12 janvier 2020
" Hernani " de Victor Hugo, réalisation Jean Kerchbron, diffusion du 24 avril 1961
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 12 janvier 2020, 19:40
12 janvier 2020
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 12 janvier 2020, 19:40
10 janvier 2020
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 10 janvier 2020, 21:41
Écoutez l’histoire que voici. Trois galants, un bandit que l’échafaud réclame, Puis un duc, puis un roi, d’un même coeur de femme Font le siège à la fois. L’assaut donné, qui l’a ? C’est le bandit.
Avec humour, Victor Hugo s’amuse à résumer sa propre pièce en trois vers et quatre pieds. C’est bien sûr une marque de complicité avec le spectateur.
09 janvier 2020
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 09 janvier 2020, 21:38
Les caveaux qui renferment le tombeau de Charlemagne, à Aix-la-Chapelle. De grandes voûtes d’architecture lombarde. ... À droite, le tombeau de Charlemagne avec une petite porte de bronze ... On ne voit pas le fond du souterrain ; l’oeil se perd dans les arcades, les escaliers et les piliers qui s’entrecroisent dans l’ombre.
Historiquement, l’élection de Charles Quint a eu lieu à Francfort, mais son couronnement a bien eu lieu à Aix-la-Chapelle. Pour l’effet dramatique, c’est ce dernier lieu que retient Victor Hugo.
Une fois à Aix-la-Chapelle, Don Carlos a découvert qu’une ligue se réunit dans les caveaux du tombeau de Charlemagne pour préparer son assassinat. Il s’y rend donc pour les surprendre et les arrêter. Bien sûr, il n’est pas seul, Don Ricardo l’accompagne à l’intérieur, et le duc de Bavière reste à l’extérieur avec des soldats...
08 janvier 2020
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 08 janvier 2020, 21:33
Dans les montagnes d’Aragon. La galerie des portraits de famille de Silva ; grand salle, dont ces portraits, entourés de riches bordures et surmontés de couronnes ducales et d’écussons dorés, font la décoration. Au fond une haute porte gothique. Entre chaque portrait une panoplie complète, toutes ces armures de siècles différents.
Scène 1, c’est le jour des noces de Doña Sol avec son vieil oncle Don Ruy Gomez. Mais c'est sans compter la série de coups de théâtre que Victor Hugo réserve à son spectateur...
07 janvier 2020
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 07 janvier 2020, 21:02
Saragosse, un patio du palais de Silva. À gauche, les grands murs du palais, avec une fenêtre à balcon. Au-dessous de la fenêtre, une petite porte. À droite et au fond, des maisons et des rues. — Il est nuit. On voit briller çà et là, aux façades des édifices, quelques fenêtres encore éclairées.
Chaque acte se passe dans un décor différent. Dans sa préface de Cromwell, Victor Hugo remet en cause explicitement l’unité de temps et l’unité de lieu, pour mieux défendre l’unité d’action :
"Il suffirait enfin, pour démontrer l’absurdité de la règle des deux unités, d’une dernière raison, prise dans les entrailles de l’art. C’est l’existence de la troisième unité, l’unité d’action ... Celle-là est aussi nécessaire que les deux autres sont inutiles. C’est elle qui marque le point de vue du drame ; or, par cela même, elle exclut les deux autres. Il ne peut pas plus y avoir trois unités dans le drame que trois horizons dans un tableau." Victor Hugo, Préface de Cromwell, 1827.
06 janvier 2020
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 06 janvier 2020, 09:39
Saragosse, une chambre à coucher, la nuit. Une lampe sur la table. Dona Josefa Duarte, vieille, en noir, avec le corps de sa jupe cousu de jais, à la mode d’Isabelle la Catholique. Elle ferme les rideaux cramoisis de la fenêtre et met en place quelques fauteuils ...
Dans ses pièces, Victor Hugo utilise des didascalies très précises pour mettre en place le décor et les personnages. C’est une démarche propre aux romantiques : on va créer des tableaux, avec des clair-obscurs, une atmosphère mystérieuse, des objets symboliques, une couleur locale et historique. Dès le début, Victor Hugo nous plonge dans l’Espagne du XVIe siècle.
07 octobre 2019
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 07 octobre 2019, 09:34
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 07 octobre 2019, 09:24
22 février 2017
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 22 février 2017, 19:58
Travail de groupe : vous écrirez dans les commentaires de ce billet les réponses synthétiques aux questions qui portent sur les versions d'Œdipe roi de Sophocle et Pasolini. Après avoir choisi les questions qui vous intéressent et fourni les réponses attendues, illustrez vos réponses par des citations caractéristiques tirées de l'œuvre de Sophocle ou des commentaires d'extraits du film de Pasolini. Démarche de travail : 1. Questions 2. Réponses synthétiques 3. Citations ou extraits 4. Explications des citations ou commentaires des extraits. Contrainte d'écriture : vous ne devez pas traiter une question qui a déjà été traitée par un autre groupe.
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