La malédiction-kenza
Par Pablo Picasso 4e5 le 20 décembre 2017, 11:07 - Lien permanent
J'étais dans mon salon. Il était vers 19 h 30, ma femme n'étais toujours pas rentré.
J'étais dans mon salon.Il était vers 19 h 30, ma femme n'était toujours pas rentré. J'avais terriblement faim.
En attendant je me poser sur mon fauteuil au coin du feu avec mon journal, je n'avais pas de télévision pourquoi entendre des choses inutiles à longueur de journée ? C'est pas pour moi.
Vers 20h la porte sonna, je pensais que c'était sûrement ma femme, j'ouvris la porte rien certainement une mauvaise blague.
C'est à ce moment là que, j'entendis un petit bruit comme si quelqu'un marcher tout doucement derrière moi tétaniser je ne bouge plus, puis le bruit comment ça a devenir de plus en plus fort.
Comme si il avait un animal comme un cheval, dans mon salon. Puis quand je me me décider à regarder derrière moi, le fauteuil commença à bouger, à galoper dans tous les sens à devenir « fou » , je ne comprenais pas ce qui ce passé.
Puis le feu de cheminée que j'avais allumé à mon arrivé chez moi commença à devenir étrange, juste après le piano aussi me joua des tours, il commença à marcher comme un taureau qui vit du rouge après les oreiller qui était par terre à cause du fauteuil deviennent des petit oiseaux qui voler dans toute la maison.
Puis les animaux où plus tôt je devrais dire mes meubles d’un coup commençait à se rapprochaient de moi. Je reculais mais je ne pouvait plus, il avait la porte avec le vent se referma, j’étais piéger. Puis les meubles se remit à leur place habituelle, désemparé je pris mon fusille et je commencer à tirer sur les meubles.
Est-il mort? vivant?qu’est-ce?un esprit?une malédiction?un rêve?
Ma femme rentrait vers 21h30 les minutes passé comme des heures.
Quand elle ouvra la porte c'était le soulagement enfin,puis elle alla directement s'asseoir sur le fauteuil et prit un coussins et le mit pour se caler la tête. Prit de panique je lui dit de ne pas s’assoir, elle compris pas tout de suite, elle me dit:
“c’est quoi tout ce bazarre”
avec une gorge nouée je répondis:
“c’est le fauteuil, les coussins et le piano.”
Elle me regardait d’un air intéressé de savoir ce que j’allais encore lui inventée.
C’est à ce moment là que je lui expliqua toute l’histoire.
Elle me dit tout simplement:
“ en 20 ans de mariage tu m’auras tous fais”.
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