Mauvais rêve, Théa. S. 403 Blaise Pascal

C'est durant cette après-midi du 29 juin que le professeur de français a voulu me parler. Je me trouvai dans une immense salle d'école.

C'est durant cette après-midi du 29 juin que le professeur de français a voulu me parler. Je me trouvai dans une immense salle d'école. La salle était pleine de petites tables pour les élèves et une grande table pour le professeur de français avec un tableau à sa disposition. Dans la salle d'école il y avait que moi et le professeur de français. La salle était sombre car la salle ne disposait que la lumière du jour, il y avait aucune lampe. Il y avait des toiles d'araignées dans tous les angles de murs et aux fenêtres. Les tables étaient toutes en bois et s’effritaient après tant d’années passé dans cette salle de classe. Il me parla quelques secondes puis s’en alla sans aucune raison. Tout à coup, la porte claqua, la lumière du jour disparu d’un coup et les fenêtres commencèrent à glacer comme si quelqu’un venait de rentrer dans la salle. C’est en relevant la tête que je vis cette ombre blanche venu tout droit des ténèbres, elle était toute glacée, on pouvait distinguer ses yeux tout fripés et de couleurs vert. On pouvait distinguer aussi son nez aplatie et sa petite bouche. Elle était habillée avec une robe longue pleine de trous. Elle ouvrit la bouche et toute les fenêtres se brisèrent puis l’ombre s’est approché de moi et commença à rentrer dans ma tête, c’est pour cela que je me suis levé et je me réveillai de cet affreux rêve, le professeur m’avertissait sur mon comportement en classe.

Était-ce la fatigue ou mon imagination qui me jouait des tours ?

 

 

Quelque semaine plus tard j’avais encore ce rêve qui n’arrêtait pas de tourner dans ma tête. J’avais décidé de ne pas en parler avec ma mère car j’ai très peur de sa réaction. Étant petit j’ai eu beaucoup de rêve de ce genre. Quand j’ai aperçu le visage de l’ombre il y a quelque semaine j’ai eu une impression de l’avoir déjà vu dans mon enfance. Je ne voulais pas en parler à ma mère mais en même temps j’ai beaucoup de questions sans réponses. J’ai l'impression que ça a un rapport avec la mort sans raison de mon père.

 

 

Je décide quelque jours après d’en parler avec ma mère car ce rêve m’envahissait la tête. J’appréhendais beaucoup de comment la discussion allé tourner. J’entrais dans la salle principale de la maison, ma mère comme à son habitude était couché dans le canapé regardant des films d’amour avec des paquets de sucrerie depuis que mon père est partie. J’engageais la discussion :

-« Maman ? Disais-je

-Oui ? Répondit ma mère

-J’ai fait un rêve étrange il y a quelques semaines et j’aimerais en parler avec toi car j’ai l’impression que mon rêve à un rapport avec la mort de papa ! Disais-je

-« J’ai pas envie de parler de papa aujourd’hui ! Répondit ma mère d’un ton énervé

-« Maman s’il te plaît je n’arrête pas de pensé à ce rêve, j’ai l’impression que ce n’est pas un rêve mais plutôt un passage étrange de mon enfance. Disais-je

-« Arrête de me parler de ton père s’il te plaît tu ne voies pas que je ne suis pas bien j’en dors plus la nuit tellement que je pense à lui jour et nuit. Disais ma mère avec un ton de tristesse

-« Et moi alors, quand je suis à l’école et que j’essaye de me concentrer j’ai ce rêve dans ma tête, toute les nuits je refais le même rêve, je mange et je pense encore à ce rêve qui me hante l’esprit ! Alors s’il te plaît écoute-moi ! Disais-je d’un ton triste

-« Raconte-moi ton rêve ! Disais ma mère

-« Un jour, le professeur de français voulais me parler de mon comportement en cours, puis la minute qui suit il y avait une ombre avec une tête étrange et un teint pâle. J’avais l’impression que l’inconnu était rentré dans ma tête et ma laisser un mot. Le…. Disais-je

-« STOP ! Ton rêve n’a aucun rapport avec ton père jeune-homme, va dans ta chambre! Disais-t-elle

-« Mais maman j’ai pas fini de raconter ! Disais-je

-« VA DANS TA CHAMBRE ! Cria-t-elle

-« Tu set même pas ce que la personne a écrit sur le bout de papier ! Disais-je

-« Il y avait écrit quoi ? Disait-t-elle

-« J’ai tué ton père de mes propres mains ! Disais-je d’un ton énerver

-« Va dans ta chambre ! Disais-t-elle en pleurant. »

Après cette discussion je filai dans ma chambre et m’endormis.

 

 

 

Quelques mois plus tard, j’avais complètement oublié ce rêve. Un jour je rentrais à la maison comme chaque soir après les cours et en rentant, la maison était vide. Il n’y avait même pas ma mère allongé sur le canapé en train de regarder des films d’amour. Je me posai beaucoup de question. Mon premier geste était d’aller voir dans sa chambre, mais personne. Dans la salle de bain, personne. Dans la cuisine, personne. Dans le garage, personne. Ma mère avait quitté la maison sans prévenir. Ma mère cachait toujours un téléphone de secours dans son armoire. En prenant le téléphone de secours, une boite en verre avait cassé à mes pieds. C’était sa boite à bijou mais à l’intérieure de cette boite un petit bout de papier accrocher avec un collier m’intriguais.

Au même moment la porte de la maison claqua et j’entendis ma mère rentrer. Je rangeai tout dans son armoire sauf le petit bout de papier que je gardai dans ma poche et je partie de la chambre de ma mère. Elle été partie chercher du pain à la boulangerie du coin. Après lui avoir dit « bonjour » je partie dans ma chambre faire mes devoirs mais surtout regarder ce que contient le petit bout de papier que j’ai trouvé dans sa boite à bijou. Quand j’ouvris le petit bout de papier j’eus très peur et commencèrent à pleurer. Sur le petit bout de papier, était inscrit la phrase « j’ai tué ton père de mes propres mains » exactement comme dans mon fameux rêve que j’avais enfin réussi à oublier. Après avoir vu ce message je me dirigeai en courant dans la pièce principal pour en parler avec ma mère mais ma mère ne voulait pas répondre à mes questions. J’essayais de poser des questions :

-« Est-ce que la personne que j’ai vu dans ma rêve existe vraiment ? Demandai-je

-« Oui. Répondit-elle froidement

-« Mon rêve n’était pas vraiment un rêve mais un passage de mon enfance qui a mal tourné ? Demandai-je

-« Oui. Répondit-elle froidement

-« Et cette personne a tué papa ? Demandai-je

-« Oui. Répondit-elle froidement »

Après cette discussion je retournai dans ma chambre sans rien dire.

 

 

 

Quelques années plus tard, j’avais enfin oublié cette période de ma vie définitivement. J’avais retrouvé une vie normale à la maison et à l’école. Et ma mère avait aussi repris une vie normale, elle avait du travail et avait refait sa vie avec un homme qui la rendait heureuse chaque jour. Ma mère attendait un petit garçon avec mon beau-père et moi j’avais la tête en plein dans les révisions car je passais mon brevet en fin d’année.

Mais cette histoire est-elle vraiment terminer ?

 

 

 

 

 

 

FIN

Commentaires

1. Le 08 janvier 2018, 13:47 par yanis

Bonjour Théa

J'ai vraiment aimé ton texte car je trouve qu'il y a beaucoup de suspens du début jusqu'à la fin du texte et que j'ai été plongé dans la peur et le doute parce qu'on ne savait pas qui était la personne qui avait écrit sur le papier "j'ai tué ton père de mes propres mains".

Par contre il y a des moment où tu aurais pu éviter les répétitions comme quand tu as répété "demandai-je" et "répondit-elle froidement" sur plusieurs lignes d'affilé.
Sinon super texte BRAVO!!

2. Le 08 janvier 2018, 13:54 par wasim

Bonjour j'ai beaucoup aimé ton texte car il était attirant la peur était bien présente mais attention aux répétitions (demandai-je) sinon très bon texte .

3. Le 09 janvier 2018, 20:48 par Enya

Bonjour Théa.
Ta nouvelle m'a bien donnée le doute et quelques frissons. Elle attire le lecteur car il y a un suspens qui règne sur le bout de papier et la personne qui avait celui-ci. Par contre il y a trop de répétitions au niveau de tes dialogues, par exemple:« Maman ? Disais-je

-Oui ? Répondit ma mère

-J’ai fait un rêve étrange il y a quelques semaines et j’aimerais en parler avec toi car j’ai l’impression que mon rêve à un rapport avec la mort de papa ! Disais-je

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