La bête venue de nul part, Morgan P. 403 Blaise Pascal
Par Blaise Pascal 4ème3 le 18 décembre 2017, 13:31 - Lien permanent
C'était un jour d'hiver, dans le village de Mitte, petit village de Norvège où se trouvait le petit garçon qui s’appelait Gustave. I
C'était un jour d'hiver, dans le village de Mitte, petit village de Norvège où se trouvait le petit garçon qui s’appelait Gustave. Il avait 14ans. Sa mère travaillait loin, et son père était partis en mer. C'est une nourrice qui s'occupait de lui. Mais une fois le soir arrivé, la nourrice rentrait chez elle et laissait donc Gustave tout seul chez lui. Gustave avait peur quand il était tout seul chez lui. Un soir alors qu'il était alors qu’il regardait la télévision, il cru entendre un bruit dehors. Inquiet, il regarda par la fenêtre, il cru distinguer une ombre. Il regarda plus attentivement. L'ombre avait disparu. A partir de ce moment Gustave eu peur toute la soirée. Il avait hâte d'être le lendemain pour en parler à sa nourrice, même si elle ne l'aurait probablement pas crut, car Gustave faisait beaucoup de blagues et du coup plus personne ne le croyait. Se fut la nuit la plus longue de toute sa vie.
Le lendemain, il parla à sa nourrice de ce qui c'était passé, évidement elle ne le crut pas et se contenait de rouler de son histoire avec un air entendu. Une semaine plus tard, Gustave alors qu’il avait oublié l’incident, il ré-entendit ce bruit très étrange. Il regarda par la fenêtre encore une fois, et il distingua la même ombre, la même forme, au même endroit. Pris de panique il cria. L'ombre se tourna vers lui et commença à courir jusqu'à la fenêtre, Gustave monta l’escalier quatre à quatre et se barricada dans sa chambre, où il se réfugia sous son lit. Il entendit un bruit de vitre se casser. Il eut encore plus peur car il savait que l'ombre était rentrée dans sa maison. Il entendit des bruit d'objets brisés pendant un temps qui lui parut interminable.. Puis il entendit des bruits de pas s’approcher de sa chambre. Curieux, mais inquiet il regarda la porte s’ouvrir, depuis sa cachette. Surpris, ce qu’il voyait n’était pas un homme, mais bel et bien une bête, elle se tenait sur c'est deux pâtes arrière. Elle grogna et renifla, puis s’en alla aussi vite qu’elle était venue. Au petit matin Gustave épuisé sortit de sa cachette.
Une heure après la nourrice arriva. Gustave sauta dans ses bras, encore terrorisé il lui dit en bégayent « Un monstre est rentré dans la maison cette nuit! ». Cette fois la noircisse vit les dégâts dans la maison et fut bien obligée de constater que quelque chose c’était passé. Ell décida de rester la nuit avec Gustave.
Deux semaine plus tard. Il ne s’était rien passé. Quand soudain le même bruit se fit entendre. Il vit l’ombre dans son jardin entrain de creuser un trou. Il courut jusqu'à sa nourrice et l’amena jusqu'à la fenêtre. La nourrice qui était une forte femme, prit ce qu’elle trouva, un balai et se précipita dehors en hurlant. Le monstre se redressa, la regarda et émit un hurlement qui déchira les tympans, la nourrice s'évanouit. Le monstre l'emmena. Malgré la panique Gustave attrape son manteau et se précipita dehors. Le monstre avance lentement dans la nuit; et il put le suivre à distance. Il marcha dans la forêt jusqu’à des rochers. Le monstre y entra avec la nourrisse sur son dos.
Comme il n’entendait plus rien, Gustave oubliant sa peur le suivit dans la grotte.
Le couloir étroit et sombre débouchait sur une salle éclairée par une torche. Gustave vit le monstre allonger la nourrice sur une peau de bête. La nourrisse commençait à se réveiller elle hurla en voyant le monstre. Mais comme celui ci restait immobile, elle finit par arrêter de crier et le regarda. Gustave était paralyser et incapable de faire quoi que ce soit.
Alors le monstre avec une voix claire lui demanda: Dis moi Madame veux tu faire un gâteau? Comme ceux que tu fais pour Gustave, avec des pommes et de la crème…? Et je te laisserai repartir chez toi. Mais si tu dit non, je te tuerait.
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