L'homme vert , Alexandre M. 406 , Blaise Pascal

Je me présente, je suis Alexandre, je vis à Bordeaux et j'ai vingt six ans. J'étais partis dans la forêt à côté de chez moi, habillé comme un bûcheron, une chemise à carreaux rouges et noirs et un pantalon bleu.

Je me présente, je suis Alexandre, je vis à Bordeaux et j'ai vingt six ans. J'étais partis dans la forêt à côté de chez moi, habillé comme un bûcheron, une chemise à carreaux rouges et noirs et un pantalon bleu. Je portais une petite torche électrique dans ma poche et une montre sur mon bras. Mes deux sœurs mon renvoyé de chez moi car ils avaient du travaille à Bordeaux.

 

Au bout d'un moment, il pleuvait énormément avec un peu d'orage, je m'étais perdu et je pu trouver une maison noir, ténébreuse, obscur, sombre et brûlée. Ses volets était aussi cramée qu'une tarte flambé et du liquide coulais sur les côtés. je n’arrivais pas à définir cela. La maison me semblais énorme mais avec deux étages. Je vis deux petites portes, une par terre et l'autre détruite en milles morceaux comme si quelqu'un c’était déchaîné avec une hache. Mais se qui me dérangeais le plus, se n'étais pas le liquide bizarre sur la fenêtre, c’était la lumière au premier étage car je pensais que la maison n'avait pas été aménagée depuis longtemps et donc les fils électriques n'étaient plus entretenue. Je pris ma torche électrique, j'entrais, je clignais des yeux un millième de seconde, puis, plus du tous de lumière, rien qui pourrais s'allumer dans la pièce. ça m'a surpris mais ça pouvait être ma vision qui me jouait des tours. Dans la salle, il y avait une table basse ronde, la seul chose qu'il y avait dessus, c'était des dunes énormes de poussières. Un pilier en bois avec des scriptes se trouvait au milieu de la salle. Tous étais noir, sombre, comme l’extérieur de la maison. Les fenêtres semblait trembler, les murs glacer et je cru que la poutre me regardais et me prendre pour m'étouffer. J’ai voulu esquiver mais le pilier n'avait pas bouger. Le sol était en bois de chêne mais il était complètement renversé, ravagé par l'eau qui ce faufilait dans les trous.

 

A un coin de la salle se trouvait un escalier qui formait une tête de mort. C'est yeux et sa bouge formaient des trous. Je montais, dès la premier marche, j'avais l'impression de tomber de tout les côtés, j'avais comme un mal de mer, c'était l'escalier du diable. J’étais obligé d'esquiver les trous, d 'abord la bouge puis entre les deux yeux, je me sentais vraiment mal. Enfin j'arrivais à la dernière marche et à ma gauche je suis tombé sur une plaque en bronze jaunâtre avec deux petits anges et il était gravé : « Propriété, Jean Samano mille neuf cent soixante-onze ». Je me posais la question pourquoi la plaque était là et pourquoi elle n'était pas accroché à l'entrer car si elle serait dehors les gens qui viendront dans le coin seraient informer à qui serait la maison mais là sa ne servait à rien.

 

Au deuxième étages, je découvrais un long et large couloir de désolation, de peur comme si des âmes se baladaient et murmuraient sans me voir. J’avançais tout doucement avec une prudence absolue, je regardais un peu partout, le mur portait des tableaux avec des familles. Je regardais de plus près car j'étais curieux et je remarquais un enfant avec du liquide vert tombé entre ses gants mais il faisait beau alors pourquoi mettre des gants ? Il n'y avait que des tableaux comme ça mais plus j’avançais plus les tableaux et les murs rapetissaient. J'avançais, j'avançais, je cru que le couloir n'allait jamais se finir. Je trouvais deux chemins, je pris celui de gauche, mes yeux commençaient à se fermer. Je n'avais pas remarquer que ma torche était éteinte, je la rallumais, et me retournais en marchant calmement. Je cherchais les deux chemins praticables, en ne trouvant rien ensuite je continuais tout droit. Quelques secondes plus tard je retrouvais l'escalier en forme de tête de mort qui conduisait à l'étage je montais, rien juste un mur, je redescendais. En pensant que je devenais fou, je retrouvais encore avec un escalier en forme de tête de mort, je montais encore une fois rien juste encore un mur puis je redescendais.

 

Subitement j'entendis un bruit très étrange de tam-tam, le sons commençait à devenir de plus en plus fort comme dans Jumanji, je n'entendais même plus le grincement du sol. Il était tellement fort que Je cru ne plus avoir de tampon. Il faisait autant de bruit qu'un ouragan au dessus de mes oreilles. Puis tout d'un coup plus un bruit, même plus la fragilité et la sensibilité du sol, rien juste le silence.

 

À un moment ma montre a sonner trois fois en se synchronisant avec ma torche qui elle s'allumait et se réétainait sans que je ne touchais à rien. Je clignait des yeux trois millièmes de secondes tous sa en même temps, coïncidence! je ne sais pas! Mais se que je savais c’était une ombre qui tournais autour de moi, je vérifiais autour de moi, vide. Je sentais de l'air froid foncer sur moi. Je commençais à voir apparaître petit à petit une silhouette devant moi. J’ai pu la déchiffrer. Elle était clairsemés, ses yeux bleus comme la mer. Elle faisait environ 1m90. Elle comportait une balafre au niveau de son nez retroussé, une grosse cicatrice sur sa joue, sa bouche sans lèvre. Elle déchiquetait bout à bout son t-shirt bleu marine, noir et marron. Son pantalon psychédélique. Elle me regardait de travers comme si elle avait une haine contre moi de l'avoir réveiller dans son sommeil éternel et infranchissable. Ses mains était remplie de liquide vert, ses veines vert et il n' avait que quatre doigts et je ne savais pas si c'était un homme ou une femme. Aussitôt, il me griffa sur mon ventre et je commençais à courir sans m’arrêter Mon cœur palpitais, mes veines commençais à glacer. Je courue tout droit mais je ne savais pas ou j'allais, je retrouvais les escalier. Elle me poursuivais et je ne m’arrêtais pas. Je trouvais la sortit. Elle me regardait toujours avec son regard persans. Mon cœur allait tellement vite que j'ai cru faire une crise cardiaque. Elle me poursuivait encore. Soudainement elle avait disparu mais la maison et ma blessure aussi puis je suis tombé dans les pommes. Je me suis réveillé sur mon lit mais je remarquais qu'au sol il y avait des traces de chaussures vertes. Es un rêve ou es réelle! Bonne question! J'étais vraiment angoissé. Mais sa peut être aussi un mort venant d'un lac vert...Revenue d'une mission du diable avec son liquide vert! Pour m'étouffer...Je ne sais point. J'avais la chair de poule. Je me suis rendormie puis j'ai dormir éternellement juste qu'à l'aube.

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