INQUIETANTES ETRANGETES

Ce n’était jamais trop prudent de se promener dans les rue de Beacon, par ce temps ci, à cette heure là,il faisait si froid. Je levais les yeux au ciel, c’était la pleine lune et elle éclairait tant bien que mal ces rue lugubre. Il était presque minuit, maman m’avait demandé  d’aller porter des couverture chaude a grand-mère. Comme vous pouvez l’imaginer elle ne s’inquiète pas beaucoup pour moi. Quel genre de parents exemplaire laisserait son enfant d’à peine dix ans sortir seule au beau milieu de la nuit ? Mais sa me faisait plaisir,je voulais dire, de voir ma grand mère. Pour me rendre chez elle, je devais passer par la salle de fitness. Il était tard et elle était déserte mais la journée il y avait toujours une trentaine d’homme et de femme qui s’entraînaient pour se créer des muscles en bétons. J’étais entrain de rentrer à la maison quand, en passant devant ce bâtiment de sport, je sentis comme un courant d’air glacial m’effleurer la peau. La porte d’entré était entrouverte et un brouillard fondue dans la masse en sortait. Je me disais, au fond de moi, que je devais faire demi-tour et rentrer chez moi. Mais le côté de curiosité qu’ont tous les enfants de dix ans me disais d’entrer. Je n’ai pus résister et j’entrais donc dans la salle de sport mais quand j’ai ouvert la porte, il n’y avait plus de brouillard, comme s’il s’était évaporé. J’avançais péniblement, le vent semblait être lourd et pesait sur mes pas. J’appuyais sur l’interrupteur pour voir ce qu’il y avait autour de moi. Des altères, des tapis de course, des vélo électronique, des machines à squat, des barres de tractions… tout le matériels sportif de grand athlète. je les observait et d’un coup, les lumières se sont éteintes je continuais d’appuyer sur l’interrupteur mais rien. Je n’avais pas peur, enfin c’est ce que je pensais. Ce n’était sûrement qu’une coupur de courant soudaine. Je voulais seulement me concentrer à savoir par où j’étais entré pour en sortir mais je ne sentais même pas la moindre brise de vent puis j’entendais un bruit sourd et strident à la fois, comme un objet qui roule. J’entendais également un horrible bruit, on aurait dit du fer, des barres de fer qui se frottaient et claquaient.

Soudainement, les lumière s’allumait lentement et péniblement, jusqu’à ce qu’elles s’allumaient complètement. J’apercevais les machines de sport allumées, les barres de tractions était sur le sol et s’entre-touchés et des poids étaient positionné juste devant mes pieds. Que c’était-il passé pendant que j’étais plongée dans cette légère obscurité ? Y avait-il quelqu’un présent avec moi dans ces lieu? Je ne savais plus quoi penser, mais je me sentais, maintenant terrifié et perdue. Instantanément, les porte mettait à claquer, les fenêtre  s’ouvraient et refermaient, les les tapis de course se mettaient en marche, une alarme incendie sonnait… Puis, je craquais et criais, je criais à pleins poumons, au point de ne plus entendre mon propre écho et tout s’arrêtait. Plus rien. Juste le vide, le silence et une enfant de dix ans, qui ne savait plus où donner la tête, se tenait debout. Je paniqué en silence, et il me semble, que je ne pouvais plus dire un mot. Je reculais, je voulais sortir de cet endroit. Je tatonnais les murs pour trouver la porte mais rien. Le mur était lisse. Pas de porte. Je ne pouvais pas sortir. Enfaite, je n’étais jamais entré...