Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l’école.
Sicile. Giulia travaille dans l’atelier de son père. Lorsqu’il est victime d’un accident, elle découvre que l’entreprise familiale est ruinée.
Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu’elle est gravement malade.
Liées sans le savoir par ce qu’elles ont de plus intime et de plus singulier, Smita, Giulia et Sarah refusent le sort qui leur est réservé et décident de se battre. Vibrantes d’humanité, leurs histoires tissent une tresse d’espoir et de solidarité.
Trois femmes, trois vies, trois continents. Une même soif de liberté.
Ce poème « Crépuscule » illustre particulièrement bien ce que Victor Hugo entend par l'activité de Contemplation qui donne son nom au recueil : au-delà d'une simple méditation poétique, chaque paysage recèle une infinité vertigineuse de secrets philosophiques et mystiques...
Très important pour soutenir le travail de Mediaclasse ! Likez, partagez, abonnez-vous ! Retrouvez la suite sur son site : https://www.mediaclasse.fr
« Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? » Alors que la Révolution Industrielle se poursuit en France, Victor Hugo s'élève contre le travail des enfants. Ce passage célèbre de « Melancholia » est un magnifique exemple de poésie engagée ! Le poète s'attaque aux notions de travail et de progrès pour mieux se les réapproprier, en philosophe et en humaniste.
Très important pour soutenir le travail de Mediaclasse ! Likez, partagez, abonnez-vous ! Retrouvez la suite sur son site : https://www.mediaclasse.fr
Acte V, scène 3, de "(Il se lève). Que je voudrais bien tenir..." à "... m'arrivent à la file. (Il se lève en s'échauffant)." pp. 208-210 folio classique.
Vidéo qui traite avec humour le désarroi de certains parents face à la continuité pédagogique.
"Je me presse de rire de tout de peur d'être obligé d'en pleurer". Beaumarchais
Bien que ce texte date de 1775, on peut en mesurer toute l'actualité. Les rumeurs sont toujours là, propagées à une vitesse inconnue alors. N'est-il pas bon d'attirer l'attention des jeunes sur ce qu'ils peuvent colporter, volontairement ou non ?
EXTRAIT : " Bartholo : Singulier moyen de se défaire d’un homme !
Bazile : La calomnie, Monsieur ? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j’ai vu les plus honnêtes gens prêts d’en être accablés. Croyez qu’il n’y a pas de plate méchanceté, pas d’horreurs, pas de conte absurde, qu’on ne fasse adopter aux oisifs d’une grande ville, en s’y prenant bien : et nous avons ici des gens d’une adresse ! ... D’abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l’orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano vous le glisse en l’oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout à coup, on ne sait comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s’enfler, grandir à vue d’œil ; elle s’élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au Ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ?
Bartholo : Mais quel radotage me faites-vous donc là, Bazile ? Et quel rapport ce piano-crescendo peut-il avoir à ma situation ?
Bazile : Comment, quel rapport ? Ce qu’on fait partout pour écarter son ennemi, il faut le faire ici pour empêcher le vôtre d’approcher. "
Sur le texte de la calomnie, dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais, des jeunes du Lycée agricole de Ressins ont réalisé un clip vidéo original. Ce film a remporté le prix de la créativité au FestiClip 2009. Pour pouvoir insérer ce clip dans la collection D'clic des jeunes du Lycée technique et technologique de Marseille ont accepté de le retourner y apportant leur propre coloration.