INQUIETANTES ETRANGETES

C'était en Russie, j'avais loué une petite maison à côté du château dit des exilés. Il était célèbre pour ses tapisseries et ses armures. Il avait été fortement endommagé lors de la dernière guerre et récemment totalement restauré. Aujourd'hui ouvert au public. C'est d’ailleurs cette semaine que je vais le visiter ! Quand le jour J était venu, j'étais si impatient ! Une fois devant le château, je remarquais qu'une des tours du château n'était pas restaurée. J'entrais dans la grande coure du château qui semblait encore plus impressionnant de l’intérieure.

Lorsque j’entrais dans la fameuse salle des armure. Je fut d'abord émerveillé par toute les armures si massive mais après quelque minute je crus sentir comme un souffle sur ma nuque je crus à un courant d'aire. Je change alors de salle pris par le sursaut de se courant d'aire. J'entrais dans une pièce rempli de tapisserie sur tout les murs du long et sombre couloir. Puis un bruit me fit tourné la tête, c'était un bruit assez furtif. Au même moment j'entre aperçus une ombre, je me dirigea alors vers cette ombre. Au tournant du couloir je ne vis juste qu'un homme habillé d'une redingote noir, il était tout en noir d'ailleurs. Il portait un chapeau qui m’empêchait de voir son visage. Lorsqu'il tourna la tête je vis son regard perçant me scrutait de la tête au pieds. Je fus pris d'un grand stress. Je me repris assez vite. Gêné, je me mis à observé les tableaux, je remarquais que ce n'était que des scène soit de guerre soit de meurtre, je fus alors très surpris je ne pensais pas que le château renfermait de tel tapisseries si étrange. Qui irait mettre des tapisseries de guerre ou de meurtre? Lorsque je voulus voir si l'homme était encore là mais je vit qu'il était comme disparut il n'avait fait aucun bruit. Lorsque je partis dans la salle suivante, je revis le même homme en redingote noir, je tentas alors d’entamé le dialogue, mais l'homme semblait pas comprendre ce que je lui disait. Alors je me mis à regardé la salle au début, avec la faible lumière je ne comprenais pas vraiment l'utilité de cette pièce mais c'est après que je compris que c'était une salle de torture. Je fus d'abords étonné de l'emplacement de cet salle. Mais en me retournant, je vis que l'homme en noir ne regardait pas la salle mais me regardait très fixement. Je dirigeas alors vers l'autre d'abord je ne vis personne derrière moi puis en regardant devant moi je revis l'homme en noir qui me regardait au bout du couloir. Avec le sombre éclairage on aurait dit qu'on ne voyait que ses yeux. Inquiet je fis tout de suite demi-tour. C'est sûrement un hasard qu'il me regardait comme ça. Mais il continuait à me fixer avec ce regard perçant. Il continuait de m’inquiéter plus de en plus. Je pensais d'abord à m’enfuir mais les portes ce fermèrent. Je ne compris pas tout de suite la situation. Le temps que je compris que je ne pouvais pas ouvrir les portes, l'homme en noir avait disparue.

Ou était-il passer? Les portes s'ouvrit brusquement je me précipita alors vers la sortie mais en allant dans la cour, je regardas en l'air. Il faisait nuit! De plus le château devait être fermé depuis quelque heur déjà. Puis en regardant devant moi , je le vis l'homme en noir mais au lieu de me fixer, il se déplaçait d'une manière étrange on aurait dit qu'il flottait ses pas ne faisait aucun bruit. Je tentas de lui demandait ce qu'il me voulait mais il ne répondait pas. Je voulus me déplacer je ne pouvais pas, j'étais comme gelé. Tandis que je voulus bougé l'homme en noir continuait de me fixer. Et comme par enchantement je fus libérer. La porte s'ouvrit et je partis. Cela me semblais étrange qu'il me laissait partir ainsi sans aucun explication.

Une fois dehors, la ville était plongé dans un noir presque terrifiant on voyait pas à quelque mètre. Les lumière de la ville éclairait comme les torches du château. Quand je vis ma maison, j'aperçus une lumière allumé dans la maison. Je pensais d'abord à mon colocataire qui m'attendais mais lorsque je regardas à la fenêtre. Je n'en crus pas mes yeux, l'homme en noir était là !