Imagination ou Réalité, Juliette G ( 4è3, pablo)

Cela faisait 10 grosses minutes environ que je courais, quand je fus interrompus dans ma course par un cri. Un cri fort et aigu à la fois. J’enlevai de suite mes écouteurs alerter par ce bruit. J’en eu des frissons. Lorsque je cherchais d’où venait le cri, je remarquais que la forêt avait changé de visage.

Comme j’avais l’habitude de faire tous les soirs, après être rentré d’une journée bien chargée, je me vêtis d’un jogging gris et d’un sweat à capuche une fois m’être débarrassé de mon costard cravate.

Peu de gens sortaient à cette heure car le crépuscule, bien que l’on soit fin octobre, arrivait peu à peu. Ces couleurs orangés, qui nous émerveillaient très rapidement, teintaient ce ciel clair.Je sortis donc et longais la courte ruelle de mon village de banlieue, calme à ces instants de la journée, pour arriver à la petite forêt. La majeure partie des forêts avaient une image effrayante et dangereuse seulement celle-là inspirait sérénité et confiance.

Je branchais mes écouteurs sur mon téléphone et les mis pour qu’ils puissent diffuser une musique douce, qui devenait vite envoûtante, et commença ma course quotidienne. Des arbres verdoyants, défilant devant mes yeux, dominaient cette forêt pleine de couleurs et de vie. À ce moment précis toutes mes pensées se radoucissent et mes problèmes s’envolent. Un grand sentiment de liberté s’empara de moi et mes jambes me guidèrent toutes seules à travers ce paysage.

Cela faisait 10 grosses minutes environ que je courais, quand je fus interrompus dans ma course par un cri. Un cri fort et aigu à la fois. J’enlevai de suite mes écouteurs alerter par ce bruit. J’en eu des frissons. Lorsque je cherchais d’où venait le cri, je remarquais que la forêt avait changé de visage. “Où suis-je arriver?” était la seule question qui résonnait dans ma tête. Mes pensées se bousculèrent dans ma tête, je n'arrivais pas à bouger ou à réfléchir car j'étais pétrifié et paralysé par la peur, je devais sembler affolé, et une vaque de froid, comme un souffle, me submergeai.Le plus étrange fut que je ne connaissais pas cette partie de la forêt. Les longues branches des arbres se balançaient violemment à cause du vent d’une violence hors-norme, des sortes d’ombre dessinaient des silhouettes effrayantes, chaque bruits furent synonymes de peur, les plantes paraissaient vivantes tellement elles ondulaient et une lueur. Une lueur très claire, très pure mais qui ne donnait aucune envie de s’en approcher. Peut-être était-ce mon imagination? Sûrement la fatigue m'a-t'elle emportée? Ou n'avais-je pas rêvé et le cri était bien réel? À ce moment là je repensai au cri et d’où il venait.

Il venait de là-bas ! Près des arbres ! Ces arbres près de l'étroit sentier à gauche!

C’est pendant ces quelques secondes que la curiosité pris le dessus sur la peur.

 

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