02 janvier 2014

Salamalecs (n.m)

Déf: saluts, politesse exágéres, faire des salamalecs

Ety: de l'arabe " paix sur toi"

P.E.C: Les courbettes pardevan, les salamalecs, le miel, le cirage. Le Reflet, Didier Daeninckx

P.D.R: Il fait beaucoup des salamalecs quand il va danser.

(fam: surtout pluriel)

Salamalecs (n.m)

Déf: saluts, politesse exágéres, faire des salamalecs

Ety: de l'arabe " paix sur toi"

P.E.C: Les courbettes pardevan, les salamalecs, le miel, le cirage. Le Reflet, Didier Daeninckx

P.D.R: Il fait beaucoup des salamalecs quand il va danser.

(fam: surtout pluriel)

31 décembre 2013

Une belle et heureuse année à tous!

De nombreux projets pour 2014: tout d’abord l'atelier d'écriture numérique qui commence vendredi 10 janvier.

Ce projet intègre une résidence d’écrivains sur le thème : cultures du monde et création numérique, s’inscrivant dans le cadre du Parcours artistique et culturel de l’élève.

Et toujours les manifestations qui ponctuent l’année scolaire : la Journée de la langue maternelle, le Printemps des Poètes.

Bien sûr le Delf scolaire, rendez-vous incontournable de tous les élèves allophones, collégiens et lycéens.

Et le théâtre enfin : cette année, le travail s’oriente vers une adaptation très libre de la pièce de Tchekhov intitulée Ivanov.

Tout cela avec le soutien du Fonds Social européen.



29 décembre 2013

Un site pour tout savoir sur le XVIIème siècle!

Cliquez ici!

27 décembre 2013

A quoi pense donc le Minotaure?

Travail d'écriture: Observez attentivement l'image ci-contre et imaginez les pensées du Minotaure dans un récit à la 1ère personne.

Le Minotaure, Georges Frederick Watts(1877-1886)

Lire les productions des élèves:

Joao: à quoi je pense?


Dilzia: Les pensées du Minotaure

24 décembre 2013

Critique de la pièce "PENDULE"

     Dans cette représentation, les artistes nous emmènent à observer le comportement des objets enchevêtrés dans leur milieu social et sonore.

     Pendant le spectacle, les artistes ont mis en fonction chaque objet et les ont accompagné dans leurs mouvement. On a remarqué, également que parmi les nombreux objets sur scène, chacun jouait à son tour un rôle essentiel dans la représentation. Parfois mis en trajectoire avec brutalité et d'autres fois en produisant des sons agréables mais confus, on sentait qu'ils nous invitaient à en faire partie; On étaient donc en syntonie avec eux, dés le début jusqu'à la fin.

     Cependant, ce que nous a marqué vraiment, c'était l'idée de l'organisation de l'espace: un demi-cercle sur scène où se trouvait ces objets en équilibre et en même les chaises autour de celui-ci où s'installait le public. Ce modèle de demi-cercle nous a fait penser au globe terrestre que nous permet de constater que c'était le monde que pour des objets; des objets qu'on ignore leurs existence depuis qu'ils sont inutilisables ou même considérés comme des déchets. C'était comme si ces objets nous interpelaient et nous faisaient des remarques qu'il ne faut point déprécier des choses qui nous avaient été fondamentales, aussi qui peuvent être à nouveau utiles.

      La pièce était motivante, néanmoins elle n'avait rien d'extraordinaire.

Dilzia

À quoi je pense?

"Aujourd'hui, c'est la première fois que je suis sorti de ma obscurne caserne, le Labyrinthe. J'ai été caché tout ces ans à cause de l'union de ma mère, reine de la Crète et de mon père un beau taureau blanc. Cette union était une honte pour le roi et ainsi ils ont construit le labyrinthe pour moi. Mais à present je suis à l'exterieur et je suis stupéfait de toute cette diversité du monde. Cette nature, ces animaux, même ces petites maisons c'est nouveau pour moi, c'est une nouvelle perspective du monde pour moi et très différent du monde intérieur. Dans le Labyrinthe je voyais juste des murs noirs, l'obscurité, mais içi, je vois la beauté du monde, le plus petit détail est spécial pour moi.

Après avoir vu tous ces endroits je m'interroge sur le mal que j'ai fait aux humains, je me blâme pour mes fautes. Je regrette toutes mes actions, mais je n'ai plus rien à faire.

Maintenant j'ai une énorme volonté de vivre, et c'est ça que je vais faire, vivre ma vie, explorer au maximum le monde entier et récupérer toutes les années perdues dans ma obscure caserne."

Joao

22 décembre 2013

François Coppée

François Édouard Joachim Coppée (1842-1908) est un poète, dramaturge et romancier français. Coppée fut le poète populaire et sentimental de Paris et de ses faubourgs, des tableaux de rue intimistes du monde des humbles. Poète du souvenir d'une première rencontre amoureuse (« Septembre, au ciel léger »), de la nostalgie d'une autre existence (« Je suis un pâle enfant du vieux Paris ») ou de la beauté du crépuscule (« Le crépuscule est triste et doux »), il rencontra un grand succès populaire.

Après avoir occupé un emploi à la bibliothèque du Sénat, Coppée fut choisi en 1878 comme archiviste de la Comédie Française, poste qu'il garda jusqu'en 1884. Cette année-là, son élection à l'Académie française l’amena à se retirer de toutes les charges publiques.

21 décembre 2013

THEATRE: Cendrillon, de Joël Pommerat

Jeudi 9 janvier 2014, à 19h00 au Théâtre de l'Agora - Scène nationale d'Evry et de l'Essonne

Durée: 1h30

Reprenant à son compte les motifs de Cendrillon, ses merveilles déployées sur fond de deuil difficile, de communication brouillée et de violences relationnelles, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat réécrit librement cette histoire. Sur la trame d’un conte déjà tant de fois transformé par la tradition orale, fixé d’abord par Charles Perrault puis par les frères Grimm, il tisse sa propre vision de la jeune orpheline… Comme il l’avait fait avec Pinocchio ou Le Petit Chaperon Rouge, ses deux précédents spectacles « pour enfants », il mêle les éléments reconnaissables à d’audacieuses transfigurations…

 Lire les critiques rédigées par les élèves:

Dilzia

Cemile

Gowsigan

Dumitrita

Rahela

DECEMBRE, poème de François Coppée

Le hibou parmi les décombres
Hurle, et Décembre va finir ;
Et le douloureux souvenir
Sur ton cœur jette encor ses ombres.

Le vol de ces jours que tu nombres,
L’aurais-tu voulu retenir ?
Combien seront, dans l’avenir,
Brillants et purs ; et combien, sombres ?

Laisse donc les ans s’épuiser.
Que de larmes pour un baiser,
Que d’épines pour une rose !

Le temps qui s’écoule fait bien ;
Et mourir ne doit être rien,
Puisque vivre est si peu de chose.

François Coppée, Les mois (1866)

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