Les fauteuils catcheurs - Thomas G 4e7 Pablo

C'est en récit surnaturel les fauteuils prennent vies.

 

J’aimais me balader dans la forêt près de chez moi à Plazanet. Un soir de pleine lune, je me perdis. Je me baladais comme tous les jours vers 17h, mais il commencé à faire nuit. Je ne voyais plus le chemin, je continuas à marcher pour me réchauffer. Je m’enfonçais de plus en plus dans la forêt. On pouvait entendre le hurlement des loups à des kilomètres. Il commençait à faire de plus en plus noir et froid je ne voyais plus devant moi. Le froid me gelait les mains, je ne sentais plus le bout de mes doigts, il m’envahit le corps. Après une grosse demis-heure, je trouvas un petit chalet avec de la lumière. Je voulu toquer mais la porte s’ouvrit toute seul, le feu s'allumat et les fauteuils se battaient pour savoir lequel serait à coté du feu et sur lequel j’allais m’assoir. On aurait dit de vrai catcheur; Je devenais fous? Qui étais-je? Ou étais-je? Qu’est-ce que je faisais ici? Le cris des loups devenaient de plus en plus fort, de plus en plus près. J’avais l’impression d'assister à un combat de catch, les fauteuils devenaient plus fort,  plus grand. J’allais à la cuisine pour prendre à manger, mais l’un des fauteuils me barra la route. Je partis en courant me réfugier à l’étage, car ils ne pouvaient pas monter. Je refermais la porte, mis un lit devant. Je ne c’est quoi faire, Je ne peut appeler des gens pour m’aider, il me croiront fous alié. Je crus entendre des bruit dans l’escalier. Je ne savais pas ou aller me cacher.

La maison n’étais pas grande elle n’avait que 1 étage, au rès-de-chaussé il n’y avait que le salon, une cuisine et une petite salle à mangé. Au 1er il y avait une chambre, une salle de bain, des toilettes et une minuscule buanderie. Les bruits devenais de plus en plus bruillant, je regardas par le trous de la serrure et je vis les couteaux et les fourchettes de la cuisine volé comme une patrouille de policier. La chaise bougea et fit un grincement, ils se retournèrent vers la porte de la chambre. Je voulus sortir par la fenêtre mais je ne voulais pas finir dans la gueule des loups qui était en dessous de la fenêtre et qui essayait de casser la porte.  Que devais-je faire? Je couru me cacher sous le lit. Il faisait sombre, je voyais à peine le bout de mon nez. Cette balade me rendais fous. Le chalet me rendais dingue en plus d’etre petit. Les loups cognait de plus en plus fort sur la porte. Les couteaux et les fourchettes avaient réussi à rentrer dans la chambre mais ile ne mis trouvèrent pas. J’entendis un crac en bas, les loups ont réussi à rentrer dans la maison. Des bruit dans l’escalier puis plus rien. Je transpirais de peur , je crus entendre le grincement de planche de parquet de l’escalier. je vis une ombre passer vite devant la porte de la chambre grace a la lune, puis une autre, encore une… La pièce était envahie d’ombre, je pensais que les ombres était les loups de toute à l’heure. Je trouvis un espèce de bâton, je le lança par la fenêtre, les loups aussi sautèrent par la fenêtre. Je partis me cacher en bas dans l’abri de jardin, j'observé les loups entrain de se disputer pour avoir le bâton. La lune passa et éclairage l’abri et je vis un quad avec un casque dessus. Que devais-je faire? Devais-je partir? Les loups allaient t-ils me suivre? Je pris mon courage a demain et monta sur le véhicule tout terrain. Je partis à fond sur le chemin en ligne droite. Les loups me suivèrent pendant une bonne demis heure. Je me retournas pour regardais derrière moi si les loups me suivait encore, et quand je me retourna je me pris un arbre. Je réveilla en sursautant et en suant, un médecin arrive je lui demanda ce qu’il se passais. Il me dit que j’avais abusé de l’alcool hier soir.  

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