Frédérique, Rayan B. et Idoya B. (4e5 Collège Marx Dormoy)

Je ne me sentais pas bien, j'avais besoin de parler. 

    Je ne me sentais pas bien, j'avais besoin de parler. J'ai appelé Margaux et je lui et je lui ai donné rendez-vous dans le café ou nous nous retrouvions étant petites. J'ai pris le bus puis j'ai fait un changement, j'avais peur d'être suivie. Depuis que j'étais sortie de chez moi, un homme sombre enveloppé dans un énorme manteau noir marchait derrière moi. J'avais peur. Cet homme, je l'avais déjà vu quelque part, mais ou? J'ai accéléré le pas jusque au café. Margaux était là, elle buvait son thé. Elle avait l'air tranquille et reposé alors que moi c'était tout le contraire. Je l'ai regardée assise sur la terrasse pendant que je traversais la route mais à ce moment-là j'ai vu passer une ombre. J’ai rejoins Margaux et je lui ai montré mes petites blessures sur le bras. C'était ce qui me tourmentait : le soir je n'avais rien et le matin j’étais griffée de partout. Elle m’a regardait bizarrement et m’a dit que c'était sûrement mon chat. Je n’étais pas d’accord : mon chat est hyperactif mais il ne me ferait jamais de mal. Je trouvais ça bizarre. Margaux a changé de sujet et ne me parlait plus que de son week-end de "bonheur" comme elle disait. 

      Je rentrais chez moi après avoir discuter de mes soucis avec ma copine. Plus tard dans la journée j'ai pris rendez-vous chez mon médecin pour qu'il m'examine et découvre l'origine de mes blessures. Une fois sur place le médecin m’a dit que ces blessures correspondent à des blessures d'animal ayant des griffes.

J’ai entendu des chuchotements dans la cuisine, je me suis levée prudemment. Les chuchotements devenaient de plus en plus forts. J'ai ouvert la porte, j'étais effrayée mais la cuisine étais vide. Je suis retournait dans ma chambre et là l'homme qui m'avais suivit plus tôt dans la journée se trouvait devant moi. Jamais je n'avais eu si peur de tout ma vie, j'étais paralysé. Comment avais t-il-pu entrer? La porte était intacte tout comme les fenêtre, je ne comprenais rien. J'étais sûrement entrain de rêve. Je me suis pincée et repincée mais rien, l'homme se tenait toujours en face de moi. J'ai couru jusque dans le salle de bain, j'ai fermé la porte à clef et je suis restée là sans bougé. Le lendemain matin je me suis réveillée dans la salle de bain avec tout les souvenir de ce que j'avais cru voir dans la nuit. Je devais être somnambule c’était la seul possibilité et en plus je n'avais pas d'autres griffures. Peu être que Margaux et le médecin avais raison et que mon chat était devenu violent sans que je m'en aperçoive. Le m'étais levée, j'ai prit mon petit déjeuner et je suis sorite prendre l'air. Je n'avais mis qu'un pied dehors que mes griffures se mire à me brûler se n'était pas normal. Je me suis misse à marcher plus vite et je suis aller au parc la où il y avais des arbres donc de l'ombre, mes griffures on arrêtés de me brûler d'un seul coup quand le soleil ne me recouvrait plus une seule partie de mon corps.

 

Pendant des mois toute les nuits l'homme venait me voir mais ne bougeait pas et ne parlait pas et moi toute les nuits je me mettais sous ma couette et essayais de me convaincre que je rêver mais il n'y avais rien à faire tout semblais réelle. Le matin de nouvelle griffes recouvrais mes bras ou mes jambes et dés que je me mettais au soleil mes elles me brûlaient. Je vivais dans un cauchemars.

 

Un jours alors que tout aller mal je dédisais de déménager. Peu être que l'homme me hantais et qu'il ne me suivrais pas dans une nouvelle maison. En une semaine j'avais déménagé et plus d'homme bizarre dans les parage. Je vivais maintenant à Manhattan et tout se qui c'était passer n'étais plus qu'un souvenir qui pour moi serais toujours bien réelle...

 

À suivre...

     

Commentaires

1. Le 02 janvier 2018, 17:29 par Cécile.G-4e6-Pablo Picasso

Tout d'abord j'ai beaucoup aimé ton récit je l'ai trouvé captivant.Cependant je trouve sa dommage que la relation entre le moment ou tu te trouve chez le médecin et le moment ou tu te trouve dans ta cuisine ne sois pas faites.La peur est bien exprimée et ton récit est bien construit,ce fut un plaisir de te lire.

2. Le 03 janvier 2018, 18:14 par Mathilde C (4ème6-Pablo )

Bonjour ton récit est captivant car on a envie de savoir qui est cette homme et pourquoi le narrateur a des griffures.
Mais l'homme mystérieux devrait être plus décrit.
Aurevoir

3. Le 04 janvier 2018, 16:02 par Romain D. (4e6 Pablo Picasso)

Bonjour,
votre récit maintient le doute tout au long de l'histoire grâce à cette histoire de morsure.
Le narrateur nous fait bien part de ses sentiments et de ce qu'il ressent en exprimant sa peur.
Juste au moment où le narrateur va chez le médecin faites attention à parler au passer à part cela tout était très bien.
Merci beaucoup pour ce récit

4. Le 05 janvier 2018, 13:42 par Camille S

Bonjour,
J’ai vote pour ton récit car je le trouve assez perturbant en effet le personne se pose des questions sur le fantastique se qui émet du doute et des hypothèse chez le lecteur mais ton récit n'est pas développé sur le lieu ou cela se produit et tu ne montre pas énormément se que ressent le personne principale. Il aurait fallu que tu mette un titre qui attire l’œil car " Fréderique " ne fait ressentir aucune émotions. J'ai pas très bien compris l'histoire des griffures tu aurais pue d’écrire un peut plus se qu'il ressent quand il s’aperçoit qu'il c'est fait griffé. Sinon super récit.
Bonne journée.

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