INQUIETANTES ETRANGETES

Je me sentais tellement bien depuis le jour de Noël. J'avais invité ma famille d’Arménie. Cela faisait longtemps que je ne les avais pas vus. Je marchais, en pleurant car il était parti seulement trois jours après. Mais je leur parlais toujours par téléphone. Je partis au bar du village, je disais bonjour à tout le monde car je les connaissais tous.

On buvait verre sur verre sans s’arrêter. Nous étions ivres jusqu'à tomber par terre. J'avais mal à la tête, je n'en pouvais plus alors je rentrais chez moi. Heureusement que je rentrais à pied, car sinon j'aurais fait un accident de voiture. Je rentrais chez moi fatigué, épuisé, le souffle coupée j'allais me coucher avec une douleur atroce à la tête. Puis je me sentais tout fatigué. J'avais une soudaine envie de dormir, alors je dormais comme un bébé. Je me réveillais après une bonne nuit de sommeil, je prenais mon petit déjeuner , me douchais , m'habillais . J'ouvris la porte de ma maison et je vis que le village n'était pas comme avant. C'était mon village d'enfance je pouvais le reconnaître comme on se connaîtrait nous même. La ville était vraiment étrange car je ne pouvais plus la reconnaître. Alors je décidais d'aller à la porte de mon ami. Mais personne... je toquai chez son voisin personne... je toquai chez mon voisin personne... je toquais chez tout le monde mais personne !

Alors j'ai fouillé un peu partout et je vis énormément de toile d'araignées, des souris, et même des rats. On dirait que la ville datait d' il y a deux cents ans. Je n'en croyais vraiment pas mes yeux, c'était presque effrayant. Les maisons étaient à deux doigt de s'écrouler. Je décidai de rentrer dans les maisons et je vis du vieux papier peint avec une cuisine des année cinquante mais elle était déchirée. Je rentrais dans une des chambres et je vis des lits renverser des tables par terre, encore des toiles d'araignées et beaucoup de poussière.

Je marchais encore plus loin espérant trouver quelqu' un...Je vis une silhouette elle était assez étrange mais j' avais quand même envie d'aller voir mais je n' avançais pas plus que ça car elle faisait vraiment très peur. Je n y comprenais vraiment rien sa tête ne ressembler à rien. Elle avait une tête de singe mélangé à un lion ou plus tôt à un chien. Je ni comprenais vraiment rien on ne pouvais pas la cerné. La silhouette avais de grand bras et de toute petite jambes. Plus on s'approchait et plus elle faisait peur. Alors je décidais d'aller voir. Dès que je suis arrivé proche d'elle, elle n'était plus là. Cela faisait vraiment très peur. J'étais perdu... Je ne savais plus quoi faire.

Alors je prenais ma voiture et j'allais dans une autre ville que celle là. Je vis exactement la même chose que tout à l'heure. Des débris partout... Je rentrais dans les maisons exactement la même chose... Des toiles d'araignées partout sur les mur. Je me suis dis que cela pourrait être un rêve ou plutôt un cauchemar vu l'état de la ville. Je me mettait des claques sur mon visage, je me tapais la tête contre les murs, je me pinçais ma peau mais rien. Je n' arrivais pas à me réveiller. Je ne pouvais pas me dire que c'était un rêve. Est ce réelle? Je ne sais pas... Est ce un cauchemar? Je ne sais pas... Je doute encore et encore sans avoir un détail en plus. Je me demandais encore où est donc passé la silhouette? Où sont donc passé tout ces gens qui habitait dans ces belle maisons?

C' était vraiment le pire cauchemar et en même temps la pire journée de ma vie. Tout d' un coup je me sentais vraiment faible comme le jour où j'avais bu jusqu'à tomber par terre. J'avais encore plus mal à la tête. Tout d'un coup je m' écroulais par terre et je me cognais très fort la tête sur le sol. J'avais atrocement mal. Je criais tellement fort de douleur que même les oiseaux en tremblaient. Pendant un instant j'ai cru que j'allais mourir. Je vis une lumière qui éblouissait mes yeux,comme lorsque on se réveillais le matin à cause de la lumière qu'allumait nos parents exprès pour nous réveillaient.

Et c'est à se moment là que je me réveillais chez moi sans aucun souvenir de ce qui c'était passé. Le village était redevenu comme avant. Mais j' avais vu une bosse sur ma tête et même des traces rouges comme si on m' avait mis une claque, alors je me suis dis que je m' était peut être cogner la tête la vielle mais que je ne l'avais pas aperçu.

FIN