Travail réalisé par les élèves de Mme Torregrosa, professeur d'arts plastiques
19 juin 2017
Arts plastiques Option - 2017
Par ana brandao le 19 juin 2017, 13:30
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19 juin 2017
Par ana brandao le 19 juin 2017, 13:30
Travail réalisé par les élèves de Mme Torregrosa, professeur d'arts plastiques
08 juin 2017
Par Véronique Gadal le 08 juin 2017, 11:01
Dans un soupir
Il vit la raison,
L'illusion du plaisir
Troublant à la façon
Dont il voulut
Voir finir l'abandon
Ainsi, il s'ouvrit à l'oubli
Rime et Johana
Un stylo a inscrit sur un mur un prochain mot : "biscuit". L'inconnu qui nota ça fut confus. Le substantif trop flou à son goût bousculait son ciboulot. Il y avait trop d'imagination. Il finit donc par sortir, puis quitta sa maison , alla dans son parc favori pour y voir d'importants dindons tous gros.
Achille et Angelo
Au bord d'un lac ils ont aimé
Cupidon assurant plaisir
aux amants transis d'amour
L'amour combinant maints soupirs
L'amour, plaisir infini
Au bord du lac ils ont aimé
Puis mois, jours s'infiltrant dans la passion
Cupidon oublia l'amour du lac
Floriane et Noémie
Sirius alla voir son dragon à Godric's Hollow. Patmol mit son pantalon noir puis son pull tout doux. Il monta sur son balai puis vit Buck.Il passa par Poudlard voir son copain Lupin, un loup garou.Il vit plus loin Harry qui lui fit un coucou.Sirius donna du pain rassis à Harry. Il sauta sur son balai volant jusqu'à Godric's hallow. Il voulut voir la maison d'Harry nourrisson. Il vit Mathilda autour du dragon. Il courut , la tua.
Lisa et Mathias
05 juin 2017
Par Véronique Gadal le 05 juin 2017, 15:26 - Atelier d'écriture
L’homme laid et bossu
Meurt lentement
Eperdument amoureux
Des lapins
Au Japon
L’arbre misérable
Qui se promenait dans la forêt
Rappait talentueusement
De manière anticonstitutionnelle
Au paradis
Où une licorne mangeait des gremlins
La grande feuille verte
Gesticulait maléfiquement
Dans un poulailler
De sorte que l’avenir soit prospère
L’œil rouge
Roulait lentement
Le sablier du temps
Afin de finir dans les bras de Gaston
En Andalousie
A Philadelphie
La bête humaine
Que la mort elle-même ne put sauver
Rampait
Pour vivre éternellement
Lentement mais résolument
Un beau et gros steak -frites
S’envolait
De sa force herculéenne
Dans l’unique but de trouver une rose enchantée.
Dans un endroit secret
Un jardin hanté
Qui danse
Mange rapidement
à la manière des rois d’antan
Les belles voitures jaunes
Que la mante religieuse vole
Etouffe le cerisier japonais
Dans le temple du vent
Lorsque l’horloge sonne minuit
Toutes les belles filles
qui chantaient
Mangeaient bizarrement
De la sorcière
L'enfant sauvage et agité
qui mange du pain
épile
rapidement
la banane jaune
l'année dernière
pour manger des pâtes
dans une forêt sombre
une belle pomme verte
sveltement et joliment
paraît un sanglier
dans sa chambre
parce qu'il court tout nu
lentement et sensuellement
une jolie jeune femme
grandit la lumière
dans une grotte
en raison d'une certaine cacophonie
Sous les cerisiers mourants
la grande taupe rougeâtre
rapidement mais subtilement
paraît
chez Décathlon
un astronaute
parce qu'elle doit quitter le royaume des ténèbres et regagner celui de la lumière
Rapidement et joliment
un samourai et son katana
et un vampire blafard
se déplaçaient
devant la tombe de Dalida
qui filait à grande vitesse
entre deux époques révolues.
02 juin 2017
Par ana brandao le 02 juin 2017, 11:17
Dans le cadre du projet sciences humanités : l’engagement, les élèves de 1ST2S ont eu l’opportunité de voir le film « la fille de Brest » réalisé par Emmanuelle Bercot. A l’issue de la projection, les élèves de 1ST2S2 ont écrit une critique, qu’ils soumettront à la réalisatrice, qui a gentiment accepté de rencontrer les élèves le 8 juin, au lycée Marie Curie pour échanger sur ce film.
Christelle Andrault, professeur de sciences et techniques médico-sociales
Par ana brandao le 02 juin 2017, 11:00
Billet rédigé par Bardiau A. , Krauzman C. ,Lagarouste F. ,Lam C. ,Lhomme I. , Modagane M. élèves de 1ST2S2
La fille de Brest est un film d’Emmanuelle Bercot repris du livre d’Irène Frachon.
Ce film évoque l’histoire d’Irène Frachon, une pneumologue de Brest. Nous suivons son combat contre le médicament Médiator, responsable de nombreux décès. On découvre au fur et à mesure du film, tous les obstacles qu’elle doit franchir pour que la vérité soit révélée. C’est un film dramatique, la musique sert bien les scènes (par exemple les scènes d’opérations pour lesquelles la musique est assez grave). Les bruitages, comme les battements de cœur amplifient le sentiment de malaise.
L’histoire nous a beaucoup plu, en particulier parce qu’il s’agissait d’une histoire vraie. Le début du film, une femme qui nage seule dans l’océan, nous plonge dans l’ambiance mouvementée du récit. L’intrigue est également mise en avant par la présence d’une anomalie cardio-vasculaire visible sur une radio d’un patient.
Ce qui nous a particulièrement touché c’est le fait que ce médecin se bat pour des patients qu’elle connait peu, avec lesquels elle crée des liens d’amitié et qui meurent à cause de ce médicament dangereux.
Dans ce film on ressent parfaitement la peur d’Irène Frachon de perdre son combat, et son excitation à l’idée de se confronter au laboratoire Servier. On mesure le rôle important de son mari, avec ses paroles réconfortantes. On découvre une femme dynamique, pleine de joie et positive.
Dans ce film il y a des moments drôles, par exemple lorsqu’elle utilise des mots vulgaires envers son ami. Mais certaines scènes sont parfois dures et choquantes comme celle de l’opération. Cela met en lumière la dure réalité de l’hôpital, l’humanité, la force et le courage d’Irène Frachon. Malgré les difficultés de voir mourir ses patients, elle ne baisse pas les bras et reste pleine d’énergie contrairement à son ami Antoine. Ce qui est parfois source de conflits entre eux . Néanmoins leur amitié reste forte.
Ce film est touchant, il montre aux personnes que même si le chemin est long, il ne faut jamais baisser les bras et croire que rien n’est perdu d’avance. On en ressort ému et plein d’émotions.
La réalisatrice a une vision très réaliste qui lui permet de montrer un combat inégal, les victoires et les défaites d’Irène Frachon.
La fille de Brest doit être une leçon pour l’avenir : ne jamais abandonner son combat et avoir le courage d’aller au bout de ses convictions.
Bardiau A –Krauzman C- Lagarouste F- Lam C – Lhomme I – Modagane M : élèves de 1ST2S2
18 mai 2017
Par Classe de 2e9 le 18 mai 2017, 09:18 - Atelier d'écriture
Le loup et le chien
Dans la forêt
LE LOUP : Le loup se tient le ventre. Des jours que je n’ai pas mangé! Que vous êtes beau, que vous êtes gras !
LE CHIEN : le chien relève la tête. Il ne tiendra qu’à vous, beau Sire, d’être aussi gras que moi, quittez les bois vous ferez bien : vos pareils y sont misérables, cancres, hères, et pauvres diables, dont la condition est de mourir de faim. Suivez- moi : vous aurez un bien meilleur destin.
LE LOUP : il se rapproche du chien .Que me faudra-t-il faire ?
LE CHIEN : Rien de très difficile : guider les gens dans leur vie quotidienne. Vous serez nourri chaque jour avec amour. Sans parler de toutes ces caresses.
LE LOUP: regardant avec insistance le cou du chien. Mais quelle est cette trace sur votre col ?
LE CHIEN : Rien.
LE LOUP :Quoi ?rien ?
LE CHIEN : Rien de grave
LE LOUP: Mais encore ?
LE CHIEN : Le collier dont je suis attaché de ce que vous voyez est peut être la cause
LE LOUP : Attaché ? Vous faites partie de ces chiens qui tiennent compagnie aux hommes ?
LE CHIEN : Avec eux la vie est paisible
LE LOUP : De tous vos repas je ne veux en aucune sorte, et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. Je préfère garder ma liberté même si je n’ai pas l’assurance de manger chaque jour.
Myriam
Par Classe de 2e9 le 18 mai 2017, 09:17 - Atelier d'écriture
LOUP trainant des pieds, s’approche du chien : Que vous êtes puissant et beau ! Que vous êtes gras et poli !
CHIEN : flatté Il ne tiendra qu’à vous beau sire d’être aussi beau que moi ! Je vous conseille de quitter les bois. Suivez-moi, vous aurez un meilleur destin
LOUP : se rapprochant un petit peu Que devrais-je faire ?
CHIEN : Donner la chasse aux gens portants bâtons en mendiants .Flatter ceux du logis, à son maître complaire. Moyennant quoi votre salaire sera force reliefs de toutes les façons. Os de poulets, os de pigeons. Sans parler de maintes caresses.
LOUP : fixant le cou du chien Mais quelle est cette trace sur votre col ?
CHIEN : Oh! ce n’est qu’une petite trace voyons !
LOUP : N’avez-vous pas votre liberté ?
CHIEN : Cela ne compte point à côté de tous ces privilèges
LOUP : je préfère garder ma liberté plutôt que de manger
Stéphanie
Par Classe de 2e9 le 18 mai 2017, 09:17 - Atelier d'écriture
Alors que le Chien s’est fourvoyé dans les bois, il tombe sur le Loup
LOUP : Que vous êtes beau, que vous êtes gras !
CHIEN : Il ne tiendra qu’à vous beau sire, d’être aussi gras que moi. Quittez les bois, vous ferez bien, vos pareils y sont misérables, cancres, hères, et pauvres diables, dont la condition est de mourir de faim. Car quoi ? Rien d’assuré : point de franche lippée : tout à la pointe de l’épée. Suivez-moi, vous aurez bien meilleur festin et destin
LOUP : sur un ton enthousiaste : que me faudra-t-il faire ?
CHIEN : Presque rien, donner la chasse aux gens portants bâtons, et mendiants ; flatter ceux du logis, à son maître complaire, moyennant quoi votre salaire sera force reliefs de toutes les façons : os de poulets, os de pigeons… sans parler de maintes caresses.
Le chien s’en va suivi du loup. Ce dernier s’arrête dans sa marche.
CHIEN : Que se passe-t-il mon cher ami ?
LOUP : Qu’est-ce ? ( en montrant le col pelé du chien)
CHIEN : Peu de chose
LOUP : Mais encore ?
CHIEN : Le collier dont je suis attaché est la cause de cette trace
LOUP : réticent: Attaché ? Vous ne courez donc pas où vous voulez ?
CHIEN : Pas toujours, mais qu’importe ?
LOUP : Il importe si bien que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, et ne voudrais même pas à ce prix un trésor.
Le Loup retourne dans sa forêt en courant en laissant le chien seul.
Alice
Par Classe de 2e9 le 18 mai 2017, 09:16 - Atelier d'écriture
LE SAVETIER ET LE FINANCIER
Personnages
-Le savetier
-le financier
Scène 1
Une grande salle avec une table et une chaise. Un homme entre, il s’assoit et se met à compter des billets. Un autre homme entre avec une chaise et deux paires de chaussures, il pose la chaise, s’assoit, sort un chiffon et se met à nettoyer les chaussures tout en chantant très fort.
Le financier : Voilà que mon calvaire recommence
Et que cet imbécile comme d’habitude
Chante très fort et de façon très rude.
Par sa faute, mon travail devient très dense
Et mes courtes nuits sont beaucoup gênées
Par ce bruit atonal et détestable.
Il faudra que je fasse fuir ce benêt
Afin de passer des nuits agréables.
Le financier fait signe au savetier de venir. Ce dernier arrête son ouvrage et vient au bureau du financier.
Le financier : Cher ami, combien gagnez-vous par an ?
Le savetier : Ma foi, banquier, cela est dur à dire.
Je gagne mon pain, mon eau pour l’an
Et ce qu’il faut en n’ayant rien de pire.
Le financier : Je crains devoir être un peu plus précis.
Cher ami, combien gagnez-vous par jour ?
Le savetier : C’est que là aussi je suis indécis,
Ca dépend de la bourse et de ses cours.
Que je vende ou que je ne vende pas,
Il reste toujours une bourse de côté Pour me payer mon vin et mon repas
Puisque dans le quartier je suis côté
Et quand dans le besoin je me trouve être,
On m’aide toujours d’une pièce ou deux.
Et pour ne point finir dans le mal être,
Il me faut moi aussi prendre soin d’eux
Quand c’est leur besoin qui se fait sentir
Le financier : le coupant presque :
Je comprends où vous voulez en venir.
Sachez que j’ai moi aussi un cœur tendre
Et que j’ai décidé de vous aider
Aujourd’hui même, je vais vous couronner.
Voici cents écus que vous garderez
Pour vos besoins, s’il vous plaît, prenez-les.
Le financier donne les cent écus au savetier qui s’en repart à son œuvre. Changement de décor. Le savetier est assis sur un lit, il semple épuisé.
Le savetier : Six jours voilà que je ne dors plus,
Non plus de chants, plus de paroles en l’air,
Je ne travaille plus, ah, cruelle misère,
Et tout ça par la faute des cent écus.
Ils sont dans un coffre de mon grenier
Et la peur qu’ils me soient un jour volés
M’empêche de vivre et de sommeiller.
Les gens du quartier ne m’apprécient plus,
Ils me trouvent maintenant froid et distant.
Ce calvaire est trop lourd, je n’en peux plus.
A garder mon or, je perds trop de temps
Hier encore, j’ai déjeuné au soir
Et le lendemain, diné au matin.
Au moindre bruit, j’agrippe mon rasoir,
J’ai déjà tué le chat du voisin.
Il faut que je sorte de ce malheur,
J’ai une bonne idée, j’y vais tout à l’heure.
Changement de décor. Retour au bureau du financier.
Le financier : Le somme perdu m’est enfin revenu,
Je peux m’occuper de mes revenus
Sans qu’un badaud illettré et idiot
Ne vienne m’enfermer dans ses chants si faux.
Le savetier : entrant :
Mon très bon seigneur, je viens pour vous dire
Que vos cent écus sont mes biens les pires,
Je viens donc pour vous rendre vos sous,
Récupérer mon somme et mes chansons
Je ne veux plus qu’on médise sur mes sous
Et que l’on dise que je suis l’échanson
De ce banquier qui me fit mon malheur.
Je vous en prie, reprenez-les sur l’heure
Je ne chanterai plus à vos mauvaises heures
Reprenez donc, s’il vous plait, ces objets
Qui vous donnent austérité et malheur
Je veux récupérer joie et gaité,
Sommeil, appétit et ma bonne humeur,
Ce que vos sous auraient dû m’apporter,
Et tout ce qu’ils ont fait, c’est me les voler.
Bilal LACHAUX
15 mai 2017
Par 2e32016 le 15 mai 2017, 13:45 - Orientation
Nous allons vous présenter grâce à cette vidéo réalisée par Alyssia, Lina et Jade, la filière L à la demande de notre professeur de Lettres dans le cadre de séances sur l'orientation.
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