HIAUX. Je n'avais ni frères, ni sœurs. J'étais brun. J’avais les yeux marron, le front haut, le nez grand, le visage large, la bouche moyenne, les  lèvres épaisses, le teint coloré, une tâche de naissance sur le bras et je mesurais seulement un mètre soixante-neuf. Je travaillais dans le même domaine que mes parents, eux étaient journaliers, moi j'étais ouvrier agricole.

   Je fus incorporé le 28 novembre 1913 comme soldat de 2eme classe au 21ème régiment d’infanterie  sous le matricule 906 au bureau de Versailles. Le 3 juin 1914, je passe au 28eme régiment d’infanterie. A l'âge de vingt et un ans, je partis à la guerre contre les Allemands.

   Je disparus à Guise le 28 août 1914 à 21 ans. Je suis déclaré mort par le tribunal de Versailles le 2 août 1920. En mourant je n'abandonnai ni femme, ni enfants seulement mes parents qui étaient ma seule famille. Je suis mort pour la France, mon nom est sur le monument aux morts de Feucherolles.

Document réalisé par : GUILLOT Eléonore et GUEDELYS Enora 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Registre d’incorporation Militaire, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s005c77ae807f5ff/5c82da5b813ec  
Journal de marche du jour du decès : (pas trouvé dans le journal de marche)
 
 

22 : PAULET Adrien Marie (Feucherollles)

 

   Adrien Marie est né le 8 mars 1890 à Saint-Uniac. Son père est Mathurin, un laboureur et sa mère est Anne Marie Martin. Il est célibataire.

   Il est recruté au bureau de Rennes sous le matricule 352 et est incorporé dans le 1er régiment d’infanterie coloniale.

   Il est tué à l’ennemi le 29 aout 1914 à Dommery (Ardennes).

Document réalisé par : Mme L'HOSTIS 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239faf5c53bf/5242bfae4a22f
Registre d’incorporation Militaire, lien : https://archives-en-ligne.ille-et-vilaine.fr/thot_internet/ark:/49933/thtr2280jxvt/690858/1 (page 627)
Acte de naissance, Lien : https://archives-en-ligne.ille-et-vilaine.fr/thot_internet/ark:/49933/tht2jm6409r3/131535/2 (page 2 à droite)
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Lieu de sépulture, lien  : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=5263483
Recensement de 1911, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c1e6ba  (Absent du recensement)

 

17 : MARIE Léon (Feucherollles)

 
   Marie Léon naquit le 8 avril 1887 en Yvelines (ex : Seine-et-Oise) à Crespières. Son père s'appelait Emilien Marie, sa mère, Adrienne Léontine Leroy Marie. Léon Marie avait les cheveux et les sourcils châtains, des yeux marron, un front couvert, un nez ordinaire, une petite bouche ainsi qu'un visage ovale et un menton rond. Il était de petite taille (1m67). Léon avait comme niveau d'instruction général 2( sait lire et écrire), il était marié et sans enfant, il résidait à Feucherolles (il a déménagé en décembre 1912 de Crespières) pendant la mobilisation. Il exerçait le métier de journalier agricole. 
 
   Léon avait déja été soldat dans l' armée il avait été incorporé le 08 octobre 1908 et fait caporal le 26 septembre 1909. Léon fut envoyé en disponibilité de l' armée le 25 septembre 1910 et devint réserviste  le 1er octobre 1910) mais mis à la disponibilité de l' armée le 25 septembre 1910, il a été incorporé à Versailles dans le 274e régiment d'infanterie, dans la classe d'incorporation 1907 en tant que Caporal, le 1er août 1914 mais  rejoins le corps armée le 4 août 1914 avec comme numéro de matricule 2248. Avant cela il avait effectuer un service dans la même i infanterie en du 11 novembre au 3 décembre 1912. Léon avait reçu un certificat de bonne conduite.
   
   Il a été tué par l'ennemi dans le combat de la ferme Le Godel près de Reims, à Courroy lès Hermonvilles, le 15 septembre 1914 à 27 ans et 5 mois pendant la guerre 14/18. Il est sur le monument aux Morts à Feucherolles et Crespières. Léon n'a pas de décoration mais a la mention Mort pour la France.
 
Document réalisé par : Manon MOTTET, Clara BACIOIU et Enio TRESOLDI, classe de 3-3 2020
 
 

   Léon MARIE  naquit le 8 Avril 1887 à Crespières. Il était fils d'Emilien et d'Adrienne Léontine MARIE née Leroy. Il exerçait le métier de  journalier agricole. Il possédait un niveau d'instruction générale de 2, c'est-à-dire qu'il savait à peu près lire et écrire. Il avait les sourcils châtains ainsi que les cheveux et les yeux marron, un front couvert, un nez ordinaire, une petite bouche, un visage ovale, un menton rond et il mesurait 1m67.

   Il avait été incorporé à Rouen dans le 74è régiment d'infanterie  dans la classe 1908. Il porta le grade de Caporal et son numéro de matricule était le 2448. Il effectua une seule campagne, contre l'Allemagne du 4 Août au 15 Septembre 1914.

   Il a été tué à l'ennemi  le 15 Septembre 1914, il avait alors 27 ans, lors du combat de la Ferme le Godal à Cauroy-lès-Hermonville près de Reims. Nous supposons qu'il est mort sur le coup car il n'a pas été soigné ou en tous les cas il n'y en a aucune trace. Nous ne connaissons pas le lieu d'inhumation. Il fut "tué à l'ennemi".

Document réalisé par : MISCHKE Eva et DUROCHER Ninon 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Recensement de 1911, lien :  Il faut le chercher sur Versailles
Journal de marche du jour du décès : 
 
 

21 : NOGRET Albert Léon Louis (Feucherollles)

 

   Je m’appelle Albert Léon louis. Je suis né le 17 septembre 1886 à Feucherolles, en Seine-et-Oise. Je suis le fils de Albert Victorien Nogret et de Jeanne Cacho, qui se faisait appeler Augustine. J’habitais à Feucherolles rue de l’étang, canton de Marly le roi. J’avais les cheveux et les sourcils châtains, les yeux gris, un haut front, un nez moyen, une bouche moyenne, un menton rond, un visage ovale et je mesurais un mètre soixante-cinq. J’ai été marié à marie Catherine. J’ai eu une sœur nommée Germaine Nogret née en 1898. Nous avions douze ans d’écart. Mon niveau d’instruction était évalué à 3 et j’exerçais la profession de maçon. 

   J’habitais, au moment de la mobilisation, à Feucherolles. Je fus incorporé dans le 3ème régiment de Zouaves puis le 4ème Zouaves. Mon numéro de matricules était le 2001 au corps classe 1906 et le numéro 2049 au recrutement à Versailles. Mon grade était soldat de 2ème classe.

   Je fus gravement blessé, le jour de mon 28éme anniversaire. Je fus touché à la tête et à la poitrine pendant une charge près de Craonme. Ce même jour, je disparus le 17 septembre 1914, ce fut aussi le jour de mon décès, mais mes proches ne le surent que plus tard. Mon décès fut transcrit le 9 juillet 1920 à Feucherolles dans les Yvelines. On me mentionna Mort pour la France le 17 septembre 1914 à la Creute dans l’Aisne. Mon nom fut inscrit sur le monument aux Morts de Feucherolles, par Jean-Pierre Huguet. 

Document réalisé par : PERRAULT Méloée et TRAN DUC Emilie 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239f9bc5db19/5242bf8db7ff6 ok
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ce9f4d5fe86/53ce9f4db62e4
Acte de naissance, lien : http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d62dfccaf8a/53d62dfd31bd1
Acte de Décès, Source :https://monnuage.ac-versailles.fr/s/cPHWaf52WpmgASE  https://monnuage.ac-versailles.fr/s/TCTa4MqbNAL4D6o  https://monnuage.ac-versailles.fr/s/axnrQoFWFMAi6cq
Lieu de sépulture, lien  : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=205922
Recensement de 1911, lien  : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c22ec6 P7

 

4 : COLLON Adolphe Edouard (Feucherollles)

 
   Adolphe COLLON naquit le 16 mars 1892 à Feucherolles dans le département des Yvelines anciennement appelé Seine-et-Oise. Il est le fils de Paul Edouard COLLON et de Marie Rose MEURO. Son père travaillait comme laitier et sa mère n'avait pas de profession. Il était charcutier en 1912. Son niveau d'instruction générale était de 3.
   
   Il est incorporé le 9 octobre 1913 à Versailles pour effectuer son service militaire. Il passe le 24 janvier 1914 dans le 16eme Bataillon des chasseurs à pied. Il était soldat de 2ème classe. Son numéro de matricule était le 3678 au corps et 406 au recrutement. Il a fait campagne le 2 août 1914 jusqu'au 1er octobre 1914 contre l'Allemagne.
   
   Il mourut malheureusement à 22 ans, le 1 octobre 1914 à Epernay (Marne) en succombant à ses blessures. Son nom est gravé sur le monument aux morts de la commune de Feucherolles. Il n'a pas été décoré mais son acte de décès porte la mention "MORT POUR LA FRANCE".
 
Document réalisé par : GUERIN Arielle, GUILHEM Marylis, VERCAMBRE Margaux et MACHADO Léana, classe de 3-1 2020

  

COLLON Adolphe  naquit le 16 mars 1892 à Feucherolles. Ses parents étaient Edmond Paul qui exerçait la profession de laitier et Marie Rose Meuro. Il habitait chez son employeur Lemaigre à Feucherolles (78) et était charcutier. Son niveau d'instruction était  de 3, c'est-à-dire qu'il savait lire et écrire. Nous ne connaissons pas ses caractéristiques physiques, car elles n'ont pas été transcrites sur la fiche d'enrôlement.

   Son incorporation a eu lieu le 9 octobre 1913 à Versailles. Il fut chasseur de la 2ème classe infanterie du 25ème bataillon sous le numéro de matricule 3081 puis au 16ème bataillon sous le numéro de matricule 3678.

   Il meurt lors d'une bataille contre l'Allemagne le 15 octobre 1914 des suites d'une blessure de guerre  à Epernay dans la Marne (51) (avec la mention Mort pour la France).

Document réalisé par : DIET Martin et FLEURY Lucas 2017

 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Registre d’incorporation Militaire, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s005c77adf3a285f/5f7db1f9db107 
 
 

8 : FOUQUE Ernest André (Feucherollles)

 
   Ernest André Fouque est né le 17 juillet 1892 à Feucherolles dans le département de la Seine-et-Oise .Il était le fils de  François Fouque, cultivateur,  et Sylvie Fouque, elle aussi cultivatrice, elle aidait son mari dans les champs avant qu'il ne décède . Le métier de cultivateur était à cette époque,un métier de père en fils .Toute sa famille vivait à Feucherolles  Il avait les cheveux  blonds, les yeux gris bleu , un front vertical, son nez et son dos étaient parfaitement rectilignes. Il avait aussi le visage rond , une petite bouche,des lèvres minces , un menton saillant et mesurait 1m70. Son niveau d'instruction était de 2 ce qui signifiait qu'il savait lire et écrire . Ernest ne s'est pas marié et n'a pas eu d'enfant.
   
   Il était inscrit sous le numéro 74 de la liste du canton de Marly le Roi et Il arriva le 8 octobre 1913 à Versailles, sous le numéro 7718. Le 9 octobre 1914  il fut incorporé sous le numéro de matricule 433 au 37ème régiment d'infanterie et était soldat de deuxième classe.  
   
   Il mena la campagne contre l'Allemagne du 2 Août 1914 au 8 Octobre 1914, date à laquelle il décèda suite de ses blessures à l'Hotel de Dieu à Paris . Il n'a pas eu de décoration mais a eu la mention "Mort pour la France". Son nom figure sur le monument aux morts de sa ville natale, Feucherolles.
 
Document réalisé par :  Baptiste BARTHELEMY, Arthur CALMELET, Jacques VERNAT et Cédric ZHENG, classe de 3-1 2020

 

   Ernest André FOUQUE naquit le 17 juillet 1892 à Feucherolles. Son père s'appelait Francois FOUQUE et sa mère Sylvie Flore Adélaïse née ROCHARD, ils étaient tous les deux cultivateurs. Il n'avait pas de femme et n'avait pas non plus de frères et sœurs. Il était blond, avait des yeux bleu-gris, le dos rectiligne, les lèvres minces, une petite bouche, un menton saillant et il mesurait 1 mètre 70. Avant la mobilisation, il était cultivateur comme son père et demeurait à Feucherolles avec sa mère. Il avait le niveau 2 d'instruction générale, c'est-à-dire qu'il savait à peu près lire et écrire.

   Il fut incorporé à Versailles en 1912. Son numéro de matricule était 433 au recrutement 7718 au corps. Il était soldat 2nde classe dans le 37e régiment d'infanterie. Il combattit contre l'Allemagne du 2 août au 8 octobre 1914. Il fut blessé et transporté à l'hôtel Dieu de Paris.

   Il mourut le 8 octobre 1914 à 22 heures à l'Hôtel Dieu de Paris  (75) des suites de ses blessures. Il est présent sur le monument aux morts de Feucherolles mais son lieu d'inhumation est inconnu. Il n'a pas été décoré mais son acte de décès porte la mention "Mort pour la France".

Document réalisé par : CORREGE Achille  et STEPHANT-GUYON Joris 2017

 
Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Journal de marche du jour du décès : 
 
 

7 : DOMALAIN Louis Marie (Feucherollles)

 

   Louis-Marie DOMALAIN naquit le 4 avril 1878 à Cohiniac dans les Côtes du Nord (22).Son père était laboureur et sa mère ménagère. Il exerçait le métier de journalier  chez Euvé. Il était père de famille, avait une femme, Amandine, et trois filles. D'après le registre d'incorporation son niveau d'études était de 0 (il ne savait ni lire ni écrire) en revanche c'était un militaire exercé. Toujours d'après le registre d'incorporation pour sa description physique, Louis Marie Domalain possédait: un menton rond, une bouche moyenne, des yeux définis comme "roux" et ne possédait pas de cheveux, un front ordinaire, une bouche moyenne, des sourcils bruns un nez moyen et mesurait 1m66. Avant d'être engagé dans l'armée, il résidait à St Donan dans les Côtes du Nord (22).

   Sa classe d'incorporation était 1898.Son numéro de matricule était le 232 au bureau de Saint Brieuc et il était soldat de 2eme classe. Il est passé dans la réserve de l'armée active en 1902 et il a accompli une première période d'exercices à Saint Brieuc dans le 71eme régiment d'infanterie du 23 août au 19 septembre 1908 .Il accomplit une deuxième période d'exercices dans le 71ème régiment d'infanterie du 28 avril au 14 mai 1909.Il passe dans l'armée territoriale le 1er Octobre 1912. Il fut mobilisé à la guerre le 4 août 1914 et affecté au 74ème régiment d’infanterie territoriale.

   Louis Marie DOMALAIN est mort le 17 novembre 1914 tué à l’ennemi suite à ses blessures de guerre à Langemarck en Belgique. (Il avait 36 ans). Il a reçu la mention « Mort Pour La France ». Sa mort fut officialisée le 14 mai 1915. Son nom est aujourd'hui présent sur le monument aux morts de Feucherolles (78) mais son lieu d'inhumation est inconnu. Nous avons pu rencontrer son petit fils lors de la commémoration du 11 novembre.

Document réalisé par : VANDEKERKHOVE Stanislas  et GERARD Paul 2017

 

Sources : (Il est recommandé de faire un clique droit sur le lien puis "Ouvrir le lien dans un nouvel onglet")
Mort pour la France, lien :http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239e4b85d036/5242bd61655d7
Registre d’incorporation Militaire, lien : http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/RM/rmx/consult.aspx?image=140296141416149
Acte de naissance, lien : http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/EC/ecx/consult.aspx?image=090025481452564
Acte de Décès, Source : Mairie du lieu de décès à la date de transcription de l’acte (non consultable en ligne)
Lieu de sépulture, lien : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?table=bp&id=391418
Recensement de 1911, lien : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ebaa7c1d807/53ebaa7c23a7b P8