INQUIETANTES ETRANGETES

Il était  près de minuit, Adrien et moi nous nous trouvions chez moi. Ma maison était situé dans une grande rue qui embrassait une forêt. Une envie d’action et de frisson passa. On se regarda ayant la même idée en tête. On enfila vestes et chaussures, lampe de poche a la main nous partâme de la demeure. Après avoir franchis le seuil de la porte d’entrée, nous nous élançâmes dans cette grande avenue. Au bout se trouavit une ouverture dans un grillage pour passer dans cette forêt angoissante. Au moment de passer de l’autre côté, nous faisions attention de ne pas nous faire voir. Je regardais partout autour de moi, personne. un hibou se mit à crier ce qui me faisa sursauter.

Nous étions à présent dans la forêt de darkwood, avançant sur un sentier. Tout était calme jusqu’au moment où le vent se leva faisant danser les arbres. Le brouillard slalomait entre nous, recouvrant le sol. La lune fus dégagée.Une brise de vent me caressa les cheveux et un frisson parcourut mon corps entier . Une petite maison en bois cachée derrière quelques buissons nous attira, nous y entrons, il faisait encor plus froid dedans. Une odeur de renfermé comme dans le grenier de mes grands parents. De vieux tapis au sol, un tableau posé au dessus de la cheminée, j’effleura celle ci elle était poussiéreuse. Sur cette maisonnette ont racontait qu’une famille de 5 avait était tué, la mère dans le salon, elle était en train de lire puis le père dans la cuisine lorsqu’il accourait par les coups de feu. A l’étage deux enfants cachés sous un lit dans leur chambre le dernier un petit garçon avait réussi à s’échapper par le toit. Tous ces évènements se ressentaient, l’atmosphère était pesante. Depuis cette endroit est abandonnée. L’électricité ne fonctionnait plus un bruit de grincement provenait de dehors je sorti sur le porche… C’était une balançoire qui se balançait avec le vent une poupée dessus. Nous n’étions pas rassurés mais nous décidons quand même d’y retourné. Nous reprîmes du début? Nous passions par le salon ensuite la cuisine puis montions à l’étage. La chambre des enfants.. Cette pièce paraissait habité par une présence. la lumière s’alluma, surpris nous sursautons, un nouveau bruit de grincement se fit entendre, la porte s’ouvrit j'observais le bas de la porte une main l’a poussait, la lumière s'éteignit et la porte claqua, je cria de toute mes forces, apeurée. des bruits de pas s’avancèrent vers nous, je retenais mon souffle, les pas nous contournèrent puis s’arrêtèrent. où est elle à présent ?

La lumière se ralluma mais avec une intensité plus faible, adrien se retourna et attrapa ma main il me chuchota “Anna retourne toi doucement”. Qu'est ce qu’il y avait derrière moi ?

La poupée de dehors était belle et bien devant nous, une inscription derrière elle. “Je vous auraient”. Comment ça elle nous aura ? En lisant cela nous nous metâmes à courir mais paniqué nous ne retrouvons pas la direction de la sortie. Cette pièce ressemblait fortement à la salle de bain , un grand miroir à demi cassé se trouva juste devant nous, la lumière éclairait la pièce. Dans le miroir brisé on pouvait observer une inscription. “Vous êtes si naïfs”. Que signifait cela ? Une musique angoissante commença et devena de plu en plus forte. Une odeur de brulé me perturba voulant savoir d’où elle provenait. Mes yeux commencèrent à se remplir de larmes et je sentais qu’Adrien était dans le même état. ça en était assez il fallait sortir d’ici au plus vite, le tonnerre retentit rajoutant en plus du stresse et l’humidité se faisait ressentir. Tout à coup des coups de fusils sont tirés bizarrement tout s'arrête. C’était le moment de fuir de cet endroit sombre et vieux. Nous courons le plus vite possible sans regarder derrière nous, nous passons à travers les gouttes de pluie, frôlant les branches des arbres… Passons à travers le grillage presque arriver chez moi. Nous nous arrêtons de courir à deux pas de la porte d’entrée mais un cri retentit la poupée se trouvant devant nous, nous fixant. Adrien l’a prit et la jeta par terre.