Un Soir Pas Banal, Mitia C. 406, Blaise Pascal

Quand à l'étage oû je travaillai, les lumières s'éteignirent brusquement, il n'y avait plus que la lumière de mon ordinateur.

C'était le 12 février, je suis Anthony j'ai vingt-trois ans, je vis à San Francisco,

j'ai des yeux vert , je suis dépourvu de muscles, j'ai une barbe épaisse, je travaille en tant qu'employé dans une boite spécialiser dans le commerce.

 

Un jour alors que je faisais mes tâches quotidiennes sur l'ordinateur, la sonnerie de la pause déjeuner retentit.

je n'avais pas envie de manger. Quand à l'étage oû je travaillai, les lumières s'éteignirent brusquement, il n'y avait plus que la lumière de mon ordinateur.

 

Soudain un onglet s'ouvrit subitement, j'observai pendant un moment, il y avait marqué « RETOURNE TOI ». Et la tout doucement je me retourna d'un coup je vue un homme debout sur le bureau de ma collègue, il avait de grand orteils qui touchait le sol. Sur son corps, du sans sortait de ses veines il était pale, puis il me jeta du sang dessus qui atterrit finalement par terre, puis il sauta par la fenêtre.

 

Mais à cause de la fatigue je m'étais dit que j'hallucinais alors quand je vis les tâches de sang par terre, je me dis que c'était bien réel. Je rentrais alors chez moi. Fatigué, et affamé de ma journée, je décidai alors de me faire à manger. Mais problème, je n'avais point envie de cuisiner,

alors je pris la décision, d'aller me chercher un fast-food ( Mac Donald's). Je pris le drive,

je récupérai alors ma commande, quand tout à coup, derrière le serveur il réapparut, je prit peur et partit très vite. Ayant finit de manger je décidai de me poser devant la télé pour regarder télé-foot mais là, la créature réapparut.

 

Il avait doublé de taille il était accroupit, ses genoux touchaient sa tête, cette fois ses orteils touchait les murs je crois qu'il s'en servait pour se déplacer. Il ne parlait pas, un grand silence se fit entendre, puis d'un coup il courut très vite, aussi vite que je ne le vit même pas courir. Il saisit ma machette que j'avais garder de mon voyage en Amazonie, je me rend compte seulement maintenant qu'en fait, pendant le temps de calme qui nous séparait, il observait la pièce pour trouver une arme, il enfonça ma porte courut encore plus vite dans le couloir il enfonça ensuite la porte de ma voisine ; puis plus un bruit... le calme régnait. Le silence se fit encore plus entendre il me dit de bouger, je profitai de ce moment de calme pour me cacher sur mon balcon.

 

Un nouveau bruit sourd se fit entendre, j'entendis ma voisine crier, crier de douleur, elle criait à l'aide. Mais par sécurité, je décidai de ne pas bouger sous peine, sans doute, de mourir.

Puis un bruit sec se fit entendre, je crus d'abord qu'il avait cassé un meuble mais en réalité il avait trancher le cou de ma voisine, ensuite je l'entendis entrer dans mon appartement et il me sembla qu'il fouillait tous mes meubles mais en vint, il n'y eut plus un bruit, je reçus un violent cou sur la tête.

Je me souviens juste que c'était bien lui qu'il m'avait porté un cou j'aurais put me débattre mais j’étais si choqué que je me laissai faire, puis il me transporta sur son dos, puis je vis encore des images de mon appartement.

 

Je me réveillai alors dans le square des enfants vide, tout blasé par le temps, j’entendis les sirènes hurlante de la police, il mettait les rubans jaunes des scènes de crime, des agents de la police montaient de mon immeuble, leur armes pointé sur la fenêtre de mon appartement et celui de ma voisine.

Lorsque je me rendormis, je me réveillais dans mon appartement nettoyé, porte nouvelle télé allumée

et Mac'Do à la poubelle. Je me détendis dans mon canapé, pris une douche qui me fit du bien , puis je rassis dans mon canapé puis je regardais par la fenêtre et je revis sa tête...

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