L’hôpital abandonner, Olivia P. 403 Blaise Pascal
Par Blaise Pascal 4ème3 le 18 décembre 2017, 13:32 - Archives - Lien permanent
Il y avait tout juste quatorze ans à Marseille, l’hôpital Saint Pierre-Saint Paul ferma ses portes brusquement !!!
Il y avait tout juste quatorze ans à Marseille, l’hôpital Saint Pierre-Saint Paul ferma ses portes brusquement !!!
Il y avait eu une maladie inconnue de tous, les médecins, chercheurs et patients avaient été contaminés ! Et l’hôpital avait été mis en quarantaine. Ne trouvant aucun remède ils avaient pris la décision de fermer l'hôpital et de l’abandonner. On raconte que tous ceux qui avaient été contaminés étaient encore dans l’hôpital. Mais ne sachant pas l'état dans lequel ils étaient, il était trop risqué d'y pénétrer !
Moi c'est Lauréna j'ai vingt cinq ans je suis grande, mon compagnon se prénomme Eliot. Cela fait maintenant trois ans que nous nous côtoyons, mais c'est tout ce que vous saurez de nous.
Tous les soirs en rentrant du travail, je passais devant ce fameux hôpital abandonné. Lorsque je regardais bien, je pouvais apercevoir des étranges silhouettes mais je ne savais pas si c’était l'ombre des arbres ou le fruit de mon imagination....et Dieu sait quelle est fleurissante. En connaissant le passé de ce lieu je n'étais pas rassurée, mais je voulais y rentrer pour faire une expérience un peu délirante...
Un soir, en se dirigeant vers cette maison de santé !! avec mon compagnon Eliot qui avait à l'époque vingt-six ans, je lui avais expliqué l'histoire liée à ce drôle de lieu...
« Je voyais …. tu serais capable de rentrer avec moi pour voir ce qui se cache dans cet endroit étrange ?? »
Il avait répliqué :
« C'est risqué non ?? »
Je lui avais répondu :
« Mais non de tout façon il ne devait plus rester de survivants mais il devrait rester des corps »
il m'avait expliqué :
« Je veux bien mais on reste pas longtemps »
Nous nous étions glissés à travers le grillage traversé les haies immenses qui n'avaient pas été taillées depuis plusieurs années. Puis nous étions arrivés devant cette porte vitrée salie...sans savoir ce qui nous y attendait. L’adrénaline commençait à nous envahir. En nous y introduisant, il y avait écrit sur une des portes avec du sang «Help!!!» ça n'était pas rassurant, des corps au sol nous avions pensé que c’était les malades, chercheurs et patients atteints de la mystérieuse maladie ?
Mais en regardant en face de nous, un homme était passé au fond du couloir en courant, il était vêtu d'une blouse blanche , nous n’avions pas vu clairement son visage, mais une question nous trottait ? Comment cet homme aurait pu rester en vie si longtemps? En traversant le couloir pour comprendre pourquoi des gens se déplaçaient alors que tout le monde auraient du être morts. Dans certaine chambre des corps au sol, mais dans d'autre il y avait des survivants,on pouvait avoir le sentiment, qu'ils étaient morts mais aussi l'impression qu'ils étaient vivants ...
Nous nous étions diriges vers le réfectoire, nous étions rentrés, mais les fenêtres étaient barricadées. Au sol un homme en plein sommeil, nous le touchions pour voir l'état de sa peau mais sa peau était toute à fait normale. L'homme en question s'était réveillé, il pris vite son arme et nous l'avait pointé sur nous. Il avait tout de suite vu que nous n'étions pas contaminés, il avait baissé son arme et nous avait demandé ce que nous étions venus faire dans ce lieux étrange ? Nous lui avions expliqué que nous avions vu des hommes et des femmes nous courir après et que nous ne comprenions pas pourquoi ils étaient si agressifs en vers nous. Il nous avait expliqué qu'il était chercheur et qu'en deux jours tout le monde était devenu malade. il nous informa qu'il était le seul survivant et qu'il n'avait jamais osé sortir de sa cachette. Nous lui avions demandé s'il voulait repartir avec nous, et trouvé une solution pour sortir. Mais sans hésiter il nous avait dit :
« J'ai peur de ce qu'il y a derrière cette porte, je ne veux pas prendre le risque de me faire attaquer et finir dans leur état. Donc pour ma part je resterais là jusqu’à mon dernier soupire ! »
Suite a l'annonce de cet inconnu, nous décidions de sortir de la cantine pour trouver une porte de secours pour nous sauver de ce lieux hostile.
En rentrant dans un autre couloir, Eliot fit grincer une porte qui avait fait un bruit monstrueux, qu'on entendit. Les médecins et chercheurs arrivèrent derrière nous, Eliot m'avait pris par la main et nous avait enfermé dans une chambre où se trouvait deux personnes. L'une était morte mais l'autre était vivante, mais attachée au lit, j'avais dit à Eliot :
« Qu'est ce qui se passe ici ?, Que leur est-il arrivé ? »
Eliot répliqua :
« Je ne sait pas ? »
Je lui dis :
« Mais si la maladie est inconnue et que personne ne sait comment ça été déclenché?Peut-être dans l'air ! au touché ! avec de la nourriture ! Comment allons-nous faire pour ne pas finir dans le même état ? Mais je me demanda, si c'était vraiment une maladie ou un phénomène étrange qu'on voyait dans les films ? »
Eliot m'avait répondu :
« Je ne pense pas qu'une simple maladie les ai rendu dans un état pareil, les avoir fait vivre aussi longtemps sans rien, ni nourriture ni eau, on a l'impression qu'ils sont possédés, et tu les as vu comme moi ils sont affamés de sang, de viande bien vivante! Nous ne sommes pas des simples visiteurs mais des proies !».
Mais là d'un seul coup, le malade qui était attaché, c'était détaché, nous n'avions pas vu que la sangle qui le maintenait était abîmée, il s'était mis à marcher vers nous. Nous nous étions mis à courir.
En sortant de la chambre, il y avait cette bande de fous qui s'était mis à nous poursuivre. Nous ne pouvions pas sortir, nous étions apeurés, nous nous étions dirigés dans un autre couloir mais nous tombions dans une impasse...
Paniqué je lui avais répondu:
«Je ne sais pas? … C'est une drôle de maladie ! ...Je ne sais même pas comment nous allons sortir de cet hospice????»nous avons hurlé, et de peur nous nous étions évanouis...
Commentaires
Bonjour Olivia, superbe histoire, le doute et la peur sont la. Je trouve qu'il y a quelques points d'interrogation en trop comme dans "nous n'avions pas vu clairement son visage, mais une question nous trottait ? ". Des petites fautes" ... tout le monde aurait (et pas auraient ) dû être mort". Sinon tu as beaucoup d'inspiration, les phrases sont bien formulées et les endroits de l'hôpital bien décrits.