Il, Rafaël A. 406, Blaise Pascal
Par Blaise Pascal 4ème6 le 14 décembre 2017, 15:35 - Archives - Lien permanent
A ce moment la, Je travaillais encore a l'usine. C'était épuisant car je finissais tout les jours à vingt deux heures. Je m’appelle Rafaël et j’habite au fond d'une ruelle a Saint-Martin du Tertre.
A ce moment la, Je travaillais encore a l'usine. C'était épuisant car je finissais tout les jours à vingt deux heures. Je m’appelle Rafaël et j’habite au fond d'une ruelle a Saint-Martin du Tertre.
Un soir, après avoir garé ma voiture sur le parking, j'entrais dans ma ruelle pour aller chez moi. Le lampadaire qui éclairait celle-ci s’allumait et s’éteignait. Je passais en dessous du lampadaire lorsque je vis des mots écris sur le mur puis il disparurent quand la lumière s’éteignit. Je m’arrêtai un instant pour penser a se que je venais de voir. C’était sûrement mon imagination. Une fois chez moi, j'allai me coucher, je fermai mes volets lorsque je vis une personne dehors, elle me fixais sans bouger, elle avait le teint blafard, des long cheveux noir qui lui cachait les yeux . Sans réfléchir à sa, je les fermai. Je me regardai ensuite dans le miroir, j'étais blanc comme neige. J'allais me coucher avec cette personne dans ma tête.
Encore une journée de travaille finis, j'allais comme d'habitude garé ma voiture puis j'entrais dans ma ruelle. Je regardais le mur de la veille et je ne remarquais rien d'étrange. J’avançais encore plus loin lorsque quelque chose me frôlât. J'étais figé comme une statue. Je repris et je me dis que c'était le vent. Je rentrais chez moi, je fermais mes volets avec craintes et je m'allongeais dans mon lit. Je me réveillais en sursaut, j'étais trempé de sueur. On avis jeté quelque chose a ma fenêtre. Je descendis au rez-de-chaussé car regardez a la fenêtre serait risqué, je pouvais recevoir un projectile. Je pris ma lampe au cas où et j'ouvris ma porte. Ma lampe me tombât des mains, il était là!Je me frottais les yeux pour être sur de ce que je vis. Je les rouvris, il n'étais plus là.Comme tous les soirs, je rentrais chez moi, je garais ma voiture et j'entrais dans ma ruelle. J'avançais avec un pas rapide. J'ouvris ma porte, accrocha mon manteau au porte manteaux puis me préparais un bon souper. Je me mis a table, et plongeât mes yeux dans la soupe. Elle était succulente! Je relevais ma tête, je le vis, IL ETAIT LA!!! Cette fois, je vis ses yeux, il était tout noir , vraiment tout noir. Avant de crié, je tombât dans les pommes. Je me réveillais dans mon lit, il faisait beau et le ciel était bleu. Je décida de partir marcher.
J'allais marcher dans la rue piétonne du coin, cette fois ci il y avait beaucoup de monde. Je décidais d'aller m’asseoir sur un banc, il n'y avait personne sur celui la. Une fois assit, je regardais les gens qui passaient, ils était tous différents. Alors j'imaginais leur travaille, un était en uniforme de travaille, c'était peut être un avocat ou une autre qui avait des fleurs dans les cheveux et un tablier vert, elle était peut être fleuriste. Lorsque je vis une femmes, cette femmes était splendide, ses cheveux était ondulés comme les vagues. Je la suivis du regard quand soudain... je le vis à côté de moi, il était encore là. Après deux-cent mètres de course, je décidais de m’arrêter dans une boulangerie pour acheter un casse-croûte et je revis la fille au cheveux ondulé. Elle prenait un chausson au pommes qui me paru excellent. Elle finissait de de payer. En se tournant pour sortit, elle me fit un sourie qui me redonna du baume au cœur. Je l'attrapais alors par le bras et je commençais a lui parler: «bonjour, je te trouve jolie et j'aimerais avoir ton numéro». Sans discuter elle me le donnait. Le soir, je décidai alors de l'appeler pour qu’elle vienne dîner avec moi. Le soir, tout étais parfait la table était dressée, le plat préparer, il ne manquais plus qu'elle. C'est alors que j’entais toquer a la porte. J'ouvris, elle était, elle était d'une splendeur que je ne saurait d’écrire. Je pris son manteau et l'accrocha au port-manteau. Nous commençâmes a dîner. J'avais préparer un bœuf-bourguignon qui était succulent. J'étais en face de la fenêtre et j'étais mal alaise deux solutions s'offrait a moi, sois entamé une discute sois les toilettes alors je lui dis que les volets des toilettes claquaient et que j'allais les fermer. En plus les volets claquaient vraiment ce qui était bizarre car ce soir la il n'y avait pas de vent. J'ouvris alors la porte des toilettes puis je regardais par la fenêtre avec crainte. Il n'y avait rien, je passais la tête par la fenêtre pour en avoir le cœur nette. Je regardais a gauche puis a droite, il n'y avait rien lorsque j'entendis un rire strident. Tout mon corps a sursauter lorsque je l’aperçut derrière un poteau électrique il me souriait en me fixant. Je fermais les volets, fermais la fenêtre, courut vers mon invité, elle n'étais plus la! La peur me montais au cerveau mais une idée me vins en tête, il faut piégé la maison. Vu que ma cuisine était assez grande et que le carrelage était assez glissant, je mit de l'huile dessus. Il rigolais toujours. Je fermai toute les portes. Je vérifiais mon matériels de travaille, des punaise! Je les plaçai devant la porte d'entrée et j’attendis en haut de chez moi. Mince me dit-je j'avais oublier mes couteaux dans la cuisine, j'étais sans défense. Je cherchais partout a l'étage pour voir s'y il n'y avait pas d'armes ou des ustensiles pour me défendre. Je trouvai un arme a feu dans le tiroir de ma chambre je ne savais pas se que sa faisait la mais pas le temps de réfléchir a sa. lorsque j’eus entendu des bruits de pas, ils s’approchaient de moi le sol grinçais comme si il criait de, douleur. Ils s'approchaient de plus en plus, ils étaient derrière moi a présent. La poignée se baissai, et la porte s’ouvrit. La fille au cheveux ondulés qui était mon invité tomba a mes pied, elle était taché de sang, je la relevais lorsque je vit son haut du corps, il était parsemé de punaise et elle avait des traces de pas sur le dos. Elle était sans vie. Des larmes coulèrent alors de mes yeux c'était horrible, qui pouvait faire sa. puis je descendis, plus rien ne me faisais peur sauf que... il était la.
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