La maison presque abandonnée, Emma F. (4e8 Roby)

Tous les jours, en Grande-Bretagne, dans un petit village peu connu, Morgan Robinston faisait son sport de la journée en courant à travers la forêt...


       

 La maison presque abandonné…

   Tous les jours, en Grande-Bretagne, dans un petit village peu connu, Morgan Robinston faisait son sport de la journée en courant à travers la forêt. Un jour, Mr. Robinston, qui se trouvait comme d'habitude dans la forêt  peu éclairée, vit une femme assise sur un banc, très peu distinctement avec un bouquet de fleurs fanées à la main, et plus il se rapprochait du banc, moins bien il voyait  cette femme inconnue,  et arrivé devant le banc en question il n’y avait plus personne et il se dit qu’il était fatigué et donc décida de faire demi-tour.

 

          Le lendemain, il retourna comme à son habitude dans la forêt et cette fois, ni le banc, ni la femme n’étaient présent. L’homme cru réellement qu’il était fatigué, il ne remarqua seulement le jour suivant que sur le sol y était ancré des marques d’un banc qu’on avait dégagé. Plus tard dans la semaine, angoissé par les évènement passé, il décida de changer de trajet, mais cette fois par un passage qu’il connaissait mieux. De loin il vit une maison qu’il n’avait jamais vu auparavant et qu’il trouvait secrète et suspecte. Il décida d’y mettre les pieds, et alors qu’il touchait la poignée de la porte pour y entrer, il fit nuit subitement. Il regarda sa montre et vit qu’il était huit heure et demi du soir à l’heure du souper. Pris d’une frayeur immense,  Morgan rentra chez lui en courant.

 

          Il s’était écoulé quatre heures et demie depuis qu'il avait touché la poignée. Alors il décida, comme il était plus que curieux, de retourner dans cette maison à midi pour ne pas que la nuit tombe dès qu’il aurait touché la porte… Le matin même, il prit son courage à deux mains et ouvrit cette porte. Cette fois, après avoir touché la porte, il était quatre heure et demie... Une fois entré dans la maison, il y faisait très froid. C'est alors qu'il vu une chose qui lui glaça le sang, cette peur était tellement grande que "OUI", c’était sûr, ce n’était pas de la fatigue ces jours derniers mais bien, la réalité…

Commentaires

1. Le 06 janvier 2018, 14:47 par Mewen jlg 4°3 Marcel Roby

Le texte ci-dessus est un bon texte écrit de manière cohérente et réaliste par rapport à la logique du personnage qui cherche à savoir ce qu'il a vu plus tôt dans la forêt mais je trouve que la phrase comme :"ancré des marques d’un banc qu’on avait dégagé."aurait du être écrit autrement.
Le mot "dégagé" fait partit du registre familier et n'à donc pas sa place dans le texte.(exemple: les marques d'un banc qu'on avait déplacé/enlevé)

2. Le 07 janvier 2018, 13:04 par Mewen jlg 4°3 Marce Roby

Je trouve que la maison presque abandonné est un très bon texte, cohérent par rapport a la réaction du personnage principal qui cherche à tout prix a comprendre le mystère de la femme. Mais je trouve que certaine phrases comme: "d’un banc qu’on avait dégagé."
Je trouve le mot dégagé déplacé dans ce contexte il aurait été mieux de le remplacé par "déplacé".

3. Le 11 janvier 2018, 18:45 par Matthieu 405 collège Blaise pascal

Ton texte est sympathique car il respecte l'atmosphère étrange et inquiétante, le personnage exprime bien son angoisse, son stress, des objets étranges ou mystérieux comme la maison et le banc sont bien mis en place dans ton histoire et la concordance des temps est respectée. Par contre, à la place d'un village peu connu, tu aurais pu inventer un nom et tu aurais pu décrire ton personnage un peu plus. À la fin, on attend la suite.

4. Le 17 janvier 2018, 17:58 par mathilde95 blaise pascal 402

Cette maison abandonnée fait vraiment peur
Peut etre que le banc et la femme au bouquet hante cette cabane..
Le mot dégagé fait partit du langage familier et n' aurait pas du etre dans ta phrase.Sinon bonne histoire.Bravo

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