L'ombre de la mort, Océane ( Blaise Pascal 404)

Je vis comme une vision, de moi vieille et ridée, aux aires dépressive...

Soudainement, l’ombre d’un homme déterminé tel un loup aux douze coups de minuit un soir de pleine lune arriva par derrière. Il prit mon cIl y a quelques années, j’emménageai avec mes deux enfants, chez nous, à Détroit. Quand nous arrivâmes dans cette ville sombre et mélancolique mais remplie d’histoire, je sentis comme un sentiment de peur, d’appréhension. Comment allais-je scolariser mes enfants ? Comment allais-je trouver un travail ? Comment allais-je refaire ma vie après la mort de mon mari ?

 

Mes enfants décidèrent d’aller jouer tous les deux dans le jardin, pendant que moi, je déballais les cartons de notre ancienne vie pour en reconstruire une nouvelle. Passer à autre chose était ma priorité, et mes enfants étaient la seule chose qui me restait dans ce monde, ma seule force.

 

Je déballais un à un les cartons, et plus j’en ouvrais, plus les larmes me montaient. Ca faisait maintenant une heure que je rangeais, jusque-là, rien d’exceptionnel, mais un des cartons m’intrigua plus qu’un autre.

 

Une mélodie se mit à retentir, je décidai alors d’ouvrir, et là, une petite boîte à musique que je ne connaissais pas, attira mon attention je décidai alors d’ouvrir pour découvrir ce qu’il y avait à l’intérieur…

 

Une petite danseuse, qui tournait sans s’arrêter, au rythme de cette mélodie. Je fus hypnotisée par cette douce musique, qui, même si cette boîte me fut totalement inconnue me semblait familière. J’aurais pu passer des heures et des heures à regarder cette danseuse mais un évènement incroyable se produit. D’un seul coup, la danseuse cessa de tourner, et la musique s’arrêta, un miroir sur qui je n’avais pas porté attention jusque-là, se mit comme à se casser. Pris d’une terreur insurmontable je restai immobile, aucun mot ne sortit de ma bouche.

 

J’aperçus mon visage dans ce miroir vraiment terrifiant où d’un coup, je vis comme une vision, de moi vieille et ridée, aux aires dépressive, assise sur un fauteuil dans une pièce. J’étais dans l’obscurité totale, où on ne pouvait à peine distinguer ce qu’il y avait autour de moi. ou avec ses mains terriblement douces mais à la fois froides et il m’étrangla d’une force surhumaine. Cette image repassât sans cesse dans ma tête, celle de… ma mort.

 

Pris d’une crise de panique, je poussais un cri, qui alerta mes enfants qui se précipitèrent alors à l’étage.

Commentaires

1. Le 05 janvier 2018, 13:23 par Mattéo P. (4e8 Marcel Roby)

Très belle histoire ou je n'ai pas eus a la lire deux fois pour la comprendre, l'histoire est triste a certain moment et l'histoire avec les visions ou tu vois ta mort ma beaucoup plus. Tu as très bien plaçer le surnaturel dans le récit, j'éspère que tu iras loin dans le conour.

2. Le 05 janvier 2018, 17:39 par Thelma L. (408 Roby)

Ton texte est très bien écrit, l'histoire est intéressante mais à mon goût, bien sur, tu aurais pu un peu plus approfondir le passage fantastique de ton récit. J'ai remarqué aussi qu'il y avait certains mots, ou certains passages (par exemple au debut de ton histoire) "en trop" comme si tu avait oublié de les effacer ou si tu les a écrits volontairement, on ne comprend pas la phrase.

Ajouter un commentaire

Les commentaires peuvent être formatés en utilisant une syntaxe wiki simplifiée. Les liens ne sont pas autorisés.

Fil des commentaires de ce billet