Esprit es-tu là? Louna T. 406, Blaise Pascal

Je suis Gisèle Mim's j'ai soixante dix ans et je vais vous raconter mon histoire qui c'est passé il y a trente ans.

Je suis Gisèle Mim's j'ai soixante dix ans et je vais vous raconter mon histoire qui c'est passé il y a trente ans. Je m'apprêtais à me rendre à mon nouveau travail qui étais vigile de l'opéra. Il a connu un succès fou dans les années 80 mais il a fermé pour faïte. Je me rappelle il y avait des hauts plafonds dorés soutenus par de grands piliers taillés, mais une chose bizarre c'était l'escalier principale où il y avait des tableaux de chaque personnes de la famille qui y ont travaillés. Ah! J'allais oublier, c'était un opéra qui appartenait à la famille Jum's. Ils étaient spéciaux, ils interdisaient tous le temps de s'approcher d'une porte privée, juste pour les propriétaires. Mais je n'y est pas prêté d'importance.

 

Le 28 Mai 1988: J'eus une promotion, je travaillais désormais la nuit. J'étais fier de moi j'aurais plus de temps pour moi la journée. J'étais heureuse mais plus pour longtemps, un soir, en faisant ma ronde je passais devant cette étrange porte qui faisait un peu peur, elle était si mystérieuse... Après avoir fixé cette porte pendant quelques secondes je me ressaisissais et continua. Cette nuit là je n'ai trouvée qu'un chapeau et un porte feuille, je contacterais les propriétaires demain matin.

 

Le 5 Avril à minuit vingt cinq: J'entends des sons venant de la porte, des objets tombaient. Mais le seul moyen d'aller voir était de passer par la porte privée... Plusieurs dilemmes me faisais hésiter: j'entre et si on me voit je suis virée, ou je n'entre pas et si une personne découvre ses bruits je retombe comme vigile et mes horaires seront de jour... Je regardais autour, personne, n'y de caméra. Une serrure, trop simple, épingle à cheveux et n'y vu n'y connu. J'entrais dans la pièce sombre, des chandeliers par terre, des verres brisé et beaucoup de toiles d'araignées... Mais un détail me perturba, il y avait un miroir, sur pieds, au milieu de la pièce. Je m'approcha doucement... je touchais le miroir et comme une goûte qui tombe dans l'eau, s'afficha des ondulations... Je reculais d'un seul coup et avec affolement je partis en courant.

 

Le 11 Avril à deux heure quatre: Les bruits, les voix, recommençaient... J'ai donc pris mon courage a deux mains et entra dans cette pièce... Des bougies étaient allumées, le miroir toujours au milieu... Plusieurs ombres apparurent et là, je recula, les bougies s’éteignirent une à une jusqu'au noir total... Je courus jusqu'à la pore de sortie, les lumières de l'opéra clignotaient. Je sortis de l'établissement, entra dans ma voiture et rentra chez moi.

 

Le 12 Avril à neuf heure: Le médecin m'avait donné un arrêt de deux jours. Je crois qu'il ma prise pour une folle. J’espérais que personne ne c'était aperçu de rien, que diraient mes supérieurs.

 

Le 13 Avril à midi: J'étais seule chez moi, à table j'écoutais de la musique sur mon poste et là une idée m'étais venu, j'ai courus dans mon bureau, j'ai pris une feuille et un crayon et décris toute les choses paranormales qui c'était passées depuis ma promotion. J’essayais de reproduire les visages que la fumée blanche à formée, j'essayais de décrire la pièce mais c'est compliqué quand la pièce on ne la voit que la nuit. Tout est flou dans ma tête, tous se mélange... Peu-être que j'étais folle, peu-être que j’entendais des voix, que je voyais des choses qui n'existaient pas... Non il fallait que je me ressaisisse si sa se trouve c’était juste la fatigue. Il fallait sûrement que je sorte.

 

Le13 Avril à vingt heure: Je me préparais pour sortir au bar. J'appelais ma meilleure amie pour quelle me rejoigne. Est ce que je devais lui en parlais? Je ne savais pas.

 

Le 13 Avril à minuit huit: Je venais de rentrer quand j'ai constatais que ma porte avait était forcée alors je me suis précipitée dans la maison et j'ai regardée toute les pièces mais une chose m'avait interpellée... Une trappe, la trappe de mon grenier. En montant j'ai vu le miroir de l'opéra.

 

Le 20 Avril à midi deux: J'étais sur le point de déménager à Paris j'avais trouvée un travail. Les derniers jours passés je recevais des lettres, entendais des bruits la nuit, des voix... Je pensais résoudre cette enquête mais finalement je la fuyais et je fuyais aussi la famille Jum's, c'étaient eux le miroir dans mon grenier et les lettres. Bien sûr j'ai demandée à mon ami de s'occuper de la vente. La seule personne que je connaissais à Paris s'était ma sœur elle allait m’héberger le temps que je trouve un logement.

 

 

FIN

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