Le théâtre abandonné, Sacha D. 406, Blaise Pascal
Par Blaise Pascal 4ème6 le 14 décembre 2017, 15:50 - Archives - Lien permanent
À cette époque-là, Byron était un étudiant, il vivait aux États-Unis, à San Diego. Il résidait dans un petit appartement, au centre-ville.
À cette époque-là, Byron était un étudiant, il vivait aux États-Unis, à San Diego. Il résidait dans un petit appartement, au centre-ville. C'était un jeune homme intelligent, courageux, qui a vécu une belle enfance. Il avait une petite sœur: Simone. Sa mère habitait seule, à San Francisco, car son mari est décédé, dans un accident d'avion.
Un week-end, un ami lui conseilla d'aller faire une exploration nocturne, dans un théâtre abandonné. Ce lieu était réputé car de nombreux phénomènes s'y passait. Cet endroit était certainement lié aux disparitions étranges d'enfants, ou alors, certains de ses enfants fuguaient. Byron décida d'y aller. Le théâtre était à une demi-heure de sa demeure. Il y alla à pied. Quelques minutes après, Byron aperçut le lieu étrange. De l'extérieur, on pouvait apercevoir une vapeur mystérieuse. Ce théâtre se situait près d'un lugubre lac, qui le reflétait d'une manière effrayante. Les murs avaient froid. Il était grand, dévasté, envahi par la végétation. L'étudiant entra dans le bâtiment, il se trouvait dans une grande salle et des bruits terrifiants, se furent entendre, dans une pièce assez sombre. Byron monta, discrètement, mais il n'aperçut rien.
« - Serait-ce un chat qui fit tout ce bruit ? Un chien ? »
Il observa donc de plus près, le théâtre insalubre. Mais d'un seul coup, une silhouette assez petite apparut de nul part sur la scène. Elle était indiscernable. Ses yeux bleus couleur océan fascinaient Byron. Elle dégageait une atmosphère ténébreuse. La chose, s'amusait avec un bateau, comme un jeune garçon. La silhouette méconnaissable sentait fortement les ordures. Soudain, elle tomba de la scène, en rigolant, avec son bateau jaune. Elle remonta juste après. La silhouette énigmatique était devenue plus grande. Elle dégageait toujours ce climat obscur. Cette chose avait l'air d'être un clown.
Soudain, le clown courut, vers une salle lumineuse. Lorsqu'il arriva dans la pièce, Byron entendit des cris d'enfants. Il alla, donc observer, discrètement la scène. Il se plaça, derrière la porte, et observa. Le clown s'avançait, vers les bébés, brandit une machette et les tua, le sang gicla au sol et sur Byron. Le jeune homme courut vers l'assassin, avec courage, pour l'attraper, mais soudain celui-ci se volatilisa, comme par magie. Lorsqu'il eut disparu, un bateau, cette fois-ci rouge, s'était posé par terre.
«- Où est-il ? Comment a-t-il pu disparaître ? Et ce bateau est-ce un signe... et, en plus, il a changé de couleur depuis son ancienne apparition ? »
Byron, sous l'inquiétude et l'angoisse, partit au poste de police, à pied. Il arriva, rapidement, et expliqua la situation aux gendarmes. Ils posèrent plusieurs questions à notre étudiant sur le lieu, l'heure à laquelle s'est passée les crimes, sur le criminel et les victimes. Lorsque Byron eut répondu aux questions, quelques policiers partirent en voiture, sur le lieu, avec notre jeune explorateur. Ils arrivèrent quelques minutes après, et commencèrent à examiner le lieu et ses entourages.
Cela faisait une heure et demi qu'ils inspectaient le théâtre, sans danger, lorsque soudain des grincements se furent entendre à l'extérieur. Tout le monde accourut, pour voir, de qui provenait ces bruits, mais ils n'aperçurent rien, sauf quelques chats au loin. Quelques minutes plus tard, toujours rien, aucun nouveau bruit, aucune anomalie. Les policiers décidèrent donc de repartir sauf Byron. Lorsque les gendarmes partirent, Byron cria, pour essayer d'apercevoir le clown. Plusieurs secondes après, plusieurs bruits se furent entendre et le clown apparut de nul part, en face de l'étudiant. Byron eut un sursaut d'angoisse, mais il essayait de prendre courage.
«- Pourquoi viens-tu me déranger ?
- Je voulais juste savoir de qui provenait ces bruits.
- OK. Mais c'est toi qui a appelé la police ?
- Oui mais c'était ... »
Soudainement, le monstre courut vers celui-ci avec sa machette. Le jeune garçon prit la fuite, mais le clown le rattraper, lorsque soudain, une flèche lui transperça la tête et le tua. Byron fut tout de même méfiant, et alla voir de qui provenait cette flèche, et elle venait d'un piège construit par l'assassin des bébés. L'explorateur se demandait, tout de même, comment ce guet-apens a-t-il été déclenché et il se remémora la poursuite. Lorsqu'il fuyait le clown, il montait les escaliers par deux, et, par chance, il n'avait pas marché sur la marche piégée contrairement au clown. Après ça, Byron rentra chez lui.
Quelques jours après, il partit au commissariat, expliquer toute cette histoire. Les policiers partirent vérifier, sans Byron. Quand les gendarmes étaient revenus, Byron fut appelé à venir au poste de police. Et ils affirmèrent bien avoir vu un théâtre abandonné, un lac, mais ne pas avoir vus de cadavres d'enfants, ni celui du clown, ne pas avoir vu de piège et de traces de sang. Deux jours après, Byron alla voir si il n'y avait plus les corps des bébés, le piège… Pourtant, il observait, bel et bien, les dépouilles des jeunes enfants, le piège, les traces de sang sauf le cadavre du clown, mais il aperçut un bateau en papier, cette fois-ci noir. Byron commençait à s'inquiéter, à se poser des questions.
« - Où est passé le clown ? Est-il vivant ? Suis-je en train de rêver ? Et ce bateau est-ce un signe ? »
Commentaires
On aime ta façon d'expliquer l'histoire sauf que il n'y à pas assez de description sur les personnages.Et tu t'es un peu inspiré du film Ça.
Bonne histoire on a aimé quand le clown a tué les enfants et aussi quand le clown se prend la flèche dans la tête, mais on ne comprend pas comment les corps disparaissent et les bateaux en papier.