L'étrange moment (Nassim 4e5)

Une soirée comme les autre va se transformé en un horrible moment...

C'était un soir comme les autres, il était environ 10 heures et j'allais manger quand j'entendis un grincement, un grincement comme celui d'une craie sur un tableau. Je crus que c'était l'armoire mais non et ce bruit recommença encore et encore. J'étais de plus en plus terrifié, c'était un cauchemar, je ne pouvais plus supporter ce bruit. Des frissons traversaient mon corps, j'étais paralysé, je pensais que mon imagination me jouait des tours mais non. J'eus l'impression que j'étais surveillé, quelque chose ou quelqu'un me surveillait et faisait des bruitages pour me paralyser, j'étais comme une statue qui ne pouvait ni bouger, ni parler. Je me débattais pour essayer de sortir de cette emprise mais mon état était de pire en pire.

 

 

Puis, ma tapisserie se mit à bouger, à bouger comme si quelque chose allaient en sortir. C’était une grande broderie sur le mur de mon salon. Elle était rouge, il y avait dessus deux cavaliers dans un pré et près d’eux il y avait un autre cavalier abattu. Ce grincement devenait de plus en plus fort, ma tapisserie bougeait de plus en plus. Serais-je devenu fou ? Que m'arrivait t-il ? Je ne le savais  pas . J'étais sous l'emprise de quelque chose qui me terrifiait. Je pensais encore que toute cette aventure était dûe à mon imagination et que je devenais fou. Je regardais ma tapisserie qui elle aussi se débattait et qu’on aurait dit qu’elle était sous l’emprise de quelque chose. Soudain, les deux cavaliers cousus sur ma tapisserie en sortirent très énervés.

 

 

Je me disais que c’était eux qui faisaient bouger ma broderie. Ils semèrent le désordre dans le salon, je tremblais de terreur car je ne pouvais ni parler ni bouger ce qui me rendait vulnérable. Je me dis que derrière leur visite innatendue, il y avait une arrière pensée et qu’ils voulaient peut être quelque chose dans la maison. Alors ils s’élancèrent vers moi à toute allure, je pensais que c’était la fin pour moi  mais contre toute attente ils me demandèrent tout simplement que je quitte la maison et que je leur cède. Mais je ne pouvais encore ni parler, ni bouger. Alors ils prirent cela pour un refus, ils s’élancèrent et sautèrent sur moi ...

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