ATELIER-THEATRE › Spectacle 2013

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27 juin 2013

Echappé bel - Le spectacle en images

Les photos de la représentation du 04 juin 2013 au Théâtre de l'Agora-Scène nationale et de l'Essonne:

09 juin 2013

ECHAPPE BEL

FÉLICITATIONS
A TOUS LES COMÉDIENS DE
L'ATELIER-THÉATRE
DU LYCÉE GEORGES BRASSENS!


ÉCHAPPÉ BEL...! C'est l'histoire d'un jeune homme parricide qui s'échappe de prison et demeure insaisissable. C’est l’histoire de Roberto, un personnage révolté, à la fois mythique et scandaleux, un peu fou mais surtout libre.


Le spectacle a été imaginé par Perrine Mornay et créé à partir d'un travail d'improvisation mené toute l'année et d'une réflexion sur la fuite et l'envol, à partir des textes de:

- Joël JOUANNEAU, Divertimento (Histoire de Lili et Yoyo), in Théâtre contre l’oubli (1996)

- Bernard-Marie KOLTES, Roberto Zucco, 1988

- Thomas BERNHARD, Minetti, 1997

- des cadavres exquis inventés par les élèves FLS

03 juin 2013

Échappé Bel, par l'atelier-théâtre du lycée Brassens


Mardi 4 juin 2013 à 20h00 au Théâtre de l'Agora-Scène nationale d'Evry et de l'Essonne


Roberto Zucco en cavale :

Pour écrire Roberto Zucco, Koltès s’est inspiré d’une histoire réelle : celle de Roberto Succo, un jeune homme qui se suicide dans un hôpital psychiatrique après avoir commis une série de meurtres, dont celui de ses parents. Roberto Zucco raconte l’histoire d’un assassin en cavale, qui tue sans raison apparente et qui reste insaisissable.

C’est autour de cette idée de fuite et d’envol que nous avons travaillé, notamment à partir de cinq scènes tirées de Roberto Zucco, quelques autres textes et des cadavres exquis écrits par les élèves FLS.


Textes :

-          Divertimento, Joël Jouanneau (histoire de Lily et Yoyo), Théâtre contre l’oubli, Actes Sud, 1996

-          Roberto Zucco, Bernard-Marie Koltès, Editions de Minuit, 1988

-          Minetti, Thomas Bernhard, L’Arche, 1997 (première édition 1977)

 
Bernard-Marie Koltès (1948-1989) :

« Je vois un peu le plateau de théâtre comme un lieu provisoire, que les personnages ne cessent d’envisager de quitter. C’est un peu comme le lieu où l’on se poserait le problème : ceci n’est pas la vraie vie, comment faire pour s’échapper d’ici ? (…)

Et l’enjeu du théâtre devient : quitter le théâtre pour retrouver la vraie vie. Etant entendu que je ne sais pas du tout si la vraie vie existe quelque part, et si, quittant finalement la scène, les personnages ne se retrouvent pas sur une autre scène, dans un autre théâtre, et ainsi de suite. C’est peut-être cette question, essentielle, qui permet au théâtre de durer. »

Bernard-Marie Koltès, Théâtre en Europe, janvier 1986