Un bruit surprenant... (Anne T., 4e7)
Par Pablo Picasso 4e7 le 20 décembre 2017, 17:11 - Lien permanent
Un bruit surprenant…
Il était environ deux heures du matin lorsqu’un bruit aigue venant du grenier me réveillai, j’essayais de me persuader que ce n’était que l’effet de la fatigue, mais je n’y parvenais pas. Après un long moment de réflexion, je décidai de me rendormir. Soudain, un deuxième bruit encore plus assourdissant que le précédent retentissa. Qui est-ce ? Qui est la ? Quelques minutes plus tard, je me devais d’aller voir à l’étage car le mystérieux son résonnait encore dans ma tête. J’allumai une bougie et pris l’escalier qui montait au grenier, dans le silence de la nuit sombre,on entendait le grincement des marches en bois.
Tout en haut se trouvait une porte, j'étais apeurée à l’idée de tourner la poignée, je tremblais de peur. Lorsque j’ouvris la porte, je pouvais sentir une odeur de moisis qui embaumait la pièce,il faisait chaud, je transpirais, j’allumais la lumière (qui éclairait peu) et posais la bougie sur une étagère murale. La pièce était couverte de toile d’araignée. Je m’assurais que j’étais seule et j’aperçus derrière de vieux cartons, un piano, je l’observais attentivement et comme je n’avais plus sommeil, je libérais l’espace pour jouer un morceaux. Quelques instants plus tard, je me mis à jouer une charmante mélodie, la flûte enchantée de mozart. Soudain, une force incroyable me metta debout comme si on me tirait vers le ciel, je sursautai et regardai mon siege mais il n’y avait rien d’anormal, je crus devenir folle. Après ce mouvement surprenant, je sentais une présence. Qui est-ce ? Un pied du tabouret de leva comme si un homme se mettait sur un pied...j’étais surprise qu’il ne tombe pas! J’eus tellement peur que je voulus partir, mais j’étais paralysée, le tabouret était devant moi, pourtant, j’étais certaine de l’avoir contourné. Je fis un pas de côté mais l’objet s’était lui aussi décalé. Je recommençai l’opération vers la gauche puis vers la droite, le siège suivait mes mouvements ! Pour être certaine que je n’hallucinais pas, je m’essuyais les yeux plusieurs fois, je n’arrivais pas à y croire. Je ne pouvais plus sortir, j’étais emprisonnée. La lumière clignotait, j’étais effrayée. L’objet me regardait comme s’il était furieux d’avoir été enfermé. La lumière s'éteignit, il me restait la bougie qui elle,éclairait la porte. Je sortis et avant de fermer je distinguais les meubles disposés comme avant, comme si il ne s’était rien passé...
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