Maylis de Kerangal, Réparer les vivants, Gallimard, Verticales, janvier 2014, lu par Gilles Barroux.
Si la forme hétéorodiégétique d’un récit engendre une certaine distanciation envers les personnages, l’effet opère en sens contraire dans le dernier livre de Maylis de Kerangal, Réparer les vivants.