L'aveugle

Si l'on considère qu'il s'agit d'une nouvelle réaliste, alors on peut également considérer que le sujet est bien traité. Je ne savait pas vraiment à quel genre de fin m'attendre. Le fait que l'aveugle meure à la fin ne relève pas d'une fable à mes yeux. Dans cette nouvelle, les personnages sont simples et ne sont pas mis en avant par rapport à l'aveugle sur lequel le récit se centralise complètement. J'ai trouvé le sujet intéressant, le récit nous parle d'un handicap courant que le narrateur transpose à son époque et dans un milieu défavorisé. Le narrateur décrit très bien les différences que peut provoquer ce handicap. Cela m'a permis de bien entrer dans l'histoire.

Un fou

Le sujet abordé dans cette nouvelle par Maupassant est bien traité. On peut aussi dire de ce récit qu'il traite de plusieurs sujets. Cette nouvelle est présentée comme étant le journal d'un grand magistrat très respecté. Celui-ci semble nous faire part de sa vision de la condition humaine sur terre par rapport à la justice de l'Homme. Mais en réalité, la fin nous révèle que ce magistrat nous parle de ses différents meurtres et des raisons de ceux-ci. Ce magistrat se révèle être en fait un malade mentale et un dangereux meurtrier qui pense que le meurtre est naturel. La fin n'était pas du tout prévisible. Comme il s'agit d'une nouvelle, le magistrat est le seul personnage complexe du récit. Le sujet devient intéressant dans la mesure où le narrateur créé une situation paradoxale du fait que ce soit un chef d'un haut tribunal, un homme de loi qui soit le meurtrier. Cela explique pourquoi il n'a jamais été puni des crimes qu'il a commis. C'est aussi pour cette raison que je pense être bien rentré dans l'histoire.

Autres temps

Le narrateur parle dans un premier temps d'une différence générationnel avant de nous raconter l'histoire. Aucun personnage n'est complexe et le sujet est mal abordé, je n'ai pas compris cette histoire. Je ne suis pas rentré dans l'histoire.

HISTOIRE D'UN CHIEN DE GUY DE MAUPASSANT

Étant très engagée contre la maltraitance des animaux en général, j'ai adoré cette nouvelle.Ce sujet qui concerne tout le monde et qui a toujours existé malheureusement,je le trouve passionnant et sensible. Je trouve que Maupassant a traité ce sujet à la perfection. Il a pu choquer le lecteur en décrivant le physique de cette pauvre chienne << maigreur affreuse, mamelles pendantes...>> et avec ces descriptions on peut évoquer la chienne. Il a attristé le lecteur, en décrivant la manière de tuer la chienne<<corde au cou de la bête, grosse pierre..>> et la manière dont la chienne se débat <<essayant de nager,regard d'angoisse,pattes de derrières s'agitaient encore, quelques bulles d'air apparurent...>>. On peut se mettre à la place de la chienne, qui,elle, n'a rien demandé et se fait tuer. Personnellement, j'ai trouvé la chute prévisible car ayant lu des dizaines de textes à ce sujet, la chute est toujours la même, l'animal est soit tué ou soit abandonné.Mais ceci dit, la chute peut être prévisible, avec notamment les jardiniers,la cuisinière qui se plaignent<< le jardinier se plaignait tout les jours...>>. J'ai trouvé les personnages très affectueux, notamment François qui me fait de la peine et dont on sait qu'il aime sa chienne <<hanté par le souvenir de Cocote...>> <<dix fois il voulu la jeter mais à chaque fois il ne trouva pas la force...>> <<fut désespéré..>>.Cocotte la chienne m'a beaucoup attristé, car elle n'a rien demandé, juste que quelqu'un s'occupe d'elle et se fait tuer. L'écriture m'a beaucoup plu, car j'ai trouvé les descriptions très utiles.

HISTOIRE CORSE DE GUY DE MAUPASSANT

Je trouve le sujet intéressant car on nous décrit la Corse qui existe toujours et dont on peut ne pas s'intéresser. D'autant plus que le sujet nous fait voyager avec toutes les descriptions. J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire car au début le sujet ne m’intéressait pas forcement et finalement, j'ai bien aimé. J'ai éprouvé de la compassion pour la femme de M. Calabretti car c'est une femme forte, qui n'a rien à se reprocher mais qui se fait persécuter. J'ai bien aimé l'écriture et j'ai été assez choqué que Maupassant parle en son nom indirectement. Je n'ai pas trouvé la chute prévisible, c'est d'ailleurs ce que j'ai le plus apprécié dans la nouvelle car dans la nouvelle, on ne prête pas forcement attention à la femme, alors qu'à la fin c'est la plus importante.

L’ORPHELIN DE GUY DE MAUPASSANT

Je suis assez mitigée sur le sujet car je suis restée sur ma faim. Finalement, on ne sait pas qui a assassiné cette pauvre dame, Mlle Source.  je ne m'attendais pas à cette chute qui n'est pas du tout prévisible et qui m'a un peu déçu. J'ai de la peine pour Mlle.Source qui demandait juste de la tendresse, de l'amour. J'ai éprouvé du dégoût envers les parents et l'orphelin qui ont profité de la gentillesse de cette dame. Je m'attendais à ce que le sujet soit traité différemment. Je m'attendais aussi à savoir l’assassin de Mlle.Source, car la fin était portée sur ce sujet.

Histoire d'un chien, 2 juin 1881

J'ai beaucoup aimé cette nouvelle car je l'ai trouvée particulièrement touchante. Guy de Maupassant, dans ses nouvelles, réussit à aborder des thèmes réalistes (que d'autres négligeraient) de manière naturelle. Le sujet est très bien interprété car Maupassant arrive à susciter de l'intérêt chez les personnes, qui habituellement ne font pas attention à ce genre de faits divers. Je trouve que François, le cocher de cette famille bourgeoise, est une personne  touchante par la détresse qui le submerge lorsqu'il tue sa chienne prénommé "Cocotte". Il était obligé de faire cet acte pour pouvoir survivre et conserver son statut de cocher. J'ai aimé cette écriture, en particulier la comparaison que Maupassant a faite entre François et sa chienne. Au début du récit, François récupère Cocotte dans la rue car elle était probablement perdue ou abandonnée. On note également un parallèle entre le prénom de la chienne rappelant les courtisanes de l"époque. De plus Cocotte lui lance un regard afin d'amadouer François pour qu'il la ramène chez lui. Celle-ci avait dû errer longtemps dans les rues avant de trouver un maître qui veuille bien d'elle. Si nous comparons ce début de récit à sa fin, nous nous rendons compte que François, suite à la découverte du cadavre de sa chienne, est effaré. Il part, il se met à marcher dans la rue. Cet alors qu'il se perd. Lui aussi, erre dans la rue comme Cocotte sans jamais retrouver son chemin.

Fou?

Le sens de cette nouvelle n'est pas ordinaire. Ici, Maupassant aborde comme sujet l'amour et la jalousie qu'un homme peut ressentir. Il montre que la jalousie de cet homme est beaucoup trop excessive car elle va le pousser a commettre l'irréparable: il va tuer le cheval tant aimé de sa compagne ainsi que celle-ci. Il voulait garder l'amour de cette femme pour lui seul et va finalement tout perdre. Le personnage est intéressant ainsi que son caractère. Cet homme est tiraillé entre l'amour, la jalousie, la colère et la haine. Cette jalousie devenue possessive le rend fou. Il s'en rend compte et nous pose la question "Suis-je fou ?" comme pour avoir un avis externe sur sa propre façon d'agir. Cette chute n'était pas du tout prévisible, je pense que personne ne s'attendait à ce genre de chute à la fin de la nouvelle. Celle-ci m'a plu même si elle m'a beaucoup intriguée et a suscité en moi énormément d'interrogations sur cet homme.

La folle

J'ai trouvé que cette nouvelle était triste. Elle a réussi à me transmettre la douleur et la souffrance de cette femme qui a perdu son père, son mari et son nouveau-né en un seul mois. Cela montre que notre vie peut basculer d'un jour à l'autre et en un temps infime. Maupassant rend cette histoire à la fois triste et passionnante grâce à la vie dure de cette dame. Elle n'attend qu'une seule chose : la mort. Sa bonne la maintient en vie car elle veille sur elle et reste à son chevet. Je m'attendais à une chute différente, celle écrite par Maupassant n'était pas réellement prévisible bien qu'elle soit tout à fait plausible dans la réalité.

Dans cette nouvelle, Maupassant nous parle des suicides retranscrits dans la catégorie faits divers du journal. Nous découvrons la lettre de Robert qui écrit avant de se suicider. A travers cette lettre on comprend que l'auteur parle pour tous les suicidés et cela nous permet de mieux comprendre leur geste.

J'ai beaucoup apprécié cette nouvelle car elle parle d'un sujet de tout les jours que peu de personnes osent aborder. Souvent, lorsque quelqu'un se suicide, on pense que c'est à la suite d'un événement dramatique et douloureux de sa vie alors qu'ici Maupassant nous montre que c'est la monotonie du quotidien, les habitudes, la répétition des jours qui a tué le personnage. Cette idée que ce n'est pas la mort qui tue mais la vie et sa longueur écrasante nous permet d'entrevoir un angle intriguant mais tellement réaliste du suicide.

Ensuite, l'atmosphère de la soirée est propice au suicide comme nous le montre la phrase : "Le brouillard était affreux, ce soir. Il enveloppait le boulevard où les becs de gaz obscurcis semblaient des chandelles fumeuses. Un poids plus lourd que d'habitude me pesait sur les épaules." Je pense qu'ici Maupassant nous décrit l'état d’esprit du personnage: il songe à se tuer ce qui est angoissant et lourd à porter tout comme le brouillard qui nous donne le sentiment d'étouffer. Ainsi, à travers le temps se fait la description des pensées du personnage. Il y a donc une liaison détournée entre la météo et le personnage comme il y avait dans le roman Pierre et Jean entre la mère et la mer. Cela m'a permis de comprendre le choix de Robert de mettre fin à ses jours cette nuit là et pas une autre. Il est dans un moment terrifiant de sa vie où il peut choisir de vivre ou non et par ce temps il est plus tenté de se donner la mort que de vivre. On dit souvent que le moral dépend du temps, cela s'applique à la perfection ici et grâce à cette description de l'atmosphère et des pensées du personnage, on en vient à penser que c'est une belle soirée pour mourir.

Aussi, l'auteur de la lettre nous parle de sa digestion. Il nous dit une "bonne digestion est tout dans la vie" Or, ce soir là, il digère mal. Je pense que ce détail n'est pas négligeable car cela montre que Robert est vraiment à bout et que tout autour de lui semble aller de travers. On sent que ce n'est pas habituel. Le fait que même sa digestion n'aille pas le conforte dans son choix de s’ôter la vie, cela lui donne une raison de plus pour agir ce qui nous entraine nous aussi dans cet état d’esprit et de ce fait on devient compréhensif envers le personnage, on ressent sa tristesse et sa solitude et ainsi, son choix nous paraît logique voire évident. La phrase "Je ne me tuerais peut-être pas si j'avais bien digéré ce soir" nous prouve bien que le personnage ne peut plus tenir et que cette histoire de digestion est le détail qui fait tout chavirer. Je pense que c'est à ce moment là que le personnage n'hésite plus à mettre fin à ses jours, il se rend compte que sa vie n'a plus de sens, que même le plus petit détail le rend mal. Cette douleur omniprésente ne lui est plus supportable ainsi il ne perd rien à se tuer au contraire cela sera comme une sorte de délivrance, un soulagement pour lui.

Puis, Robert décide de ranger ses papiers amassés depuis trente ans dans son secrétaire. Au début, il retrouve des écrits de personnes qu'il revoit encore tous les jours et qui ne lui font aucun effet. Puis, il tombe sur la lettre de son ami d'enfance qui le fait tressaillir et lui donne les larmes aux yeux. Il remonte dans sa vie comme "on remonte un fleuve" et il retrouve des objets de ses "souvenirs d'amour". Le fait de revoir ces fragments du passé lui permettent de réaliser l'étendu de sa douleur et de son désespoir comme nous le montre la phrase : "[...]mon âme ravagée par les souvenirs, je revoyais chacune à l'heure de l'abandon, et je souffrais un supplice plus cruel que toutes les tortures imaginées par toutes les fables de l'enfer". On ressent ici toute la tristesse du personnage et on se rend compte que cela lui donne une raison supplémentaire pour s'ôter la vie car ses souvenirs sont trop douloureux. Le personnage lui même nous conseille de ne pas remuer le passé à travers la phrase "Ne relisez jamais vos vieilles lettres". Le fait que cette phrase soit la dernière de sa lettre nous montre bien que c'est ses souvenirs qui lui ont permit de réaliser que le choix de la mort était inévitable. Ainsi, Maupassant nous fait comprendre que les souvenirs, aussi beau soient ils, peuvent tuer, qu'ils nous hantent et même lorsqu'ils sont enfouis au plus profond de nous même, ils ressurgissent toujours et cela souvent dans les moments le plus douloureux, les plus durs de la vie.

Enfin, le personnage pense à son futur et cela le terrifie au plus haut point "[...]je me retournai pour envisager le reste de mes jours. Je vis la vieillesse hideuse et solitaire, et les infirmités prochaines[...]" On comprend ici qu'il ne veut pas de ce futur désolant et qu'il ne voit aucun raison de vivre ça. Il se rend compte que sa vie ne va plus dans le bon sens et que les souvenirs lui font trop de mal mais aussi que son avenir ne lui annonce rien de bon et cela lui fait peur. C'est justement cette peur du futur qui l'anéantie et ce regret des moments passés qui le conforte dans son choix de suicide. Je crois que ce moment là du texte est le passage qui m'a le plus touché car on sent que Robert est complètement perdu et déchiré. Il ne voit plus de raison de vivre, ce qui est inconcevable pour toutes personnes heureuses. Beaucoup pense que la vie est trop importante pour qu'on se l'ôte soit même mais ici on réalise dans quelle détresse peuvent se trouver certaines personnes et on conçoit alors l'idée du suicide qui était un sujet flou et terrifiant jusqu'ici. C'est, je pense, cette idée là qui m'a plus plu dans la nouvelle.

Pour conclure, à travers ce récit Maupassant nous offre une belle leçon de vie et nous permet de comprendre ce que ressent quelqu'un qui veut s’ôter la vie. Dans ce texte, qui évoque un sujet quotidien mais dont on entend peut parler, l'auteur nous explique que pour certains la vie est encore pire que la mort et c'est ce côté de la nouvelle qui m'a le plus intéressée.  Il nous parle de la douleur des souvenirs et de la peur futur. Cela m'apparait comme un sous entendus pour dire au lecteur de ne pas remuer les souvenirs (c'est cela qui à convaincu Robert de se suicider) et de ne pas se soucier du futur (qui angoissait tellement le personnage qu'il a préféré mourir plutôt que de devoir le vivre).

"Pierre et Jean" est un livre assez court de Maupassant qui fait partie du mouvement réaliste.
J'ai bien aimé ce texte car la fin est très inattendue. Jean rassure et protège sa mère alors qu'on serait amenés à penser le contraire.

Pierre qui est médecin prend la place de Jean et Jean qui est avocat prend la place de Pierre: Pierre devient le juge de sa mère alors que Jean devient son médecin en la réconfortant. Ils ne sont pas à leur place.
Je trouve Roland inutile dans ce texte.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Si on devait prendre parti pour l'un des personnages je serais d'accord avec les convictions de Pierre ou je défendrais Roland car celui-ci est victime d'adultère et il n'en sait rien.                                                                                                                    Pierre a beau dénoncer sa mère à son frère, qui n'est donc pas le fils de Roland, mais c'est lui qui est exclu.  s
La mère est considérée comme la victime alors que la vraie victime est Roland.

J'ai lu le récit Pierre et Jean de Guy de Maupassant,pour moi j'ai pensé que ce récit  était intéressant et aussi émouvant à la fois. La partie la plus émouvante du récit était surtout à la fin car c'est quand Pierre quitte sa famille et surtout sa mère qui est très triste. Les cotés positifs du récit sont que dans ce récit Maupassant décrit beaucoup et ça m'aide à me situer dans l'histoire et ça m'aide aussi à m'imaginer dans ma tête les lieux et les paysages que les personnages voient. Pour moi, dans ce récit il y a beaucoup d’éléments négatifs car le père est assez inactif dans le récit, il y a aussi le fait que la mère garde un secret qui fait basculer tout le récit, ce secret est un grand rebondissement dans le récit car je ne m'y attendais pas. Le fait que le père ne soit pas au courant de tout ce qui se passe d'important dans le récit  car Jean vivait avec une personne qu'il pensait être son père biologique alors qu'il ne l'est pas;Après la révélation du secret ça devient plus logique que Jean ait l’héritage de la personne qui est en fait son vrai père. C'est assez étonnant que la mère ait le courage de dire la  vérité à ses fils sur son adultère mais qu'elle n'ait pas le courage de le dire à son mari alors qu'elle l'a trompé.  

"Pierre et Jean" de Maupassant est un livre fondé sur l'enjeu de trouver sa position. Pour cela il a organisé son roman autour du même sujet qui est la place. L'histoire repose sur une famille sans problème, jusqu'au jour où l'un des deux enfants "Jean" reçoit l'héritage d'un ami de la famille. Maupassant va beaucoup jouer sur l'aspect psychologique, comme les métiers des frères: Pierre est médecin et Jean avocat mais lui, tout au long du livre il va faire paraître le contraire, il met en liaison deux aspects important du livre par rapport à Pierre, le mot "mer" (qui fait référence au bateau) et le mot "mère".

C'est pas tout, Jean va connaître la vérité et comprendre que son vrai père est celui qui lui a donné son héritage, Maupassant en profite pour faire un rapprochement sur les mariages arrangés.

On y retrouve cette querelle entre les frères par rapport à l'appartement, que Jean a pris à Pierre. Il y a aussi le manque d'espace dans ce bateau, mais que Pierre veut prendre à tout prix pour s'éloigner de tous ses problèmes, il y devient emprisonné, parce que chaque "catégorie" de personne est classée à son niveau: cette parallèle est raccordée avec la vision de Maupassant qui lui pense que chaque personnage est classé donc placé, mais cela ne changera en rien, Pierre n'aura jamais sa place. Et cela tout au long de sa vie, ce qui fait de lui la plus grosse victime du roman.

Ce livre me fait penser au roman "Aux Champs" qui lui aussi traite le même thème: la jalousie, le problème d'argent détourné d'une autre manière et ses messages cachés.

J'ai beaucoup apprécié lire ce livre car les phrases ont une très belle mélodie, une très jolie technique d'écriture surtout avec ses messages cachés qui montre bien l'intelligence et  la subtilité de Maupassant. L'histoire change vraiment des livres que j'ai l'habitude de lire, je l'ai tout de même aimé car l'histoire est à la fois nouvelle mais aussi mystérieuse ce qui donne vraiment envie de la lire la suite. C'est une histoire surtout pas commune, que l'on ne retrouve pas dans un autre livre et c'est surtout cela qu'il l'a rendu spécial.