18 décembre 2014

CRITIQUE DU FILM BONNIE ET CLYDE

J'ai aimé bien ce film. Les personnages étaient attentivement organisé leur rôles. Ils jouaient bien leur rôles. Mais du coup le scénario était un peu différent car ils ont décidé de changer tout, sans savoir c'est qu'ils vont s'arriver. Peut-être ils savaient pas qu'ils vont périr mais cela ce voyait. Au début quand Clyde tuait des gens il était triste mais vers la fin il tuait les gens et il oubliait tout de suite c'est qu'il a fait et aussi, Bonnie était amoureuse de lui et Clyde aussi était amoureux d'elle mais je comprenais pas pour quoi Clyde ne couchait pas avec Bonnie et il disait toujours l'amour n'est pas ma forte. Mais malheureusement ils sont tués par la police...

15 décembre 2014

JEAN DE LA FONTAINE

                                                                                              

Jean de la fontaine  (né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry et mort le 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de grande renommée principalement pour ses fables et dans une moindre mesure ses contes licencieux.On lui doit  également des poèmes divers,des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste 

Proche de Nicolas,Jean de la fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de la sablière et malgré des oppositions,il est reçu à l'Académie française en 1684.Mêlé aux débats de l'époque,il se range dans le parti des Anciens dans la fameuse Querelle des Anciens et des Modernes.

C'est en effet en s'inspirant des fabulistes de l'Antiquité Grèco-latine et en particulier d'Esope,qu'il écrit les fables qui font sa renommée.Le premier recueil qui correspond aux livres à VI des édition actuelles est publié en 166,le deuxième(livres VII à XI) en 1678 le dernier 1694.Le brillant maniement des vers et la visée morale des textes,parfois plus complexe qu'il n'y paraît à part et les fables de la fontaine sont toujours considérées comme un des plus grands chef-d'oeuvre de la littérature française.La fabuliste a éclipsé le conteur d'autant que le souci moralisant a mis dans l'ambre les contes licencieux publiés entre 1665 et 1674.