INQUIETANTES ETRANGETES

C'est l'histoire de deux frères,Charles et Daniel.C'était un soir d'hiver,les deux frères jouaient tranquillement à cache-cache car leurs parents s'étaient absentés quelques heures.La partie a été très longue.Charles le plus grand commençait à se fatiguer, il réclama une pause à son frère et s'installa devant la télé.Après trente minutes de pause,il remarqua que dehors sa souffler très fort et les câbles sautaient.Il avait peur, il ne savait pas quoi faire. Il trouva une idée pour ne pas inquiéter son frère.Il lui demanda d'aller se cacher dans sa chambre,et lui il alla se réfugier dans la sienne.Charles essaya d'appeler ses parents à plusieurs reprises, et tout à coup, plus d'électricité.Charles se réfugie dans son armoire figé par la peur, il ne bougeait plus et n'osait pas regarder à travers la serrure de l'armoire. Après cinq minutes d'attente,le téléphone sonna mais quelque chose d'étrange se produit, Charles n'arrivait pas à bouger d'un poil, comme si quelqu'un le retenait. La peur lui prit le dessus et Charles craqua. Il se mis à pleurer tout doucement. Au fur et à mesure du temps le jeune homme vît des choses de plus en plus bizarres. Les objets autour de lui semblaient s'animer. Il sentait qu'on le regardait, qu'on le fixait avec attention. Charles ne se sentait pas bien dans cette armoire il avait besoin de sortir mais un grand monsieur avec son chapeau  l'attendait dans le couloir. Il sentait comme un souffle sur son cou, il se retourna et là la porte de l'armoire s'était entrouverte. Elle laissait entrer une lumière qui dessinait sur le mur une ombre diabolique. L'ombre était très étrange elle ressemblait à un humain en forme d'animal. Elle faisait les cent pas dans la chambre de droite à gauche, un moment elle s'arrêta et regarda dans la direction de Charles. Tout à coup l'ombre sortit du mur et courra dans la direction de Charles, de plus en plus vite, elle n'était plus qu'a cinq mètres de l'armoire, Charles ferma la porte vite, pétrifié. Juste après la lumière s'alluma, Charles ouvra la porte tout doucement et là... il le vit.