L’hôtel hanté, Marine I. 406, Blaise Pascal

Je m'appelle Sandra, j'habite dans une petite ville très paisible au Nord de la France.

Je m'appelle Sandra, j'habite dans une petite ville très paisible au Nord de la France.

Un soir, dans la ville de Liverpool, étant en voyage d'affaire, je dû dormir a l'hôtel. J'arrivais dans le bâtiment, c'était d'un coté extrêmement sombre, tellement, que les murs avaient froid et de l'autre incroyablement clair. Ma chambre était vieille et vétuste.

 

 

Dans cette chambre il y avait un lit à baldaquin magnifique rose et noir couvert de draps blancs et brodés d'un somptueux fils d'or. Une commode et une armoire de la même couleur que le lit. Il était vingt trois heures, je décidais donc d'aller me coucher. Lorsque je commençais à m'endormir, je senti à mes pieds comme des mains gelées. Je mis une deuxième couverture et d'un seul coup, la couverture partie comme un tapis volant. Je pris peur, j'étais affolée...

 

 

Je descendis à la réception pour demander ce qu'il se passait. Il n'y avait personne, et la porte d'entrée ne faisait que de s’ouvrir et de se fermée...

Que se passait-il ?

Je me disais c'était juste le vent et et la fraîcheur de la nuit mais je me rendis vite compte que ce n'était pas possible car la fenêtre de ma chambre était fermées...

Je décidais de retourner me couché avec une grande appréhension. En entrant dans ma chambre, je vis que les meubles avaient changé de place. La commode avait été déplacé sous la fenêtre, l'armoire était juste à côté de la porte et même le lit qui devait peser le poids d'un âne mort, était placé à l'autre bout de la pièce.

Étant paniquée j’allais toqué à la porte de la chambre voisine, personne ne répondait, je frappais une fois puis deux puis trois, si fort que j'aurais pu réveiller tout l'hôtel.

 

 

Personne... Je me dirigeais donc vers la chambre juste à côté. Je tambourinais encore une fois si fort que j’aurais pu réveiller un mort. Personne répondait et ce fût ainsi à toutes les portes de tout les étages... Je ne savait plus quoi faire... Pris de panique je fis mes bagages mais lorsque j’ouvris mon armoire, qui avait changé de place, plus aucune de mes affaires ni était... Malgré la perte de mes vêtement j'avais trop peur je parti quand même. Mais au moment où je m’apprêtais a ouvrir la porte, la porte était bloquée, impossible à ouvrir...

 

 

Je pris une chaise pour casser la serrure de la porte. Je couru tellement vite, j’étais pétrifier de peur. En sortant de cette hôtel de terreur, j’éclatais en sanglot. Je fus enfin arrivée à ma voiture qui était garée dans une rue tout près de cet hôtel, je l’ouvris, mis le contact, tournais la clés mais rien ne se passait, elle ne démarrait pas j’étais bloqué ici dans cette ville que je ne connaissais pas, seule, en plein milieu de la nuit.

 

 

Un homme errait dans les rues de Liverpool seul, je lui demandais donc si il connaissait un hôtel pas loin, il me regardait avec des yeux de glace, des yeux si clair que l'on confondrait le blanc des yeux de son iris. Il m'indiqua, de sa main droite la direction d'un hôtel. Je mi rendis, je sentais quelqu'un derrière moi en me retournant je m’aperçus qu'il n'y avait personne. Une fois arrivée à mon nouvel hôtel, j’entrais à l'intérieur et demanda une chambre. L homme de la réception me dit que l'hôtel était dangereux. Devais-je y aller ?

Commentaires

1. Le 18 décembre 2017, 15:07 par Sarah et Antoine 4eme George Sand

Cette histoire est passionnante,elle fait aussi frémir de peur,toutes les règles sont respectées.Ton texte,tes phrases son bien formulées.Toute ton histoire est très très bien mais je trouve dommage que ça finisse comme ça car j'étais dedans au début mais,la fin m'a déçu.

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