Un parc esseulé / Gabrielle 4e7pablo
Par Pablo Picasso 4e7 le 20 décembre 2017, 12:59 - Archives - Lien permanent
5 amis, 1 raconte l'histoire qui leur est arrivé.
Cliquez et vous connaitrez la vérité.
Je me rappelle cette nuits là, il faisait chaud pour une fin de soirée. Il sonnait 20h quand nous décidions d’aller à ces maudites attractions abandonnées. On nous disait souvent qu’un esprit hanté le parc, que toutes personnes qui y allaient atterrissaient à l’asil. Mes amis et moi n’y croyait pas. Je ne sais pas si c’est parce qu’on buvait beaucoup trop et qu’on faisait la fête ou si c’est réellement arrivé mais cette nuit là des évènements anormaux sont survenu. Je vous laisse juger par vous même, mais ça fait dix ans que ça met arrivé et des cauchemars me réveillent parfois. Je venais juste de fêter mes dix-huit ans. Donc voici ce qui c’est passé.
Anton, mon ami ayant eu cette brillante idée conduisait. A 20h30, la destination se trouvait en face de nous. Les attractions abandonnées étaient plongées dans le noir. On pouvait distinguer leur ombres à travers la nuit. Le soleil venait à peine de se coucher. Nous de se séparait et faire deux groupes; un de deux et un deux trois. Alicia, Mathieux et moi nous formions le groupe de trois. Nous empruntâmes un sentier. On y découvrait une grande roue rouillée, des grands huit ou des montagnes russe , deux carrousel ou la peinture s’enlevait et un train au siège en bois détruit. Après, il me sembla marché pendant une heure dans les attractions abandonnées. On s’amusait à se faire peur, on entra dans un manège: La Maison Hantée. Une grande bâtisse avec des fenêtres aux carreaux cassés et un toit pointu. Des planche de bois pendaient de la façade. Des dessins d’épouvantail, de poupées ensanglantées, de loup-garou ou de fantôme la ornaient. Je me mettai à la place du vendeur et invita mes amis à prendre place dans un des wagons. C’est la que j'appuyais sur un bouton mangé par la poussière avec inscrit “DANGER” dessus. Soudain les boutons commencèrent à clignoter puis à s’allumer complètement. Je cru entendre un grincement. Je me retournai et le train disparaissait avec mes amis à l’interieure hurlant de leur venir en aide. Que se passait-il? Qu’avais-je fais? Cela était-il réel? J’appuyais sur les boutons paniqué, rien ne se passa. Je restai la terrorisé par la peur. Puis je m’élançai à la poursuite du train, me repérant grâce aux crissements de celui-ci. Au début je ne fis pas attention au décor, puis comme je ralentissai, je regardai autour de moi. Une atmosphère pesante régnait dans cette maison. Des mannequins destinaient à faire peur se trouvait à ma droite en faisant semblant de manger des bras, des jambes et autre parties du corp. A ma gauche défilait des meubles bougeant comme par enchantement. J’avançai prudemment, en découvrant des pièces plus effrayante le unes des autres. Des os, des squelettes, des toiles d’araignée parcouraient le sol, les murs et le plafond. Le silence devenait angoissant. Le mécanisme des zombies roulait sur les rails, les têtes bougeaient et parfois je croyais entendre des cris. J’entrai dans une pièce où plusieurs têtes de clowns me fixaient. Il me faisait l’effet d’une douche froide. L’épouvante de se spectacle me donnait la chair de poule. L’impression qu’ils me suivaient du regards lorsque je marchai m’effleura l’esprit. J’entendis des bruits de pas derrière moi. Je me retournai, et un clown tenant un verre d’eau soutenait mon regard. Je continuai mon chemin mais les pas se rapprochaient de plus en plus. Je me retournai encore une fois, et le clown avait disparu. Un étrange liquide coulait du plafond. Je levai la tête. Le clown tenant le verre d’eau contemplait mon visage, la tête en bas les pieds en haut. Je continuai mon avancée, le front trempé de sueur. Une lumière vive s’approcha de plus en plus vite. Me revoilà dehors. Je rejoins en courant mes amis encore abasourdi de ce qui venait d’arriver. Quand à moi je ressassai les événements dans la pièce aux clowns. Il avait disparut! Je n’étais quand même pas fou? L’alcool donnait des hallucinations? Non, impossible. Les dernières minutes vécu appartenaient au surnaturel, c’est ça, je ne vois que ça! Un grésillement dans les hauts-parleurs se fit entendre. Une musique s’éleva dans le ciel. Les lumières s’allumèrent d’un coup, les manèges se mirent en marches puis pris de panique Alicia, Mathieux et moi courions à en perdre haleine. On se réunissait autour de la voiture pour parler de cette soirée. Apeurés, Anton et Mathilde nous rejoignaient aussi vite qu’ils le pouvaient. On devait lire la terreur sur mon visage car ils me demandèrent tous si je me sentai bien. Ma montre indiquait 23h passé. J'avais les jambes en coton et du mal à parler.Mon coeur battait la chamade et mes doigts tremblaient. Des larmes chaudes ruisselaient sur tous nos visages. Je me sentis défaillir puis plus rien, le trou noir.
Je me suis réveillé le lendemain sur un lit d’hôpital avec un énorme mal de crâne.
Commentaires
Bonjour,
j'ai aimée ton idée de parc d'attraction hanté, tu as bien placé ton phénomène surnaturel, on arrive à ressentir facilement les émotions et on sent immergé par l'histoire de ton personnage. Je n'ai pas bien compris pourquoi le clown avait un verre d'eau dans la main mais j'ai trouvée sa drôle et original.
Bravo pour cette belle histoire effrayante.