INQUIETANTES ETRANGETES

        Je me rapprocher du lac quand un puissant orage s'abattit  sur moi. J'ai essayé de trouver refuge sous un dolmen, nombre dans cette partie de Bretagne, mais je ne vis aucun.

       Tout d'un coup, j'aperçus au loin une bâtisse faire semblant de château du roi Arthur sur lequel j'avais fait des recherches auparavant. Je me précipitai et entrer dans ce palais délabré. Je me mis a monté les marches du donjon quand j'entendis derrière de foules joyeuses venues de ce que je pensais être la salle à manger. J'acourru et quand j'entrai dans cette vaste salle, les rires et tintements de verre ce turent. La salle était recouverte de tableaux de personnages mythiques tel que Merlin, Lancelot, le roi Arthur et Perceval... était aussi suspendu des tableau montrant de scène de banquet. Je me creuse alors au paradis. Je n'avais jamais rien vu d'aussi beau mais en courant d'air froid et des hurlements de bêtes sauvages au loin me ramenèrent à la réalité. Dans dans la salle d'à côté, j'entendis des écuelles tomber. Je me dirigeai vers celle-ci est tombée alors sur les cuisines., le joyeux bruit recommencer dans la salle à manger. Un feu crépitait faiblement dans cette cuisine des anciens temps; une odeur pestilentielle me vint aux narines . Je commençais à reculer de peur et de dégoût mais trébucha sur une marmite encore plein de soupe dont les membres humain flotter en surface. J'ai voulu sortir mettant bas cette fois-ci sur des cadavres d'animaux.

         Je fuis du donjon évolue sortir de ce château de malheur mais la grille était baissé. Souffle léger et chaud soufflette doucement sur ma nuque quel une brise d'automne. J'ai envie d'appeler à l'aide mais personne ne m'entendais. Je me précipitai donc vers le bâtiment principal du château. Je parcourus les grand couloir et, en regardant par un vitrail, je ne voyais rien que le vide de cette vaste forêt. Un bruit de porte grinçant me glaça le sang et mes membres tremblaient fortement. Je me remets à courir mais le sentiment que quelqu'un me suivait depuis le début je me retournais et aperçut une forme floue, mais je distinguais un homme. On aurait dit qu'il avait la racheter un animal féroce. Je me remets à courir de toutes mes forces, mais, celui-ci parvint à me rattraper, par je ne sais quel malheur. J'entrai dans la première pièce que je trouvais et ce n'était d'autre que la salle du trône.

          La lumière faible de la pleine lune m'éclairer et je distinguais un merveilleux trône ornée dp et de pierre précieuse qui brillaient comme un reflet dans de l'eau claire. Je m'aperçus que des cadavres d'animaux et de me mordre jonchaient le sol sur lequel je marchais. L'homme à la chercher un bout de bois et s'en servir comme un bélier pour défoncer la porte qui semblait hurler de douleur point j'observai plus attentivement la pièce et je vis une cheminée. J'ai eu l'idée saugrenue de m'échapper pas là. Je réussi à m'échapper de la pièce et afin de sortir de ce château de malheur, je me précipite à dans la cour de celui-ci mais l'homme parvint à sentir mon odeur virgule il me rattrapa point j'ai tellement peur de celui-ci, d'autant plus qu'il avait une lueur rougeâtre dans les yeux. En voyant ce détail, je m'évanouïe.

          Le lendemain matin, je me réveiller en sursaut et essoufflée, je rêve garder autour de moi. Je me trouvais dans une chambre a connu à mon égard. Je sortis de celle-ci est aperçu que je me trouve dans un château. Mais pas n'importe quel château, c'était un château médiéval qui faisait chambres d'hôtes car de nouveau propriétaire avait acheté palace délabré point je me trouvais toujours près du lac de la fée Viviane. Je ne compris pas ce qu'il s'était passé. J'étais troublé et tourmenté par ce que j'ai vécu. Je ne savais plus quoi penser. Un homme de morphologie ressemblante à celle de l'homme mystérieux va me demander si j'avais bien dormi. Je lui posa quelques questions sur ce lieu et il me confirma que ce château virgule selon la légende était hantée par les fantômes et les loups-garous. Je n'ai pas plus de détails mais je commençais à me demander si j'avais rêvé ou si ce que j'eus vécu était réel...